Blork & size.fac > Les jeux vidéo > Hé, à quoi tu joues?

Message laissé le 05/01/09 à 20:02

Paraît que la version Wii de Unleashed est meilleure.
Par contre, la vidéo d'animation que sega a faite pour la sortie de leur jeu :
Ca s'appelle Night of the Werehog et c'est pas mal du tout comme court-métrage d'animation : http://www.sega.com/sonicunleashed/notw/us/

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"With kindness comes naïveté. Courage becomes foolhardiness. And dedication has no reward. If you can't accept any of that, you are not fit to be a Magical Girl."
でも!でも!かわいいからOK!

Message laissé le 06/01/09 à 11:11

Citation :

Faut pas avoir peur, c'est fait exprès !

Bon, sinon je redescend un peu sur terre après m'être essayé pas mal à Fire Emblem Shadow Dragon sur DS.
Ce jeu a tout du neuf, mais c'est tout vieux à l'intérieur... Je m'explique, ce jeu est un remake d'un des premiers épisodes de la série, avec Marth en héros. Seulement, là où ça pêche, c'est que ce n'est qu'un remake. Et en plus, le remake est saccagé : moins de dialogues, jeu simplifié (enfin on y revient après là dessus), histoire écourtée et baclée, modèle 3D des persos bien moches (mais bon, les grasphismes, ça a jamais été la qualité première des FE xD).

Ce jeu reste bon, mais c'est une version pour grand publique en somme, et cette politique continue de me gaver tant ça gache les plus belles licences de Nintendo (jeu écourté et trop facile en général). Je crois que le plus gros souci de ce jeu, c'est la réduction assez phénoménale des scènes de dialogues par rapport à la version originale. Je comprend bien que le joueur "grand publique" en a peut-être rien à foutre des histoires à deux francs, de la profondeur et de la diversité des persos... Mais là on perd réellement l'essence d'un FE, qui se veut généralement avoir des personnages travaillé et sympathique, qui donne envie de les choisirs et non pas de les sélectionner comme des pauvres unités anonymes...

Venons-en maintenant à la difficulté du jeu. Bon... Là, la critique est plus que relative car ils ont fait un effort considérable sur ce point, il existe à présent 6 niveaux de difficulté contre trois dans les précédents opus. Il est évident que pour les non habitués, il est préférable d'entamer l'histoire en mode normal (le plus facile en fait, car ça reste un FE, et y'a pas de mode very easy). Là c'est clairement jouable et facile, mais le jeu n'a du coup plus trop d'interêt, couplé avec le point plus haut.

Ce qui fait que FE est une série éponyme, c'est simplement la frustration générée par la perte d'un de nos personnages fétiches. Hors ici, peu de dialogue, donc à part le chara design qui permet de les différencier, on ne s'y attache pas, et si un crève, on a aucune peine à le remplacer par un autre perso. Surtout que maintenant (système ingénieux, ou non, j'ai du mal à me positionner sur ce point), on peut réaffecter chaque personnage a une classe différente. Les personnages charismatiques et varié de la série Fire Emblem sont devenus de vulgaire pions sans âmes comme dans le jeu de plateau "Risk"... Et ça le fan ben... ça lui fait mal ! :'(

Après, pour peu qu'on aime le genre et qu'on augmente un peu la difficulté, cela reste sympathique de jouer. Cela reste un bon jeu, un très bon tactical-rpg, mais à mon sens, ce n'est pas un bon FE. Et je souhaite/prie de toute mon coeur que ce tournant pris par la série (qui commençait un peu à ce faire sentir sur Wii avec la disparition des dialogues de soutiens) ne soit pas définitif...

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Club des Papas !

Message laissé le 06/01/09 à 15:11

Ils ont osé retirer des dialogues dans un Fire Emblem? Sacrilège!!! Ce jeu ne passera pas par moi...

(Ca tombe bien, j'ai pas la DS)

En ce moment je suis sur Ghost Vibration (PS2) et ouille maman!



Le jeu est un rail-shooter où il faut capturer des fantômes. C'est assez moche, répétitif dès le premier niveau et seul la mise en scène des caméras est intéréssante.

Un mauvais jeu, un!

[Edité : par Simply Smackkk le 06/01/2009 à 09:16]

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Message laissé le 06/01/09 à 19:43

Fire Emblem : Radiant Dawn : Première mission, premier Game Over Le jeu ne fait pas de cadeau au joueur ! J'ai attaqué le jeu en normal car le mode facile, ça me gave ! Après la déculottée (un personnage tombe face au boss) j'ai parcouru le tutorial. Le jeu semble complet mais maintenant que j'ia un peu avancé dans le jeu (je dois m'enfuir de prison avec deux joueurs neutres) je suis un peu déçu par le scénario un peu cruche. J'espère que ça passera après car les personnages sont attachants et que les combats promettent pas mal de stratégie.

Je vous tiendrai informés de mon avancement dans ce jeu.

Bah sinon, j'ai du bol d'avoir eu celui sur Wii car celui sur DS était aussi sur ma liste de souhaits (content)

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Message laissé le 07/01/09 à 15:31

Citation :

Oui... et moi qui avait vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tuer en te le conseillant celui sur DS avant de l'avoir vu... Merci papa noël !

