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Blork & size.fac > Articles de Thibault de Mondidier
Dépanneur bénévole à l'insu de son plein gré
La caverne du delaygamer
Ici je teste les jeux qui me plaisent mais avec l'oeil d'un joueur radin et habitué aux jeux de la génération ps3 et 360Filtrez les articles de cet auteur par catégorie :
Huitième test : Drakengard sur PS2
Article posté
le 22/06/12 à 15:40
Bonjour à tous.
Aujourd'hui on va parler d'un jeu de Square Enix. Non mais oh ! Vous allez où ? Je n'ai jamais parlé d'un Final Fantasy. Merci d'êtres revenus. On va parler d'un dark-rpg. Avec un scénario simple mais avec des protagonistes torturés, une ambiance pesante...Aujourd'hui, on va parler de Drakengard !
Combien allez vous payer ?
Ce jeu a 8 ans d'âge. Il est sortit en 2004 sur PS2 et a donc perdu de sa valeur. Amis delaygamers, vous allez pouvoir vous faire plaisir : Ce jeu, vous pouvez l'acquérir si vous acceptez de donner entre 3 et 8 euros. Une affaire donc, surtout quand on connait le potentiel de ce jeu.
Point radin validé.
Le jeu marche t-il sur ma PS3 ou vais-je devoir ENCORE ressortir ma PS2 du plac... ? ( Ah ben non, en faite comme moi vous devez la garder à côté de votre PS3.)
Et encore une fois, ça ne marchera pas. Vive notre PS3 non rétrocompatible ! La PS2 a donc de beaux jours avec les jeux que je vous propose.
Point rétrogaming non validé.
Le jeu : Que vaut-il ?
Les graphismes.
Comme vous pouvez le voir, le jeu a très bien vieilli. Les environnements que vous traverserez sont grands, donc par conséquent, le brouillard, sera bien souvent très présent pour épargner votre PS2 vieillissante. Mais c'est un détail. Car au vue du nombre d'ennemis que vous devrez occire, vous n'aurez pas le temps d'admirer le paysage. Par contre, comme c'est du Square Enix, les cinématiques sont toujours aussi belles et cela apporte pas mal de cachet au jeu. La modélisation des personnages est bonnes, leurs mouvements sont fluides. C'est du travail bien fait.
Point Graphique : Validé.
Le gameplay
Square Enix ne nous a pas laissé en reste : Nous avons à faire à un Gameplay riche : Tout d'abord, Caim, notre anti-héros sait manier toutes sortes d'armes blanches, de différentes tailles, avec chacune leurs caractéristiques : Plus vous tapez, plus vous enchainez de combos avec le bon timing, plus la barre verte ci-dessus se remplit : Et une fois les différentes barres remplies, sur une simple pression d'une touche, vous déclencherez des magies plus ou moins dévastatrices. Mais si Caim se voit affaiblies à cause de votre négligence, des personnages des soutiens pourrons intervenir quelques minutes le temps de faire le ménage. Et comme vous pouvez le voir en haut de l'image, vous possédez une roue des armes qui permettra de changer d'armes en cours de partie et donc de stratégie. Enfin, quand je parle de stratégie, c'est surtout de style de combat : Car le stratégie de ce jeu c'est le nettoyage par le vide.
La deuxième partie de ce gameplay change du tout au tout : Quand ce sera possible, appuyez sur la bonne touche et chevauchez à dos de dragon et lâchez vous ! C'est le carnage. D'autant plus que l'hémoglobine est un élément visible du jeu, vous pouvez vous faire plaisir. Comme Caim, le dragon a une barre de magie qui se déclenchera de la même façon.
Mais comme nous sommes dans un action rpg, vos compagnons évoluerons et prendrons des niveaux : Pour le dragon, cela affectera son apparence et la puissance de ces magies.
Et enfin la dernière partie : Des missions uniquement à dos de dragons : Vous devrez battre des ennemis aériens en nombre. Bien sur la possibilité de locker vos cibles sera d'une grande aide : Car dans tout le jeu vous partez toujours défavorisé : 1 contre 100.
Point gameplay validé.
