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Blork & size.fac > Articles de Thibault de Mondidier

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La caverne du delaygamer

Ici je teste les jeux qui me plaisent mais avec l'oeil d'un joueur radin et habitué aux jeux de la génération ps3 et 360

24e Test : A Sizefac : Square créateur de chef d'oeuvre : Rudora No Hihou

Article posté le 17/05/13 à 19:35

Souvenez vous, il y a de cela longtemps. Mais si les vieux, allez un petit effort : 1996 : Cela vous évoque quoi pour vous ?

Marie Jo Perec gagne deux fois de suite le 400 mètre ?

Non, pour vous 1996 geek, c'était la sortie de :

Resident Evil sur PSX

Metal Slug sur Néo-Géo

Tekken 2 sur PSX

Constatez. Pour avoir ces trois jeux vous deviez vendre votre maison, supplier votre mère au Mammouth et être un enfant modèle tous les jours de l'année. Pas une crasse, pas un caprice rien.

Seulement voilà. A l'heure de la 3D moi j'étais fauché ( déjà ) et mes parents estimaient qu'à 10 ans, les jeux vidéos s'était pour les petits m'avaient délaissé moi et ma Super Nes. Et oui cette bonne vieille super nes. Celle qui a accompagné nos journées de bambins déjà geekard et addicts. Comme en a parlé Sizefac, Nintendo et Square Soft c'était une très belle histoire d'amour. Les final fantasy, legend of mana.

Seulement voilà. La nouvelle génération de console était arrivée. Et Nintendo craignant les méchants hackers hésitait à passer au support CD.

Bah....Square Soft était visiblement piqué au jeu. Et dans un but purement altruiste et absolument désintéressé ils sortirent un petit jeu, pas très connu un an plus tard sur le dit support CD d'une console nouvelle : La dernière fantasy VII sur la playstation en 1997.

Oui, Final Fantasy VII fut un tueur. Il marquait définitivement le divorce, la séparation, la fin de l'union entre Nintendo et Square.

Seulement....seulement. Un an avant cela, une petite perle était née. Une petite chose accouchée discrètement sur le territoire nippons et QUI N'A JAMAIS PASSE LES FRONTIERES !!


Heureusement aujourd'hui grâce à des gens complètement isolée socialement, ce jeu est arrivé chez nous, traduit et.....oui vous allez râler je le sens, vous les collectionneurs : SUR EMULATEUR !!!

Sizefac, après un an de test, je tiens à marquer le coup : Tu n'as jamais parlé de cette perle, ce dernier bijou, alors telle Mari Jo Perec, je vais courir, porter la flamme, transporté par ma passion et mon envie de vous maintenir bloqués devant mon test pour encore 10 minutes et vous parler enfin de RUDORA NO HIHOU !!



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Combien allez vous payer ?

Mode honnête : Alors vous devrez passer par les magasins d'import : Et c'est au minimum 50 euros frais de ports non compris. Sur les sites d'occaz, c'est minimum 40 euros. Ah et bien sûr, c'est le jeu original, donc en japonais. Donc comme Sizefac, vous devrez jouer un jeu dont vous ne comprenez rien. En gros vous aurez un diamant brut dans les mains.

Mode Dts comme débrouille toi tout seul toi avec internet : http://www.mondemul.net/roms.php?type=snes&genre=screen&lettre=R&page=5

Voyons, je ne vous ferai pas encore une fois le récapitulatif : Emulation = pas bien = illégal si pas copie originale. Si vous franchissez le pas, vous aurez la honte sur 3 générations, vous devrez dire 20 fois « j'ai un pète au cul au travail » car cette honte se transformera en chaine de malchance qui vous poursuivra SAUF si vous clamez « Sizefac est un Dieu alsacien fan de jeux vidéos et adorant Super Smash Bros. Brawl » sur le forum blork.

En gros, gratuitement par ce lien vous disposerez de la rom, traduite, en français et gratuite....je me demande quel choix vous allez faire.

POINT RADIN : Validé.