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Club des Papas !

Message laissé le 09/01/09 à 21:26

Note que comme c'est la première fois que je goûte à la série, je n'aurai très certainement même pas fais attention. Par contre, c'est dur Je suis au début du jeu quand il faut s'évader de prison. J'aligne les game over et pourtant je fais attention

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Message laissé le 19/02/09 à 14:40

Au faiiiiit !

Le messie nous ait apparu depuis presque une semaine ou deux, je sais plus...

*moment de suspens intense*




























Bon ben... ce jeu c'est le bonheur hein ! Tout le monde ici (ou presque) le connait, inutile d'en faire un pamphlet, c'est juste le prince, que dis-je, le roi des RPG Old School, ou... le roi des RPG tout court.

Cette version DS se voit peaufiner et possède quelques rajouts (rien de bien folichon mais quand même), comme une interface personnalisé, quelques quêtes annexes en plus (2 il me semble), et autres bonus attisant la collectionite des joueurs.

Redécouvrir ce jeu, le trimballer dans sa poche et tout... c'est la joie suprême !

[Edité : par Freytaw le 19/02/2009 à 08:40]

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Club des Papas !

Message laissé le 28/02/09 à 09:22

Il paraît que le jeu est déjà devenu collector tellement qu'il est difficile de se le procurer en boutiques Moi, je laisse tomber. De toute façon, je n'aurai pas le temps alors

Sinon, c'était avec oplaisir que je m'étais remis sur Mario & Luigi - Partners In Time sur Nintendo DS mais je suis arrivé entretemps à ce que je pense être le dernier boss. Si, à l'époque, sur un Chrono Trigger (au hasard) ça ne me dérangeait pas de passer deux heures sur un combat, aujourd'hui, ça me gave complètement ! Alors il y a d'abord un boss, puis un autre, puis une transformation du second boss... En fait, ce n'est pas que ce soit si dur que ça mais c'est loooonnng ! J'ai commencé vers 22H30 pour me laisser crever (fatigue) aux alentours de 2H30... Non mais franchement, c'était abusé ! Le pire est que j'ai trouvé assez vite les différentes techniques pour blesser les boss mais pour se faire, il faut d'abord attaquer une partie, puis une autre pour ENFIN asséner deux coups qui font mal pour devoir tout recommencer après. Et puis, bien sûr, les boss se régénèrent Bon, je tenterai le combat une nouvelle fois à l'occasion mais autant dire que ça plombe vraiment la bonne impression que j'avais du jeu jusqu'à maintenant.

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Message laissé le 28/02/09 à 18:45

Ca doit être la morosité sociale qui veut ça puisque je suis moi aussi sur un RPG, Magna Carta sur PS2.

Le jeu est absolument magnifique, une merveille mais il est seulement bon. C'est con, parcequ'on sent qu'ils y ont mis des moyens et que leur système de combat est assez original...Mais un peu foiré: les combats sont d'un chiant, chaque personne disposant de la même barre d'action (en gros), il suffit d'envoyer le mec-qui-va-bien pour zapper les affrontements sans se prendre la tête.

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Message laissé le 24/04/09 à 21:11

Citation :

Il est vraiment très sympathique ce court-métrage, à voir absolument

Bon, dernièrement, à quoi ai-je joué?

J'ai tenté l'aventure Metroid version NES à l'aide de ma super GP2X, jusqu'à ce que je me rende compte qu'il n'y a pas de carte intégrée au jeu et donc qu'un bloc de papier et un crayon sont nécessaires... ce qui est incompatible avec le jeu dans le train... et ce fut la fin de l'aventure! Merci d'être passé! En même temps, la maniabilité plus que rigide n'était pas très engageante, il faut bien le dire.

J'ai tenté l'aventure Metroid II sur Game Boy, bon, bien entendu, c'est en noir et blanc mais plus détaillé, plus joli que Metroid, il n'y a pas de gestion des diagonales, il n'y a pas non plus de carte intégrée (à croire qu'on aimait souffrir avant) et comme je n'avais pas de bloc de papier ni de crayon sous la main, je me suis perdu... et ce fut la fin de l'aventure! Hé oui, encore!