Les sons et les musiques :
Vous avez pas oublié, on est dans chez Square Enix. C'est une valeur sur. Les musiques sont prenantes, magnifiques. Et en plus, comme on est dans une ambiance Dark, certaines accentuerons le sentiment de malaise de jeu. Bref, les musiques et les sons nous mettent dans une ambiance pesante et guerrière. Magnifique !
Point son, validé
Le scénario.
Ici....on a vraiment du mal à croire qu'on est chez Square.
Voici la vidéo introductive du jeu :
http://www.youtube.com/watch?v=mTFi0BZ35NU
On a vraiment du mal à croire ce qu'on voit : Un personnage violent, aimant se battre, faisant couler le sang. Il est violent, agressif, solitaire. Bref, un anti-héros du nom de Caim. Du bonheur. Le scénario est sombre et sanglant : Vous devrez lutter contre un empire menaçant qui va finir par kidnapper votre soeur. Et pas le temps de souffler : Dès le début du jeu vous entrez au coeur du conflit. Caim est gravement blessé et sa seul chance de survie : S'allier par un pacte avec un Dragon. Enfin, une dragonne. Tout deux se détestent mais ils devront s'allier pour survivre. Et les personnages qui vont graviter autour de notre anti-héros sont tous porteurs de lourds secrets. On a des personnages fouillés, troublés, certains sont limite fous.
Le jeu se découpe de la façon suivante : Choix d'une bataille sur carte, équipement des armes, choix des personnages, missions en dragon ou à terre, dialogues.
Mais vous n'aurez pas le temps de souffler...surtout que le jeu compte 5 fins différentes....vous y accéderez à certaines conditions, mais nul besoin de recommencer le jeu. Les fins offrent une vision alternative des évènements. Et je peux vous dire à l'avance que vous allez en baver : La dernière fin ne se débloque qu'en trouvant toutes les armes du jeu. Et certaines m'ont donné du mal.
Ah oui, petite précision : Ce jeu m'a mis mal à l'aise à cause d'un élément : Les bébés. Ce jeu donne dans une des fins la concrétisation parfaite de l'expression suivante : pervers polymorphes
Point scénario : Validé
Conclusion
Drakengard est passé un peu inaperçu. Pourtant c'est une perle, tant au niveau du scénario qu'au niveau du gameplay. Certes il a vieilli et souffre de quelques imperfections techniques, mais, Square Enix nous a montré qu'eux aussi savent faire du dark rpg avec classe et brio.
Mais attention, ce jeu n'est pas à mettre en toutes les mains. Vous serez bénis/corrompus par ce jeu qu' à partir de votre 16e année.
Message édité 1 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 22/06/12 à 15:41.
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Septième test : Kessen 3 sur PS2
Article posté
le 16/06/12 à 17:32
Bonjour à tous.
Aujourd'hui. Aujourd'hui nous allons continuer sur la veine des jeux de stratégies sur....PS2. Quoi ? Non mais attendez, pourquoi vous partez, j'ai du bon, pour une fois sur PS2 on a le droit à un vrai bon jeu de stratégies, en plus y a la version japonaise et de belles femmes ! Quoi ? Vous revenez uniquement pour voir une hollandaise blonde à forte poitrine parler le japonais.....on voit votre intérêt pour Kessen 3 qui est sortit en 2005 !
Combien allez vous payer ?
Ah oui j'oubliais. Vous êtes radin. Alors pour ce jeu, il va falloir un peu investir. Vous pourrez l'obtenir pour au minimum 10 euros et maximum 20 euros. Mais vue la petite perle ce serait dommage de rater une telle occasion.
Kessen 3 valide le point radin.
Le jeu fonctionne sur PS3 ?
Non. Et là je remercie Sony de sa politique : Nous avons produit une série de PS3 rétrocompatible mais bien sur, on a arrêté de la produire. Donc pour profiter de ce jeu, ressortez votre PS2 et dépoussiérez votre carte mémoire.
Donc c'est triste à dire mais Kessen 3 ne valide pas le point rétrogaming. Car bien sur, ceux qui ont gardés leur PS2 sont une minorité, c'est bien connu.