Bon j'ai mon jeu, cela vaut quoi :


Les graphismes :

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On peut dire ce qu'on veut : Nous sommes en 1996, la Super Nintendo est en fin de vie. Mais la technologie est parfaitement maîtrisée : C'est la période du chant du cygne. Et encore maintenant c'est une 2D très agréable à l'oeil. Les animations des magies utilisées sont belles. Les personnages sont reconnaissables quelque soit les situations, le monde crée possède des paysages variés : Vous les jeunes, soyez admiratifs : Voyez ce qu'on savait faire avec 128 KO de mémoire !!

Poit qui respecte la rétine : Validé.

Le Gameplay.

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Alors là, il va réjouir et terrorisé : Tout dépend si vous avez connu la période 16 bits voir avant.

En effet, le système est un tour par tour pur. Autrement dit, vous avez TOUT le temps pour planifier vos attaques. Le méchant n'attaquera pas tant que tous vos persos ne passent pas à l'attaque : Ce qui vous demandera patience et stratégie : Pas question de faire le bourrin ou le game over vous tombera dessus, ruinant vos efforts.

Car les efforts vous allez devoir en faire : Ce jeu est dur ! Pour arriver au bout et voir la fin, vous allez devoir passer par du leveling méthodique. Sinon game over. Et là, finit l'assistanat : Vous revenez à votre dernier point de sauvegarde : Ah oui et on ne peut sauvegarder que sur la map, les villes et les points de sauvegarde dans les donjons qui sont souvent au dernier étage !

De surcroit, le jeu possède un système de création de magie très original : La combinaison de mot : En gros c'est à vous de combiner les mots pour créer des magies puissante : Un bosse en utilise une qui vous plait, notez là et utilisez là de suite après. Le seul hic, c'est que ce système est basée sur la syntaxe japonaise : Par exemple l'essence «TOU» signifie foudre et l'essence «RUSU» signifie tout. Le sort TOURUSU sert donc à foudroyer tous les ennemis d'un seul coup. On arrive quant même à 300 000 combinaisons possibles.

Vous l'aurez compris, les vieux seront en terrain connus, les jeunes vous allez tâter du gameplay old school exigeant et rigide !

Point gameplay validé.

Les sons et les musiques :


On est chez Square Soft : Ici dès l'introduction on tombe sur des musiques magiques, qui ne vous quitteront pas même une fois le jeu terminé. C'est du grand art. Un univers orignal et beau musicalement. Pourquoi j'ai l'impression que je vais avoir une horde de vieux scandant : C'était mieux avant ??

L'intro en jap

https://www.youtube.com/watch?v=81MNGaxIeLo

La musique des combats sur map

http://www.youtube.com/watch?v=WL368wM5nsQ&list=RD02fBkp0GdzbZU

Superbe !

https://www.youtube.com/watch?v=HW_XHgdqRS8

Point qui caresse votre tympan : Validé.

L'histoire :

Il y a longtemps, les dieux créèrent la Terre et y installèrent la vie. Cette vie était en fait représentée par 4 races :

les Danans qui ont la connaissance ;
les sirènes qui pouvaient commander aux océans ;
les reptiles qui furent de grands espoirs mais qui restent assez hautains ;
et les géants dont le corps résistait à tous les environnements.

Mais ces races n'avaient pas les faveurs des dieux et disparurent avec le temps pour laisser leur place à l'homme.

Tous les 4000 ans une race disparaît pour laisser sa place à la race suivante. Afin de faire disparaître une race un Rudora est envoyé qui installera la nouvelle race puis se figera pour l'éternité.
Le monde est maintenant gouverné par les hommes qui ont pollué la planète de l'air jusqu'aux océans. De plus c'est la fin des 4000 ans et le nouveau Rudora va arriver. Est-ce la fin de l'humanité ?
4 héros se révèlent alors pour empêcher la disparition de la race humaine qui aura lieu dans 15 jours …

Ca vous fait baver ? Dois-je rajouter qu'il y a 3 scénarios et donc 3 personnages à manier : 3 points de vue différents d'une même histoire. Et deux fins possibles ?


Point histoire : Validé.

En conclusion : Rudora No Hihou est un grand jeu, une perle que je vous ordonne de découvrir. Aujourd'hui, SquareEnix ne me fait plus rêver, final fantasy XIII a beau avoir des graphismes qui pètent la rétine, pour moi ils ont perdu ce qui les faisait jouer dans la cour des dieux : Un scénario béton, un univers magnifique servit par des musiques superbes ! Ce jeu égal Final Fantasy VI et mérite toute votre attention !