Nouvel essai avec Metroid Fusion sur Game Boy Advance, étiqueté Metroid 4. Une petite introduction dramatique, un écran-titre classique, un menu proposant trois sauvegardes et c'est parti pour la vraie introduction (dont quelques scènes sont reprises dans la petite introduction). Samus doit escorter des chercheurs sur la planète SR388, la planète des Métroïdes. Là, elle se fait attaquer par une forme de vie inconnue qui la parasite. Sur le chemin du retour au centre de recherche, Samus, de plus en plus parasitée, est victime d'un accident de vaisseau spatial et est rapatriée en urgence au centre de recherche où les chercheurs la sauvent en tentant sans succès d'extraire le parasite de son corps (enlevant au passage des morceaux infectés de son costume de puissance) puis en mettant au point un vaccin à base de cellules de Métroïde. Alors que Samus se rétablit, une explosion se produit sur la station spatiale qui se trouve dans l'orbite de SR388. Samus part donc enquêter sur l'origine de l'explosion... et découvre que la totalité de la station est envahie par le parasite qui s'est multiplié!
Comme d'habitude, Samus part toute nue ou presque (c'est une image bien sûr, c'est un jeu Nintendo après tout) et il va falloir explorer les lieux pour récupérer ses pouvoirs tout en faisant progresser l'histoire.
La maniabilité est impeccable, un bouton de tir, un bouton de saut, on maintient le bouton R pour accéder aux missiles et aux bombes de puissance, on maintient le bouton L pour accéder aux diagonales. Rien de plus simple. Une nouveauté dans les mouvements de Samus, la possibilité de s'accrocher aux rebords.
On dispose d'une carte (alleluia!) qui se complète au fur et à mesure qu'on accède aux terminaux de carte et qu'on découvre les zones secrètes, très nombreuses et dissimulant de nombreuses améliorations.
Contrairement aux jeux précédents, les objectifs sont clairement affichés, par le biais d'un ordinateur qui dirige Samus à chaque fois qu'elle se connecte à un terminal de carte. On sait où on va, mais les allers et retours seront nombreux malgré tout. En plus de tout ça, des petites séquences se déclencheront de temps à autre pour développer l'histoire et mettre en place des rebondissements.
Pas grand chose à dire sur la difficulté, les ennemis ne donnent pas trop de fil à retordre, certains boss un peu (voire beaucoup) plus, mais les nombreux points de recharge d'énergie et de missiles facilitent grandement la tâche.
Les graphismes sont très jolis, que ce soit les décors ou les sprites, le tout très bien animé. C'est toujours un plaisir de voir Samus courir et enchaîner ses sauts d'une façon très fluide.
Les musiques sont au poil et retranscrivent bien l'ambiance de tension, de crise et de panique que le jeu essaie d'instaurer. Hé oui, de panique, car les pérégrinations de Samus la conduiront à affronter des adversaires tellement puissants que la seule issue sera la fuite.
Niveau durée de vie, quelques heures pour venir à bout de l'aventure, un peu plus pour découvrir les nombreux objets dissimulés un peu partout. Si vous êtes fans de la série, il n'est pas envisageable de passer à côté de ce titre aventure-action!

Comme j'étais bien lancé, j'ai enchaîné avec Metroid Zero Mission sur Game Boy Advance, qui, comme on peut s'en douter, est le vrai premier épisode de la série, une reprise du premier Metroid.
Une petite introduction très speed, un écran-titre classique (repris de Metroid, musique remixée), un menu proposant trois sauvegardes et on est partis! Samus retourne sur la planète Zebes, dont elle est originaire (pour résumer, la réalité étant un peu plus compliquée) et qui est depuis occupée par des pirates et leur chef, Mother Brain, qui y ont installé leur repaire. Pourquoi ce retour? Hé bien parce que les pirates se sont emparés de spécimens d'une forme de vie récemment découverte, les Métroïdes (c'est l'épisode zéro, rappelez-vous) dont les capacités, placées dans de mauvaises mains, font craindre pour la paix dans l'univers. Et comme les pirates n'ont pas des intentions philanthropiques, Samus a reçu pour instructions d'aller récupérer les Métroïdes à n'importe quel prix.
Le jeu est dans les grandes lignes similaires à Metroid Fusion. Un minimum de capacités au début du jeu, une maniabilité à peu de choses près identique, des graphismes, décors et sprites, très jolis, peut-être un peu plus fins et colorés, des musiques agréables, des objectifs toujours indiqués, des objets cachés un peu partout, une difficulté (encore plus) basse, en raison de la (grande) multitude de points de recharge d'énergie.
Alors, ce jeu vaut-il le détour? Assurément. Il permet de découvrir l'histoire du premier Metroid (mise à jour pour intégrer les nouveaux éléments de l'histoire de la série) avec des graphismes et une maniabilité qui ne sont pas rebutants. Il propose même une zone supplémentaire (enfin, on devine qu'elle est supplémentaire quand on connaît l'histoire de Metroid) avec un gameplay différent du reste du jeu mais tout aussi agréable à jouer. Encore une fois, si vous êtes fans de la série, un jeu incontournable. Comptez à peu près la même durée que Metroid Fusion pour en venir à bout.