Le jeu : Que vaut-il ?
Les graphismes.
Alors là, y a rien à dire. Pour les cinématiques, c'est du grand art. Et cela a très bien vieilli aujourd'hui. On a des cinématiques nombreuses et de qualités. Par contre pour les décors sur les champs de bataille sont un peu dépouillés. Mais....en contre partie, aucun ralentissement ne viendra vous gêner malgré le nombre de soldats présents à l'écran. Pour la modélisation des personnages, c'est du bon car aucune caricature et Kessen 3 garde une façon de modéliser connue pour les joueurs de Dynastie Warriors qui auront une impression agréable de déjà vue.
Pour un jeu de 2005, Kessen 3 s'en sort avec les honneurs. Point graphique validé.
Le gameplay
Pour un jeu de stratégie, c'est le point central.
Vous allez donc combattre dans le japon du XVIe siècle selon un schéma simple.
Vous contrôlez un général qui a des troupes à ses ordres. Vous pourrez devenir une troupe de cavalier, de piquiers, d'épéistes, de fusillers, de ninjas. Chaque troupes à ses forces et faiblesses. Et plus vous avancez dans le jeu, plus les généraux à vos ordres seront nombreux.
Les généraux pourrons être secondé par des unités auxiliaires elles aussi contrôlables, mais bien souvent vous placerez dans ces unités les archers et les fusillers.
Ces généraux pourrons avoir des coups spéciaux en fonction des parchemins que vous leur équiperez. Plus vous vous en servez, plus ses sorts seront forts.
Vous aurez des sorts d'attaque, de défense, de soutien.
Ensuite, une fois vos généraux sélectionné, vous ferez d'abord des missions secondaires. Indispensables pour augmenter le niveau de vos troupes, évitant ainsi de vous faire décimer lors de batailles principales. Chaque bataille sera conclue par une note en fonction de vos performances : Et plus la note est haute, plus les objets gagnés seront important. Sachant qu'il y a de nombreux objet à trouver sur le champ de bataille ( non indiqué sur la carte ), certaines batailles seront ardues si vous voulez avoir la note S maximale.
Au cours des batailles vous pourrez switcher entre vos généraux. Et c'est plus que conseiller. L'IA est assez faible et vos troupes risquent souvent de se faire massacrer sans votre talent personnel. Plus d'une fois vous retournerez la situation en prenant les commandes alors que si vous aviez laisser faire l'IA, défaite.
Sur le champ de bataille, vous êtes libre de gérer les troupes à votre aise. Mais rassurez vous, la difficulté monte lentement et vous êtes toujours briffé par vos conseillers. En effet, avant vos batailles, vous avez un conseil de guerre qui vous donnera tous les outils pour réussir votre guerre.
Et entre chaque bataille, vous pourrez dépenser votre argent et équiper vos généraux des meilleurs équipement possibles pour faire d'eux des foudres de guerres.
Cela peut paraître rebutant lu ainsi, mais tout est clairement expliqué dès le départ, hormis quelques détails qui viennent avec l'expérience.
Il est clair qu'instinctivement vous n'allez pas envoyer une troupe d'archer se battre au corps à corps avec des épéistes.
Du point de vue collectionnite, si vous vous lancez dans l'idée de retrouver toutes les armes, armures, objet, parchemins, chevaux, type de troupe, vous n'êtes pas prêt de finir d'éteindre votre PS2.
Nous avons donc un gameplay riche, qui se découvre au fur et à mesure des chapitres. Point gameplay validé.
Musique et Sons.
Dans les domaines, c'est du bon. Voir du très bon. Les musiques et les sons collent parfaitement à l'action. Vous serez bien étonné de fredonner les différents airs qui se jouent car ils peuvent vous motiver, ou vous stresser. Et surtout, cerise sur le gâteau, le jeu contient les voix japonaises ou anglaises. Un choix trop rare et qui mérite d'être souligné.
Point son et musique validé.
.
Le scénario.