Message édité 5 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 19/05/13 à 19:38.


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23e test : Mystic Quest sur SNES

Article posté le 29/04/13 à 17:18



Bonjour à tous.

Alors, au début des années 90, Squaresoft c'est dit : Les occidentaux ne savent pas jouer aux RPG. Nous allons leur apprendre. Et c'est ainsi qu'est arrivé dans ma maison le premier jeux de rôle japonais ou J-Rpg, traduit : Mystic Quest.

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Combien allez vous payer ?


Il faut croire que plus on remonte dans le temps, plus il faut raquer. En effet n'imaginez pas obtenir ce jeu pour rien. Au minimum 15 euros et si vous, les vieux, vous voulez remettre la main sur cette petite perle : Cela peut aller jusqu'à 50 euros.


Point radin : Non validé.

Comme pour Soul Blazer :


Alors, comment jouer à ce jeu : Et là, je vois déjà vos yeux briller : Oui, l'émulation. Pour ma part je dira que cela enlève le charme du rétro gaming. La manette, si vous en avez une n'est pas la même. C'est pas les mêmes conditions que l'époque. Sachez que cette pratique est illégale MAIS. Vous pouvez posséder une copie en émulation SI vous possédez l'original. Autrement, je ne suis pas responsable de vos actes. Vous êtes prévenus !

http://www.mondemul.net/roms.php?type=snes&genre=screen&lettre=F&page=2




Le jeu : Que vaut-il ?

Les graphismes


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Ah....il est très difficile de rester objectif : Soyons honnête, cela cassait pas trois pixels à un geekard. Le jeu avait du retard si on osait le comparer à Final Fatasy V. Mais comme à l'époque, nous européens étions déjà la cinquième roue du carrosse, il fallait s'en contenter. Et puis à 7 ans, on jouait et on s'en foutait un peu des graphismes tant qu'on pouvait se la péter à la cour de récré. Il y avait mieux à l'époque et aujourd'hui, le sentiment de jouer à un jeu Nes est très présent.




Point qui ne détruit pas la rétine : Non validé.

Le gameplay


Comme dit précédemment, les japonais voulaient nous initier aux RPG. On a donc le système du tour par tour. Mais qui n'est pas si rigide. Les menus sont clairs, le changement d'armes se fait en pressant un bouton et on peut soit diriger son co-équipier, soit laisser faire la console. Contrairement aux Final Fantasy, le système est très linéaire : Pas de rencontre aléatoire : On avance méthodiquement en faisant le ménage dans toutes les pièces en allant sur les monstres représentés sur la carte. Et c'est tout. Pas de piège. Vous pourrez en éviter quelques uns, mais la plupart sont placés dans des zones stratégiques et donc ils sont inévitables.

On peut donc alterner entre armes et magie sachant que l'utilisation des dites magies est limité et il faudra un peu fouiller les donjons pour toutes les trouver.

Point gameplay : Validé.



Les sons et les musiques.


Encore une fois, ici je ne peux pas être de marbre. C'est ma nostalgie qui parle. Les musiques étaient magnifiques. Elles étaient entrainantes et elle vous donnait vraiment envie d'en découdre avec les bestioles. Pour les autres, les jeunes, elles seront bien sans plus. Mais à mes yeux, elles donnent au jeu une identité propre et montre que c'est pas parce qu'on est sur une 16 bits qu'on est limité. Encore bravo pour l'époque.

Et voilà le lien qui les regroupe toutes.

https://www.youtube.com/watch?v=zSwt3wqJnBw&list=PL5BEBA343123C8FA7

Point son validé.



Le scénario.


C'est presque un donjon Rpg. On passe le plus clair de notre temps dans des donjons pour sauver le monde. On retrouve ici l'essence de Final Fantasy : Les cristaux. Cinq cristaux, cinq boss, des villages liés aux cristaux et qui doivent être restaurés. Un héros sortit de nulle part qui va rencontrer des gens, des guerriers et guerrières qui vont l'épauler dans sa quête. Une histoire initiatique mais pas sans charme. Simple mais efficace pour l'époque.

Point histoire : Validé.