Bon, c'est pas tout ça, mais maintenant que j'ai terminé Metroid Zero Mission, il fallait bien que je m'investisse un minimum dans le jeu qui était à l'origine de tout. C'est pourquoi, muni d'un bloc de papier et d'un crayon, je me suis lancé une nouvelle fois dans l'aventure Metroid sur NES. L'histoire est donc la même, aller chercher les Métroïdes dont les pirates se sont emparés. A noter que contrairement à ce qu'on pourrait croire, il n'y a pas de pirates dans ce jeu, uniquement Mother Brain. Les graphismes sont simples, les décors sobres, les sprites pas très détaillés, la maniabilité est rigide (pas de tir en diagonale, ni de possibilité de se baisser pour tirer) et les musiques sont très bonnes. Les débuts sont difficiles, en raison du faible niveau d'énergie dont on dispose. Mais cela s'arrange rapidement jusqu'à ne plus être un problème du tout. Les capacités s'acquièrent au fur et à mesure. Pas d'objets dissimulés dans ce jeu, il y a bien des améliorations à dénicher, mais pas besoin de dynamiter chaque bloc de mur du jeu pour les trouver. Hé oui, apparemment, Metroid, c'était comme ça avant! Le jeu propose un autre programme pour occuper l'explorateur de Zebes: de l'exploration justement. La où les deux jeux Game Boy Avance proposent de l'exploration, de la recherche acharnée et de l'action, celui-ci propose surtout de l'exploration. L'action étant en demi-teinte en raison de la maniabilité qui rendent les combats poussifs et des boss anecdotiques. Pour la part exploration, les écrans au sein d'une même zone se ressemblent et on a fréquemment l'impression d'être perdu. Hé oui, même avec le plan, puisque certains niveaux sont conçus pour faire tourner en rond. Pour accéder à d'autres zones, il faut parfois faire exploser certains murs ou planchers, mais contrairement aux jeux suivants, ce n'est pas évident, l'intuition qui chuchote que quelque chose est dissimulé dans les environs est aux abonnés absents. Et quand en plus on est livré à soi-même et qu'on ne sait pas où aller, inutile de dire que le jeu promet de longues heures de jeu avant d'en voir le bout. Mais avant d'en arriver là, est-ce qu'on s'amuse? Pour ma part, la réponse est non. Les défauts du jeu sont beaucoup trop prononcés pour en faire abstraction à notre époque, pour quelqu'un qui n'a jamais joué au jeu lors de sa sortie tout du moins. Enfin, je parle surtout pour moi. A part pour la découverte des origines de la série, Metroid est un jeu qui retournera sur son piédestal pour ne plus en redescendre. A essayer, par acquis de conscience.

Après tout ça, j'ai subitement eu envie de rejouer à Super Metroid, troisième épisode de la série. Comme il me semble avoir déjà abordé le sujet par le passé, je n'en dirai pas grand chose, à part que son atmosphère est vraiment très oppressante, bien plus que celles des autres jeux. Les décors et sprites très organiques y sont sans doute pour beaucoup pour moi. Et j'ai eu un petit pincement au coeur lorsque j'ai affronté Crocomire (qu'on doit faire reculer jusque dans un liquide corrosif pour le battre) lorsque la créature se débat inutilement pour essayer de s'en sortir tout en poussant des cris déchirants. Un passage monstrueux. Et un jeu toujours aussi génial.

Voilà pour Metroid pour le moment, Metroid II est sur ma liste, parce qu'il faudra bien que je m'y investisse un peu plus!

Sinon j'ai pu essayer quelques minutes le jeu Professeur Layton. C'est très joli, la première énigme était vraiment très simple, je n'ai malheureusement pas pu me pencher sur les suivantes. Par contre, je n'ai pas du tout aimé les doublages en anglais. Heureusement, une petite pression sur le bouton A permet de zapper la réplique en cours et d'enchaîner sur la suivante.

Et pour finir, aujourd'hui, j'ai passé quelques heures à me démener pour réussir à lancer la version Windows de La Cité des Enfants Perdus. Parce qu'après avoir essayé la démo de la version PlayStation, j'avais eu envie d'y jouer, sans jamais en avoir l'occasion. Et comme j'ai pu mettre la main sur un iso de la version PC... Mes précédentes expériences m'ont servi et je me suis directement servi de l'option compatibilité pour lancer l'installation. Mais ça ne marche pas, apparemment le programme veut que les données viennent du premier lecteur CD. Et comme mon lecteur virtuel est le deuxième... Soit, je grave un CD, c'est pas le prix qui va me dissuader. Je reprends mes manipulations et réussis à installer le jeu. Mais pas moyen d'obtenir du son. Je tripatouille les réglages sans succès. Et les problèmes de résolution et de couleurs n'arrangent rien. Je me renseigne, on me parle de machine virtuelle, comme par hasard incompatible avec mon système. Et finalement, je tente DOSBox... Surprise, ça fonctionne, et ça fonctionne même très bien! Je me demande pourquoi je n'ai pas commencé par ça, ça m'apprendra à ne pas croire aveuglément ce que je trouve sur le net. Comme il commençait à se faire tard, je n'ai pas beaucoup joué, donc la suite une prochaine fois!

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Did you get the number of that donkey cart?