Nous allons donc découvrir l'histoire romancée de Nobunaga. L'unificateur du japon. L'histoire s'étale sur 12 chapitres, ce qui vous demandera une trentaine d'heures pour en venir à bout. Mais il faudra recommencer le jeu une deuxième fois pour faire les batailles que vous n'avez pas faites en première partie, et surtout pour débloquer la vraie fin.
Le scénario est magnifiquement construit. Certes ce n'est pas la réalité historique mais les personnages principaux et secondaires sont bien construit et on a pas envie de lâcher le jeu.
Pour tout fan d'Histoire du Japon, Kessen 3 sera faire des heureux.
Point scénario : Validé.
Conclusion
Un bon jeu, pas cher, qui a bien vieilli, avec les voix originales, avec un gampleay solide, et une superbe histoire : Que demande le peuple ?
Message édité 5 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 17/06/12 à 09:03.
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Sixième test : Victoria sur PC
Article posté
le 08/06/12 à 16:45
Bonjour à tous.
Aujourd'hui petit retour en arrière par rapport au précédent test. Nous sommes en 2003 et un petit jeu sur PC se présente à vous : Pour le passionné d'histoire, ce jeu est une petite pépite. Minimaliste dans sa présentation, dur à prendre en main, mais une fois que les bases sont assimilées, on peut carrément modifier le cour de l'Histoire, juste avec un pays. Vous vous êtes toujours demandé où en serait le monde s'il n'y avait pas eut de première guerre mondiale ? Ou alors si l'Angleterre avait épousé la cause des Sudistes ? Ou bien même si la France avait gagné la guerre de 1870 ? Ce jeu et son mode Frenchill vous propose tout cela.
Victoria, un empire en expansion de 1836 à 1920
Combien allez vous payer ?
Le delaygamer que je suis exulte : Depuis la sortit de Victoria II, le petit frère a fait chuté la côte de ce jeu. Vous le trouverez à partir de 0,90 euros. Un bon investissement pour ce jeu qui peut se révéler très chronophage.
Point validé.
Le jeu s'installe-t-il facilement sur mon PC actuel ?
Oui presque.
Le jeu s'installe sans aucune modification de compatibilité. . Mais pour ce jeu, les fans ont fait un grand travail qui améliore les défauts du jeu. Voilà comment profiter du jeu au maximum :
D'abord commençons par télécharger le patch 1.4
http://www.clubic.com/patch-jeux-video-1033-0-victoria-un-empire-en-construction.html
Mais avant de l'installer, il va falloir faire une manip, car ce patch est en anglais :
Dans votre moteur de recherche de l'ordinateur tapez « regedit »
Et pour ceux qui ont windows 7, et vista une fois dans regedit il faut aller dans HKEY_Local_Machine_ software/wow6432node/paradox entertainment/victoria en double-cliquant sur chacun de ces dossiers (pour les sous dossiers un clic suffit). et là une ligne intitulée "lang" apparaît.Double-cliquez dessus, et mettez English, cela permettra l'installation du patch
Vient ensuite l'ultime patch : Le mode Frenchill 1.8
Le patch qui va vous ouvrir les portes de l'Histoire.
http://www.strategium-alliance.com/liste-des-jeux/les-jeux-classes-de-h-a-z/victoria/mod-franchil/mod-franchil-version-francaise/
Les deux patch s'installent sans rien modifier. Suivez les instructions en disant « oui » à toutes les demandes et enfin profitez d'un Grand jeu de Stratégie.
Victoria valide ce point
Le jeu : Que vaut-il ?
Les graphismes.
Sur ce jeu, les graphismes sont minimalistes. En effet, mis à part une carte de tous les Etats du monde de cette période et l'animation des soldats, vous n'aurez rien d'autres. Vous travaillez sur une carte représentative des pays et pour le style proposé c'est amplement suffisant. Toutefois je dois reconnaître qu'un effort de précision concernant les frontières auraient été un plus, mais là je chipote. Toutefois, je vais être dur. Même en étant efficace, c'est un peu pauvre .
Donc, Victoria ne valide pas ce point.
Le gameplay
Alors là, c'est LE point fort du jeu. Victoria est bien l'un des jeux les moins accessibles que j'ai eu entre les main. Déjà, il y a une absence de tutoriel, donc vous devrez apprendre sur le tas. Et au début, les échecs seront très nombreux.