Conclusion


Ce jeu était vraiment une initiation au rpg à l'époque. Aujourd'hui il a un peu mal vieillit et seul les vieux joueurs peuvent vraiment avoir envie de reprendre le pad pour ce jeu. Les autres : Vous vous dites fans de rpg ? C'est le moment de nous le prouver en tapant dans la base, dans le old school !


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La 7ième génération : Faites vos bilans !

Article posté le 06/04/13 à 16:02

La 7ième génération de consoles : Faites nous le descriptif de votre bilan.


Wii, 360, PS3.


Pour ma part, la première console que j'ai eu entre les mains fut la wii.

Raison de son achat : Son prix : Bien en deçà des autres prix de ses concurrentes. Mais l'euphorie n'a pas durée. En effet, quels sont les VRAIS titres qui m'ont acheter cette console :

Red Steel : Mais ce jeu sortit au tout début de la console fut une déception.
Fragile : Une expérience unique et vraiment original.
Endless Ocean 1 et 2 : Ah, la Wii m'a offert de véritable séquence de relaxation.
Fire Emble : Je reste un fan de la saga.
Xenoblade : Oui, du vrai JRPG, ENFIN !!
Last Story : Une demi-déception.
No More Heroes 1-2 : Voilà de l'originalité.
Pandora Tower : Un jeu qui change.
Le remake des chevaliers de baphomet.

Et....c'est tout. 11 Jeux en 10 ans. Un par an. Rien de bien glorieux.

Alors le Wii ware : Il ne m'attire pas du tout. Pourquoi j'irai investir de l'argent pour des jeux rétro : Non j'ai la passion du rétro, la vraie console, la vraie manette et le vrai jeu si jeu peux. Et sinon, honte à moi : l'émulation.




Vient ensuite : La 360 : A mes yeux, c'est elle qui a tout raflé.

Je possède près d'une trentaine de jeux et je suis satisfait de cette console : Prix d'achat : 300 euros avec un disque dur de 60 giga.

Le xbox live est je trouve le meilleur service en ligne de cette génération. Certes payant en Gold, mais raisonnable.


Les jeux : Beaucoup trouvés en occaz pour des prix défiants toute concurrence : Un bon pactol préservé. Une qualité en 1080 p. Tous les grands hits sont là.

Du bioshock, en passant par Assassin's Creed, en prenant au passage dragon age et ME : Non, je ne regrette pas mon investissement : Je n'ai pas encore tous les jeux que je souhaiterai, des gros blocs arrivent encore. Bref, j'ai de quoi faire encore.



La PS3 : Alors elle, c'est de la poudre aux yeux.

Finalement je l'ai eu cette console très tardivement : En 2011. Pourquoi ? A mes yeux, trops chers pour ce que c'était. Plus de rétrocompatibilité à 100%, des jeux en 720 p. L'argument d'achat ? : J'avais enfin un lecteur blue ray à la maison.

12 jeux en ma possession et le seul jeu en attente sur la PS3 : The last of us. Finalement j'ai acheté les jeux que je ne trouvai pas sur l'autre ou alors à un prix cool : Exemple : La saga Uncharted, LA Noire etc..

Service en ligne : Jamais testé : Par contre, je peste contre l'installation obligatoire sur le disque dur, les MAJ etc...c'est long et on ne peut rien faire d'autre.

Deux jeux dématérialisé en attente : Journey et Flower.

Bref, sony, tu m'as fait vivre des années de bonheur avec ta PS1 et PS2 mais là, la déception est grande.


En conclusion, que dire de cette génération et mes attentes de la suivante :


Eh bien, j'ai été comblé par Microsoft le dernier arrivé dans cette longue histoire des jeux vidéos. Déçu par les vieux de la vieille qui je trouve ont les pied bien gros pour ce qu'ils ont produits.


Mes attentes de la futur génération : Très très peu. Plus j'avance dans le temps, plus mon désire de vivre une vraie expérience profonde s'intensifie. Et moins je trouve cela dans les jeux vidéos : Dernière grande expérience vécu : La saga Mass Effect. Et le pire, j'ai été plus bouleversé par un Visual Novel que par un jeu triple A.