Message laissé le 29/04/09 à 19:37

Commençons par le commencement...
La Cité des Enfants Perdus, c'est un jeu que j'avais découvert dans un numéro de Consoles +, celui de juin 1995 il me semble, avec deux images du jeu alors en développement. Et à l'époque, comme la 3D, ça faisait saliver tout le monde, on n'hésitait pas à mettre des photos de jeu en développement, même peu avancé... Autant dire que ce n'était pas joli, mais ça faisait quand même son petit effet et j'étais assez curieux de m'essayer à ce jeu... même si je n'avais pas vu le film dont il est tiré...
Un peu plus de deux ans plus tard, nouveau numéro de Consoles +, livré cette fois avec un CD de démo pour PlayStation. Démo plus que succinte, puisqu'on se trouve dans une pièce avec un mec bourré qui répète toujours les mêmes âneries et qu'il n'y a quasiment rien à faire dans la pièce à part en sortir. Mais bon, c'est franchement très joli, c'est d'ailleurs le seul souvenir qu'il me reste de cette démo, à part la voix agaçante du mec bourré...
Je suis curieux d'essayer ce jeu, mais bizarrement, pas au point de l'acheter, d'autres jeux m'ayant sans doute plus plu à l'époque. Je ne me rappelle pas d'ailleurs des critiques concernant ce jeu à sa sortie.
Et donc, près de douze ans plus tard, je parviens à mettre la main sur un iso de la version PC et, après avoir galéré, je parviens enfin à commencer le jeu. Et autant vous le dire tout de suite, c'est la première fois que je suis aussi déçu par la découverte d'un jeu après l'avoir attendu aussi longtemps.
Je tiens à préciser que depuis, j'ai pu voir le film, qui m'a laissé un très bon souvenir et que je regarde encore avec plaisir de temps en temps.
Le jeu commence avec une petite cinématique d'introduction en 3D. Evidemment, c'était la mode à l'époque, le CD, la 3D, tout ça... On y voit un peu la cité portuaire mentionnée dans le titre, un quai désert avec un homme qui parle à un petit garçon, son petit frère, en lui disant de faire attention, car de nombreux enfants ont disparu ces derniers temps... Et justement, voilà que surgissent deux hommes bizarres, des cyclopes, qui parviennent à enlever le petit garçon...
Le jeu démarre, on est au milieu d'une salle de classe, on joue Miette, une petite fille orpheline qui fait partie d'un gang de voleurs dirigé par la Pieuvre, deux soeurs siamoises, monstre(s) de foire à ses (leurs) heures...
Au fait, ça, vous ne l'apprendrez pas dans le jeu, c'est grâce au film qu'on peut le savoir.
Le jeu est comme Resident Evil, des écrans fixes en profondeur, des personnages modélisés en 3D qui se déplacent dessus.
Les écrans fixes sont très jolis. C'est sans conteste le point fort du jeu. Evidemment, vu le contexte, c'est sombre et assez glauque, en restant assez propre toutefois, un peu comme Myst, mais c'est très joli.
Les personnages sont franchement très laids. D'accord, débuts de la 3D, patati patata, mais bon, Resident Evil est déjà sorti depuis un bail et les personnages sont beaucoup mieux modélisés. Enfin, admettons.
Essayons de bouger un petit peu. Les flèches permettent d'avancer, de reculer et de pivoter. Une touche pour courir, une touche pour se baisser, une touche pour discuter, une touche pour ramasser des objets, une touche pour utiliser des objets, une touche d'inventaire, une touche de changement d'angle de vue (quand le jeu le prévoit).
Un premier constat, Miette est lente. Mais vraiment lente. Mais ça s'arrange en courant, donc on fera avec.
Un premier problème, dès qu'on court dans un mur ou n'importe quel objet du décor (que ce soit un tonneau ou une bouteille vide au sol), on bute dedans, avec un petit cri de douleur et une petite animation de recul. Alors d'accord, quand on court, je veux bien, mais quand on marche, même topo! L'animation, sans être longue, est quand même lassante à la longue.
Explorons un peu la salle de classe et essayons de parler à la Pieuvre. Miette nous indique que c'est impossible, puis au deuxième essai qu'elle n'y arrive pas. Petit changement d'orientation et ça fonctionne.
Deuxième problème, si on n'est pas exactement là où le jeu le prévoit, on n'arrive pas à effectuer les actions, à discuter, à ramasser des objets. La preuve en est après un rapide examen de la salle de classe, où un objet est dissimulé. Une petite fenêtre apparaît pour signaler qu'un objet est accessible, mais la fenêtre n'apparaît que lorsqu'on est bien placé. Et comme les objets ne sont pas visibles, contrairement à ce qui se fait dans Resident Evil, il faut donc explorer en rasant les murs pour repérer les objets. Et là on commence à comprendre que les deux problèmes combinés vont vraiment rendre le jeu pénible. Il faut explorer le jeu à la recherche d'objets et on a droit à une animation à chaque fois qu'on bute, même en marchant, dans un mur, ce qui arrive souvent, en toute logique, et décourage d'explorer. Et hop, soluce. Hé oui, déjà.
Maintenant qu'on a vu le gros point noir du jeu, voyons les autres aspects négatifs. Le jeu est court, très courts, avec très peu de lieux à visiter, très peu d'actions à effectuer, aucune évidente, très peu d'objets à trouver, ce qui dans le fond n'est pas un mal, très peu de personnages avec qui discuter... Pour enrober tout ça, quelques cinématiques, bien peu d'éléments d'histoire, puisque très peu de moments du film apparaissent dans le jeu... En gros, si on n'a pas vu le film, peu de chances de comprendre l'histoire avec le jeu. Pour dire, le passage du sauvetage des enfants sur la plate-forme de Krank (le méchant de l'histoire) a lieu dans la cinématique de fin! Et il n'y a pas de rencontre avec Krank puisqu'il est déjà mort lors de la cinématique.
Bref, une mauvaise adaptation d'un bon film. Si vous n'avez pas vu le film, ne jouez pas au jeu, regardez le film. Si vous avez vu et aimé le film, ne jouez pas au jeu, regardez le film une nouvelle fois. Car c'est un mauvais jeu qui n'en vaut vraiment pas la peine. Tout ça pour ça.