Mais si vous insistez, vous allez découvrir un système riche. Dès le commencement, vous allez entrer dans une course gigantesque : Vous devez vous enrichir, tout en contrôlant votre budget, vos partis politique, votre population. Tout se fait avec les tableaux qui se trouvent à gauche de la carte. Un exemple ci-dessous :
C'est le plus important. Votre budget : Vous devrez trouver l'équilibre. Surtaxez les pauvres et c'est la révolte. Surtaxez les riches et ils partiront de votre pays. Sous estimez le budget éducation, et votre pays prendre du retard dans la découverte des nouvelles technologies. Et ne croyez pas maintenir un budget pour l'armée pendant X années. Vous ne tiendriez pas. Et enfin, évitez de taxer le commerce à l'excès. Sinon c'est révolte assurée ! Bref, un nombre impressionnant de paramètres à prendre en compte rien que pour le budget. Vous pourrez également contrôler votre système : République ? Monarchie ? Totalitarisme à vous de choisir. Vous souhaitez faire des réformes sociales : Pas de soucis, c'est prévu. Mais attention, cela coût TRES cher.
Vous avez besoin de matières premières pour construire des Usines ? Le jeu y a pensé également. Bref tous les domaines pour bien gérer un pays sont abordés.
Et bien entendu, vous aurez à diriger la politique extérieure : Ne croyez pas que vous pourrez faire la guerre toutes les cinq minutes : Chaque acte de politique extérieure consommera un point de diplomatie. Vous n'en aurez que deux par an au mieux et vous pouvez en cumuler neuf. Par exemple vous êtes la Belgique, et vous déclarez la guerre à la Hollande. Ne croyez surtout pas pouvoir vous emparer d'une province avec 1000 hommes. Car chaque région peut se conquérir mais la topographie pourra affaiblir vos hommes. Plus vous êtes nombreux, plus la région passera sous votre contrôle et a des chances lors du traité de paix de vous appartenir. Et si jamais vous n'êtes pas préparé, l'IA ne se ménagera pas. Elle vous taillera en pièce et viendra se venger sur vos terres. Alors certains me diront : Signons la paix. Bien sur, mais l'IA n'acceptera que si vous avez un net avantage ou vice et versa. Et cela peut vous rapporter beaucoup comme cela peut vous couter très cher.
A vous de ménager ou pas vos voisins. Sachant qu'être seul quand on est encerclé de pays belliqueux peut s'avérer risqué.
Et bien sur, grâce au mode frenchill qui améliore le scénario du jeu, vous pourrez même réussir à ou les livres d'histoire disent l'inverse : Ainsi, contrairement au jeu de base, le mode frenchill a pensé à ceux qui croient pouvoir gagner la première guerre mondiale avec l'Allemagne : Le résultat est très surprenant.
Donc Victoria valide ce point. C'est ce qui m'a fait adoré le jeu.
Mais pour ceux qui craignent ne pas y arriver : Voilà de quoi vous guider.
http://www.strategium-alliance.com/liste-des-jeux/les-jeux-classes-de-h-a-z/victoria/articles/guide-pour-debutants/
Les sons et les musiques :
Ici aussi on est dans le minimum.
Les sons d'ambiances, cris de révolte, annonces d'un message agrémentent un peu le jeu, mais vue leur répétitivité cela vous énervera plus qu'autre chose.
Et pour les musiques : On est dans le domaine des musiques classiques libres de droit. Elles seront sympathiques en bruit de fond mais n'ont rien d'extraordinaire car déjà mondialement connues.
Donc Victoria ne valide pas ce point.
Le scénario.
D'emblée, Victoria ne valide ce point.
Car le scénario tient sur un ticket de métro : Vous devez finir première puissance mondiale en 1920.