Vue les annonces qu'on nous laisse sur la toile : Connexion obligatoire, code à usage unique ….je crains le pire.
Mais surtout, si je dois acheter une console trois ans après sa sortie, déjà en milieu de vie car il n'y avait rien qui m'attirait, je n'en vois pas l'intérêt. Et surtout, me retrouver avec 10 jeux au bout de 10 ans sur un console, ça fait un peu mal.
A mes yeux, les vrais perles sont dans le passé et il me reste beaucoup de ces vieux jeu à faire.

Une passion doit avoir une naissance, une vie et une fin.
Une fin, dans le sens où on décide qu'on achètera plus rien après et qu'on savoure ce qu'on a accumulé. Pour moi un jeu n'est pas un chewing gum : On ne le mache pas deux minutes pour le jeter.
Et pourtant, quand je vois le prix de certains jeux xbox plus bas que des oldies, nous y sommes bien arrivé.
J'espère que cette fin ne sera pas pour tout de suite et que des studios comme bioware ou quantic dream me ferons toujours rêvé, mais ça sent quant même très mauvais actuellement.

Pour l'instant, en 2013, je me dis que cette 7ième génération est entrain d'être la dernière à mes yeux.


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22e test : Soul Blazer sur Super Nintendo.

Article posté le 01/04/13 à 18:20

Bonjour à tous.



Alors, aujourd'hui, nous partons au début des années 90. C'était un début. Le début de l'âge d'or des rpgs sur Super Nintendo. Il a bien fallut un commencement. Enix était à mes yeux la société qui produisait les belles pépites. Aujourd'hui, on va en examiner une : Une de celles qui ont inaugurées une époque : Soul Blazer.





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Combien allez vous payer ?




Ah oui là les cocos on est dans de l'oldies. Du bon rétro gaming difficilement trouvable. En effet, Nintendo nous pondait des boites en carton de piètres qualités. Et à l'âge de 10-12 ans, on les perdait, ou souvent nos parents les jetaient sans demander notre avis. Donc, pour retrouver ce jeu ne serait-ce qu'en loose, c'est à dire, juste la cartouche, comptez bien 30 euros. Et bien sûr, la notre grimpera jusqu'au double du prix pour obtenir ce que certains appellent maintenant : Un objet de collection.



Point radin : Non validé.



Alors, comment jouer à ce jeu : Et là, je vois déjà vos yeux briller : Oui, l'émulation. Pour ma part je dira que cela enlève le charme du rétro gaming. La manette, si vous en avez une n'est pas la même. C'est pas les mêmes conditions que l'époque. Sachez que cette pratique est illégale MAIS. Vous pouvez posséder une copie en émulation SI vous possédez l'original. Autrement, je ne suis pas responsable de vos actes. Vous êtes prévenus !







http://www.mondemul.net/roms.php?type=snes&genre=screen&lettre=S&page=13









Le jeu : Que vaut-il ?




Les graphismes


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Personnellement, je trouve que le jeu a très bien vieilli. Il a plus de 20 ans mais les capacités de la console, même à ses débuts son bien exploités. Chaque régions possède son environnement propre : Avec son village et ses zones remplis de montres typiques. Cela crée une identité propre et tout de suite reconnaissable.





Point qui ne détruit pas la rétine : Validé.






Le gameplay


Avec le précédent test, sur la saga Fable, je donnais une initiation au RPG actuel. Avec Soul Blazer on touche à l'initiation au RPG dans les années 90. Une touche pour l'attaque, une touche pour la magie, la croix pour se déplacer dans les quatres directions, pas de déplacement en diagonale et un menu pour s'équiper de ses épées, des magies et de ses armures. C'est la base de ce genre. Aucune difficulté. On avance, on tue tous les montres présents dans la zone, on appuie sur Start pour vérifier combien il reste de « warp zone » et une fois le ménage fait on regarde combien d'expérience on a accumulé. Chaque fois qu'on gagne en niveau, on gagne en barre de vie et on fait de plus en plus mal tout en résistant mieux, surtout avec le bon équipement.









Point gameplay : Validé.





Les sons et les musiques.




Pour une Super Nintendo, cela reste encore très correct : Mais là, pour les joueurs qui ont fait ce jeu à l'époque, la nostalgie prendra le dessus. Et les musiques composée pour l'époque était déjà magnifique, emplies d'une atmosphère bien spécifique donnant une identité à chaque zone, à chaque village. Et elles restent dans la tête longtemps après avoir éteint la console.