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Message laissé le 20/05/09 à 12:15

Ma pokémania m'a repris, c'est horrible... Je collectionne les bébètes et je vise même à compléter mon pokédex de 400 et quelques bestioles ! J'suis fou !

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Club des Papas !

Message laissé le 21/05/09 à 00:14

Lag> Dans mes souvenirs, et dans mes souvenirs uniquement, Metroid est ce que j'appelle une BOMBE ! Je lui ai consacré un nombre d'heures phénoménales et rien que le thème principal suffit à me faire dresser les poils le long des bras. Moi, j'adore mais j'ai vraiment peur de le refaire tourner... Pas peur d'être déçu car je suis encore bien "vieux con" dans l'âme mais peur de me faire chier à arpenter ses couloirs verticaux sans fin, peur de me perdre, peur de perdre patience... pas évidetn de vieillir quand on a connu la jeunesse des jeux vidéos (on note le jeu de mots super pourri sur "jeux NES" et "jeunesse")

Après, je n'ai toujours pas vu La Cité Des Enfants Perdus mais je sais que je rate quelque chose. Pour ce qui concerne le jeu, il ne m'a jamais attiré.

Pokémon> Sans rire, j'ai fini la version jaune sur Gameboy (ça remonte) et en trichant, un pote avait même réussi à me filer Mew (ou Mewtwo, je ne sais plus). Mais bon, il n'y a pas non plus de quoi en être fier...

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Message laissé le 22/05/09 à 16:14

De mon côté j'ai fait le plein de vieux jeux. J'ai profité d'une opération dans un magasin type cash converters et je suis reparti avec une dizaine de jeux pour 17 euros (1,70 euro le jeu ça reste honnête ).

J'ai pris :

- Spellforce : the order of dawn
- Fantasy Wars
- Prince of Persia les sables du temps
- Command & Conquer : Generals
- Disciple : sacred lands
- Hitman contracts
- Hitman 2 : silent assassin
- Stronghold
- Supreme Commander
et Tomb Raider : sur les traces de Lara Croft pour ma nana qui est une grande fan de l'aventurière

Je n'ai pas encore eu le temps de tester tout ça. Pour l'instant je suis resté sur spellforce (voir le test de jv.com qui le résume très bien : http://www.jeuxvideo.com/articles/0000/00003699_test.htm ).

Un jeu qui mélange agréablement et sans appuyer trop d'un côté ou de l'autre STR et JDR. L'ambiance très typée seigneur des anneaux et la réalisation de facture tout à fait honnête sans esbrouffe inutile, ce qui fait que le jeu n'a pas mal vieilli du tout.

Pour compléter l'article de jv.com je peux vous dire que j'ai trouvé un tas de petits détails qui rendent le jeu franchement sympa et donnent une grande sensation de liberté :

Dès le début du jeu à la création du perso on peut utiliser un perso préétabli pour débuter, ou le modeler comme bon nous semble au fur et à mesure en allant piocher dans les arbres de compétences ce qui nous intéresse. On peut faire en fonction des sorts ou du matériel que l'on trouve par exemple.

Mais non seulement il vous faudra modeler votre perso mais aussi votre armée : pour pouvoir construire certains bâtiments ou certaines unités il vous faudra en trouver les plans au préalable. Et attention, plus le temps passe plus vous devrez faire cohabiter des armées différentes en parallèle : humains, elfes, nains... mais aussi trolls ou elfes noirs par exemple, chacun ayant leurs spécificités et leur propre arbre de compétences. Attention à ce qu'ils ne se bastonnent pas entre eux plutôt que de cogner l'ennemi ! Pour vous aider vous disposerez aussi de héros que vous pourrez invoquer en fonction des runes découvertes ou achetées.

En plus de tout ça vous pourrez également revenir sur des endroits du jeu déjà visités pour retrouver certains marchands ou NPC et réaliser certaines quêtes facultatives mais aussi acheter un équipement qui était hors de votre portée au moment où vous y êtes arrivé.

Le tout donne un cocktail très frais et agréable à jouer, malgré une IA assez peu développée. Je l'apprécie beaucoup et je vous le recommande chaudement.