MAIS. Le scénario est plus subtile pour ceux qui creusent un peu : L'histoire s'étale sur le XIX e siècle et le début du XX e. Alors à vous de vous construire votre propre scénario selon vos envies. Le mode Frenchill a ses limites mais offre déjà pas mal de possibilités. Et faire le tour des 8 puissances principales vous transformera en beau nolife. La durée de vie d'un scénario peut être conséquente : Une dizaine d'heure par pays est un minimum. Mais comme je l'ai dit, c'est à vous de décider ce que vous voulez faire. Personnellement j'ai adoré changer l'histoire à ma guise au point parfois d'éviter la première guerre mondiale, ou mieux, de la gagner avec des pays qui n'en avait pas la capacité sur la papier.
Conclusion
Victoria, derrière des graphismes et une bande-son minimalistes cache un trésor de gameplay. Un jeu à réserver au passionné de gestion et d'Histoire. Mais son défaut est qu'il est dur à prendre en main. Mais une fois les mécanismes en main, ce jeu est très chronophage.
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"Qu'estce qu'un bon jeu " ?
Article posté
le 04/06/12 à 07:57
Alors attention, avant d'être incendié, lapidé.
Ce que je vais dire n'est que mon avis personnel. Je ne cherche pas à l'imposer, et je respecterai celui des autres.
Un bon jeu c'est avant tout pour moi une histoire. Une histoire dans laquelle je vais pouvoir participer d'une façon ou d'une autre.
Certains dirons : Dans ce cas, achète un blue ray et regarde.
Justement je répondrai : Dans un film on n'est qu'un spectateur. Dans un jeu on peut être acteur en faisant des choix.
Donc premier critère : Le scénario.
Mais dans ce critère, je vais développer deux points :
Les jeux où il y a a des romances.
Les jeux où il n'y en a pas.
Les premiers sont ceux que je recherche par dessus tout. Alors certains dirons : pervers en manque.
Pas du tout. C'est juste que l'amour est le plus noble des sentiments. Hors si des créateurs peuvent avec l'aide des dernières technologies nous faire apprécier une histoire romancée, j'achète.
Je peux donner des exemples :
Tales of Symphonia : Les romances sont nombreuses et les liens tissés lors des scénettes sont touchantes.
Suikoden V : Avec un romance bien sous entendu mai très touchante
Mass Effect : Et là je n'ai pas pu me départager : Ce sont ces jeux que j'ai recommencé pour avoir une partie avec Liara et une partie avec Tali.
Dragon Age : Ah....Lelianna dans le premier....Merill dans le second : Une relation très touchante avec des personnages travaillés....un bonheur.
Maintenant les autres jeux : Alors certes la romance est un atout qui me fera acheter un jeu ou non.
Mais s'il n'y en pas mais qu'on a un scénario béton, avec intrigue, trahison. Là aussi, je ne regarde pas, j'achète.
Des exemples
Tales of Vespéria.
Nier
Drakengard
Sybéria I et II
Bioshock
Donc me demanderez vous ?
Le gameplay ?
Bah....pour moi c'est secondaire : Tant qu'il n'est pas lourdée par des bugs ou qu'il soit impossible comme les expériences du joueur du grenier, cela n'a aucune importance.
Les graphimes ?
Etant donné que je suis un retrogamer je suis capable d'apprécier un métroid sur Nes comme un Mass Effect 3....donc, cela n'a aucune importance.
Donc à mes yeux, ce qui fait la qualité d'un jeu : Une histoire et s'il y a une ou des romances à l'intérieur, je dis oui de suite.
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Cinquième test : Sniper élite sur PS2
Article posté
le 01/06/12 à 09:34
Bonjour à tous.
Aujourd'hui nous faisons un bon retour vers notre présent. Le jeu aujourd'hui a 7 ans, il est sortit au cours de l'automne 2005 et pour ma part, je viens de le terminer avant hier. Ce jeu m'a donné du fil à retordre ! A présent, entrons dans ce monde où les simulations de Sniper ne sont guère légions.
Combien allez vous payer ?
Ce jeu a moins de 10 ans, mais la côte est faible. Car il faut dire que le jeu n'est pas exempt de défauts que je développerai plus bas. Comptez entre 4 et 10 euros pour l'obtenir dans sa version PS2, Xbox et PC. Par contre, ce jeu a connu une réédition sur Wii accompagnez d'un fusil en plastique pour améliorer le Gameplay, mais alors là, c'est tout de suite plus cher. Comptez une trentaine d'euros. Toutefois n'étant pas en possession de cette version, je ne parlerai que de la version PS2.