La musique qui introduit le menu titre



http://www.youtube.com/watch?v=7-lmewbMfak





La musique qui débute à chaque début de partie avant de partir à l'aventure :

http://www.youtube.com/watch?v=D_K86TfT7QM



La musique jouée lorsque vous entrez dans les rêves de quelqu'un.

http://www.youtube.com/watch?v=GjB4eX-GfZA





Point son validé.





Le scénario.




Le roi Magridd, considéré comme un être juste mais malheureusement habité par la cupidité, fait enlever le Dr Leo connu pour être un grand inventeur de génie. Ce dernier reçoit l'ordre de créer une machine qui pourrait invoquer le Roi du mal, DeathToll. Une fois celui-ci éveillé, Magridd conclut un pacte avec le démon : il demande une pièce d'or en échange de chaque créature vivante qu'il peut lui livrer. C'est ainsi qu'une à une les créatures disparaissent jusqu'à vider entièrement le monde. Devant cette catastrophe, une entité divine envoie son disciple sur Terre afin de sauver les habitants et combattre le mal engendré.

Il vous faudra presque une 15 d'heures pour en venir à bout. Car mine de rien, repeupler le monde, on veut le faire jusqu'au bout, surtout pour découvrir toutes les petites histoires des personnages. Une formule simple mais très efficace.



Point histoire : Validé.



Conclusion



Soul Blazer est un titre qui m'emplie de nostalgie. C'est un grand RPG qui est facile à prendre en main et qui malgré son âge se fait sans problème et nous montre encore une fois qu'on a pas besoin d'avoir des graphiques en full 3D et 1080P pour faire rêver.


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21e test : La saga Fable.

Article posté le 16/03/13 à 09:16

Bonjour à tous.



Alors, aujourd'hui, c'est une saga que l'on va tester. Dans un seul but : Convertir votre moitié. En effet, plus d'une fois, vous avez tenté de convertir votre moitié. Et souvent elle vous dit comme excuse : C'est trop dur, j'y arrive pas. Avec la saga Fable, vous pourrez lui montrer une belle saga, d'une prise en main facile. Et comme ça, vous ne passerez plus pour un fou quand vous vous énervez devant votre écran.




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Combien allez vous payer ?






Pour Fable 1 : Sur Xbox, vous le trouverez pour 4 euros. Fable 2, à partir de 6 euros. Fable 3, à partir de 8 euros. Trois jeux pour un total de 18 euros. Ajoutez juste 560 Microsofts Points pour le DLC de Fable 3 : la forteresse de traitre. Donc pour moins de 25 euros, une saga intéressante. Que demander de mieux.



Point radin : validé.









Le jeu : Que vaut-il ?





Les graphismes




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Le jeu, Fable 1 a remarquablement vieilli. A l'époque, il était considéré comme l'un des plus beaux jeux de la console. Le jeu a encore aujourd'hui tout pour plaire. Des environnements détaillés, une évolution des cicatrices sur notre héros, une alternance jour/nuit. Le tout peut être surveillé par une caméra qui peut être tournée à 360 degrés. Toutefois, le caractère design est particulier, mais cela n'engage que ma personne.



Point qui flatte la rétine pour Fable 1 : Validé.



Fable 2 est comme son ainé : Les développeurs ont placé la barre très haut : Voyez l'image ci-dessous. Les environnements, surtout sur une télé HD fourmillent de détails. Les éléments du personnages ( barre de vie, éléments de soins ) sont réduits au minimum. C'est beau à voir.

Le jeu poursuit son identité qui lui est propre. Personnellement je trouve les personnages féminins moches. J'ai attendu la fin du jeu pour me trouver une compagne. A part cela plus d'une fois, je me suis arrêté pour contempler les paysages. C'est beau et cela le reste.



Point qui flatte la rétine pour Fable 2 : Validé.






Fable 3 : On aurait pu penser que la barre des graphismes serait encore montée d'un cran. Et bien non. Les développeurs ont gardé le même moteur graphique que Fable 2. Seulement entre temps, il y a des jeux bien plus beaux qui sont sortit. On a l'impression de jouer à un Fable 2.1. L'univers industriel est plus sombre, plus sale, mais la magie d'Albion semble diminuée. Ce qui était magnifique pour le deuxième opus semble normale ou limite pour le troisième. Et ce design particulier devient vraiment rédhibitoire. Heureusement Elise sauve la barque. Elle est le seul personnage féminin bien modélisé à mes yeux.