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GG le club des papas ! Pensez aux gosses

Message laissé le 25/05/09 à 17:06

J'ai joué à La cité des enfants perdus, il y a de ça biiiiien longtemps, ça doit faire dans les 7-8 ans maintenant et j'en gardais un assez bon souvenir, bien qu'un peu flou. Plusieurs fois je pensais relancer le jeu, d'autant plus quand j'ai revu ce magnifique film, mais ton post me refroidit, ça n'a vraiment pas l'air si glop glop que ça. Tant pis. :/


Sinon je suis actuellement sur Musashi: Samurai Legend, un action-RPG de Square sur PS2, tout en cell-shading, et ça poutre bien. C'est tellement beau que le jeu ralentit parfois mais ç'est vraiment un régal à jouer.

http://www.youtube.com/watch?v=Nn8WOvPi8SY

Je suis aussi sur Shining Force: le retour du Back Dragon (GBA). Je m'attendais à un tactical-RPG un peu poussé suite à certains commentaires élogieux de Segalopins sur Grospix, ça reste assez basique mais sympa quand même pour un remake de jeu Mega Drive.

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Message laissé le 26/05/09 à 15:50

Citation :

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Ben justement, par curiosité, relance-le, comme ça tu verras si ton souvenir correspond à la réalité ou pas

Sinon, dernièrement, j'ai joué à The Legend of Kyrandia, Book 2: The Hand of Fate (La Légende de Kyrandia, Livre 2: La Main du Destin)



Comme le premier épisode, il s'agit d'un point'n click (tiens ça faisait longtemps) qui a lieu dans le même univers (c'est une suite quoi) et dont voici l'histoire:

Le royaume de Kyrandia est victime d'un mal étrange: des parties du royaume disparaissent, sans explication. Ici un rocher, là un arbre... La situation est inquiétante et les Mystiques, les Sages du royaume, qu'on a vus dans le premier épisode, se réunissent afin de trouver un moyen d'enrayer ce mal mystérieux. La Main (celle du titre donc) semblant en savoir le plus sur le sujet, désigne Zanthia afin qu'elle se rende au centre de la Terre afin d'y récupérer une ancre de pierre magique, seul objet capable de mettre un terme à ces disparitions.







Tout ceci est expliqué dans une magnifique introduction aux graphismes somptueux et aux bons doublages en français.

Comme on peut s'en douter, on contrôle Zanthia (Brandon étant indisponible, à l'issue du premier épisode, il est devenu Roi de Kyrandia et cela l'occupe beaucoup trop pour qu'il puisse se permettre de faire du tourisme), une Mystique, alchimiste de profession. Et comme Zanthia a une recette de potion magique permettant d'ouvrir un portail pour se transporter instantanément dans l'espace, la quête de l'ancre de pierre va être une partie de plaisir!

Perdu! Zanthia va se rendre compte que son laboratoire a été mis à sac et qu'elle est dans l'impossibilité de préparer ses potions.





Première étape du voyage, remettre la main sur son livre de recettes et sur son chaudron. Une petite balade dans les environs et Zanthia est à nouveau capable de préparer ses potions. Petit hic: des pages de son livre de recettes ont été arrachées, le nombre de potions à préparer est donc assez restreint. Ce n'est pas plus mal, au moins, on n'aura pas trop à se casser la tête pour savoir laquelle préparer.





Voilà donc le fil conducteur du jeu: la préparation de potions. Leurs effets sont nombreux et souvent étonnants. Une fois le livre de recettes et le chaudron récupérés, il faut arpenter les lieux à la recherche des ingrédients nécessaires à la préparation des potions. Pas de piège, en général, dans une zone, on ne trouve les ingrédients que pour une seule potion. Petite subtilité, les ingrédients ne se trouvent pas forcément tels qu'ils sont nécessaires dans le livre de recettes, il faut un peu se creuser la tête pour savoir ce qui pourrait correspondre.

L'exploration se fait comme dans le premier épisode, à ceci près que les lieux à visiter ne sont pas artificiellement étendus, finis les soixante-dix écrans de forêt entre deux écrans intéressants, on va à l'essentiel et c'est tant mieux. Les graphismes sont somptueux (oui je sais je l'ai déjà dit) les lieux sont très variés, on a beaucoup d'occasions de s'émerveiller devant des décors toujours différents.

















Au cours de la balade, on pourra rencontrer des très nombreux personnages, loufoques pour la plupart, complètement barrés pour certains. Dialogues dingues, situations absurdes, tout est fait pour faire rire. Les doublages sont en anglais, contrairement à ceux de l'introduction et sont plutôt réussis. Par contre, une fois encore, l'enchaînement des répliques ne se fait pas de façon fluide.

















En ce qui concerne les énigmes, on ne peut pas dire que ce soit très compliqué, on devine en général rapidement ce qu'on a à faire. Parfois on a un peu plus de mal, étant donné que le déclenchement de certains événements est aléatoires, il faudra quelque fois sortir et entrer plusieurs fois d'un écran pour pouvoir progresser, ce qui est loin d'être évident. Mais on est loin des énigmes à la noix du premier épisode. A noter que dans ce jeu, il est également possible de mourir, mais ces possibilités sont évidentes et le jeu laisse une chance, il faut cliquer une deuxième fois sur un élément dangereux pour en découvrir les effets. Pour compléter le tableau, il n'est a priori pas possible d'être bloqué dans ce jeu, et ça aussi, c'est très appréciable.

Côté histoire, rien d'exceptionnel, la quête se mène tranquillement, mais on a tout de même droit à quelques rebondissements et à des idées originales.