Point qui flatte la rétine pour Fable 3 : Non validé.

















Le gameplay







Souvenez vous de ce que je disais en introduction : Ce jeu est fait pour votre compagnon/compagne. Tout est basé dans Fable 1 sur des raccourcis. La croix multidirectionnelle contrôle les raccourcis pour les expressions. Les quatre boutons contrôlent les raccourcis vers les actions de combat. Magie, combat à distance, combat rapproché. A chaque fois, quatre boutons pour trois style. Cela demandera un peu d'adaptations. Mais on sent la volonté des développeurs de créer un style abordable avec une prise en main facile.



Point gameplay Fable 1 : Validé.




Pour Fable 2 : On rend le gameplay encore plus facile : Quatre boutons et c'est tout. Le bouton A contrôle la roulade, le bouton X le combat rapproché, Y pour le combat à distance, A pour la magie. On a rarement vu pour un RPG un gameplay aussi simple. L'amélioration du personnage se fait par un système d'upgrade à partir des menus. De même que la sélection d'objet. C'est simple et intuitif.



Point gameplay Fable 2 : Validé.



Avec Fable 3 : C'est l'apothéose. On garde le système de Fable 2 mais tout élément d'upgrade et de la sélection des objets est supprimé. On a une route des pouvoirs pour l'amélioration du personnage. Aucun choix, il faut ouvrir tous les coffres pour un personnage optimisé. Pour les armes, toutes les indications d'améliorations sont notées, il suffit de demander. Et pour les items, seuls les items de soins sont à l'écran, sélectionnable avec la croix directionnelle. Tout le reste se fait dans une pièce ou tous les éléments sont en vue : Habits, choix des couleurs etc.

C'est moi, ou les concepteurs nous prennent pour des imbéciles et où tout nous est servis sur un plateau ?



Un gameplay limite enfantin et très abordable.



Point gameplay pour Fable 3 : Argh, v...validé.





Les sons et les musiques.




Dans les trois jeux je dirai la même chose : Les musiques et les sons sont très bons. Ils contribuent à créer une atmosphère identitaire. On retrouve certains thèmes dans les trois jeux. Mais une fois le jeu terminé, ces musiques et cette ambiance ne restent pas en tête comme les musiques d'un Final Fantasy. Les sons et musiques font très bien leur travaille tant que vous restez dans le jeu.





Point son validé.





Le scénario.




Ici, pour les trois opus, on ne parlera jamais de révolution.


Le premier offre une trame principale, un fil rouge, mais la liberté de construire le personnage est laissé au joueur. C'est appréciable et à l'époque très intéressant, sans être révolutionnaire. On suit un personnage durant un grand pan de sa vie.



Point histoire : validé pour Fable 1




Pour Fable 2 : C'est une petite déception. Le scénario est calqué sur Fable 1 avec toutefois plus de liberté. Mais comme on sait ce qui nous attend, la surprise est absente. Mais Albion et ses petites histoires reste toujours aussi prenante.



Point histoire : Non validé pour Fable 2



Pour Fable 3 : Les développeurs ont tenté d'innover. On quitte le schéma du 1 et 2. Le jeu se découpe en deux phases : Faire la révolution puis diriger le royaume. Mais la manière dont vous le ferez, bonne ou mauvaise ne dépend que de vous. L'histoire gagne en maturité et un bon côté plus sombre assez agréable.

Point histoire validé pour Fable 3



Conclusion



La saga Fable rassemble trois jeux de qualités. Avec des défauts certes mais pas assez important pour bouder l'un ou l'autre opus de la saga. Toutefois, la facilité de cette saga décevra plus d'un : Vous pouvez faire Fable 3 sans mourir une seule fois. Et le gameplay va en se simplifiant. Ce qui fait que vous pouvez tout à fait faire découvrir à votre moitié cette saga et montrer que le jeu vidéo n'est pas dur, compliqué et violent avec que des pam pam, boom !



Message édité 1 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 16/03/13 à 14:24.


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