Un jeu à découvrir pour passer un bon moment.

Et, chut, je ne vous ai rien dit, mais la séquence de fin montre que, lors d'un orage, la statue de Malcolm du premier épisode (qui n'est pas une statue mais Malcolm changé en pierre) est frappée par la foudre et...

[Edité : par Lag le 26/05/2009 à 09:52]

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Did you get the number of that donkey cart?

Message laissé le 26/05/09 à 22:00

Tiens, c'est marrant mais celui-là me dit quelque chose ! Je crois que c'est la grosse main qui me rappelle vaguement un reportage vu dans Micro Kid's (ouais, j'assume) mais je n'en suis pas certain.

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Message laissé le 02/06/09 à 20:59

Je ne sais pas trop si d'autres jeux mettent en scène une main géante, mais il y a de fortes chances que ce soit Kyrandia 2 que tu as vu dans l'émission

Sinon, ça va faire plaisir à certains que je m'y colle enfin, j'ai entamé une partie de... Seiken Densetsu 3

J'ai choisi comme équipe Angela, Carlie et Hawk, qui d'après les différents guides que j'ai pu voir, correspondrait au niveau de difficulté moyen.

J'ai un petit peu de mal avec les combats, je ne sais pas si c'est un problème dû à ma manette (qui déconne un peu depuis que je l'ai maltraitée sur Metal Slug), mais je n'arrive pas toujours à éviter au maximum les coups et à les porter... Les combats ont un petit aspect bordélique et bourrin, heureusement que j'ai Carlie dans mon équipe, sinon j'aurais pas mal de difficultés à avancer... Les niveaux ne montent pas très rapidement en plus... Et certains passages sont vraiment ardus sans un minimum d'entraînement...

Sinon, j'adore

Les graphismes sont vraiment super, j'avais déjà vu pas mal de captures d'écran et la vidéo de sizou, mais c'est encore plus top de voir tout ça bouger en vrai Et en plus, le jour qui se lève ou la nuit qui tombe... Formidable!

Les musiques sont vraiment bien aussi, les thèmes restent facilement en mémoire et ne sont pas du tout prise de tête, la bande originale tourne en boucle sur mon ordinateur

Niveau histoire, on est bien servis, même si on retombe un peu dans un schéma "trouver tous les...", après les esprits, les démons, mais bon, on suit avec grand plaisir les aventures des personnages (qui proposent quand même un nombre non-négligeable de rebondissements), et quand on croise les autres personnages jouables, on se demande ce que donneront ces moments quand on incarnera une autre équipe... et aussi comment sera développé le scénario (même si je me doute que les différences ne seront pas très profondes).

Là, je suis en train de laminer les démons scellés dans les pierres Mana, au bout de près de vingt-deux heures de jeu, que me réserve la suite, j'ai hâte de le découvrir

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Did you get the number of that donkey cart?

Message laissé le 05/06/09 à 22:43

Aaaaaah, le jeu qui m'a fait découvrir les RPG
C'est drôle, je suis justement en train d'y rejouer aussi Même si j'avoue qu'après la n-ième fois, les défauts commencent à se faire ressentir ... (surtout l'aspect très répétitif du jeu)

Alors pour l'aspect bourrin : oui, tout à fait! Il y a des combats qui sont vraiment, vraiment pas faciles dans le jeu (haaaa les frères ninjaaaas), mais pour les combats réguliers il suffit juste de foncer dans le tas en général. Ton équipe est assez équilibrée mais peut-être un tantinet pas assez physique (vu que Carlie et Angela ne le sont presque pas, voire pas du tout, et que Hawk est dans la moyenne plutôt). Mais ça devrait aller si tu as la magie d'Angela qui compense (sincèrement, je n'ai jamais fait le jeu sans elle, c'est sûrement tout à fait possible sans elle mais contre certains boss ça doit prendre des heuuures)

Au niveau des variations, hormis le prologue et le donjon de fin, elles sont minimes en effet. C'est un peu dommage je trouve, car même si SoM a un background qui est très très intéressant (Booskaboo !!!! ), il est exploité au minimum et au final ça s'apparente plus à un hack'n'slash qu'autre chose... mais je dis ça peut-être parce que pendant longtemps ça a été mon jeu favori.

Je suis ravie en tout cas qu'il te plaise pour le moment

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size.fac is the cornichon masta

Message laissé le 07/06/09 à 02:09

Frtalthla a bien résumé ! Je trouve ce jeu unique et magnifique, encore aujourd'hui mais il a des défauts... C'et dur mais c'est comme ça

Sinon, je pense que maintenant tout le monde est au courant pour Super Mario Galaxy 2 ! La dernière fois que Nintendo a développé 2 "vrais" Marios sur la même console remonte à la Super Nintendo... La vache !

http://www.nintendo.fr/NOE/fr_FR/news/nintendo_prsente_de_nouvelles_expriences_de_divertissement_social__loccasion_de_le3_13655.html

[EDIT de sf : Argh ! Foutu lien !]

[Edité : par size.fac le 06/06/2009 à 20:19]

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