Donc un jeu pas cher et qui se trouve facilement.
Sniper élite valide donc le premier point.
Le jeu : Que vaut-il ?
Les graphismes.
Ce jeu nous ramène 7 ans en arrière et c'est tout à fait honnête pour la PS2. Certes les environnements sont monotones. Nous sommes dans un Berlin en ruine et comme vous pouvez le voir avec l'image ci-dessus, tout tourne autour de deux couleurs : Le brun et le gris. Mais bon, on est en guerre, on est pas là pour regarder le paysage.
Par contre les cinématiques sont juste limites pour une PS2. On sent très bien que les concepteurs se sont centrés sur le jeu et que les cinématiques ne sont qu'un ajout pour permettre une transition entre les différentes missions. Par contre, étant donné la grandeur des niveaux, un brouillard lointain viendra cacher les textures pour alléger la console.
Le point est donc validé.
Le gameplay
Alors là....il y a de quoi dire. C'est le point fort du jeu mais il y a des défauts qui viendront plomber cette expérience de simulation de Sniper.
D'abord dans les qualités : Nous sommes donc dans une simulation : Il est hors de question de faire du forcing surtout dans le mode de difficulté maximal que j'ai adopté pour plus de réalisme. Vous avez des objectifs de missions comme vous le montre l'image ci-dessous.
Ils peuvent être plus ou moins nombreux. Mais le bon point c'est que vous pouvez régler les différents objectifs comme bon vous semble. Le jeu n'est pas scripté et les adversaires vont s'adapter en fonction de votre tactique. Par exemple vous allez choisir un point surélevé : il n'est pas rare qu'en tuant votre premier ennemi, les autres patrouilles partent à voytr recherche et vous trouvent et vous mitraillent dans le dos juste derrière vous.
Pour pouvoir accomplir votre mission vous allez avoir surtout besoin de votre fusil sniper. En mode facile, c'est simple : On s'équipe, on vise, on tire et paf un mort. En mode sniper élite vous devrez prendre en compte : la distance qui vous sépare de la cible, la gravité, le vent et bien souvent le déplacement de la cible et enfin bloquer votre respiration pour éviter de subir les mouvements inconscients.
Et c'est là un des points faibles du jeu. Hormis un indicateur situé au dessus de la lunette de visé, ici le chiffre zéro, vous n'avez que vos yeux et votre expérience pour viser juste. Il n'est pas rare de tirer deux fois pour parvenir à toucher la cible. Si vous avez rempli toutes les conditions, un magnifique ralentissement vous montrant le chemin de la balle se déclenche donnant une belle sensation de victoire.
Le jeu présenté comme ça est parfait. D'autant plus que vous avez des tnt, des bombes à retardement, des mines à distance, des cailloux pour faire du bruit, un pistolet silencieux pour compléter votre arsenal.
Mais.....car oui il y a un mais, il y a de gros défauts qui viennent plomber cette belle expérience : Déjà votre personnage est lent. Une fois couché, il mettra beaucoup de temps à se relever et donc vos ennemis armés de mitrailleuses ont tout le temps de vous plomber.
Ensuite, lorsqu'il s'agit de lancer une grenade vous devez : Sélectionner une grenade, viser ( grâce à une simulation par des points ou on verra le point de chute ), lancer. C'est long et quand vous êtes seul contre dix, c'est un sacré handicap.
Un autre défaut : Les ennemis sont des surhommes : Si vous ne visez pas la tête ou si vous ne déclenchez pas le headshoot, il faudra trois balles pour les achever. Ils ont alors tout le temps de gueuler et de rameuter leur copains.
Ensuite votre arme, le fusil sniper, bien qu'il ait une précision redoutable, il fait un bruit de malade. Vos ennemis dès le premier tire sauront où vous êtes. Et là....même à deux cents mètres ils utiliseront leur mitrailleuses et deux fois sur trois ils vous toucheront.
Si on était dans un TPS moderne, avec l'air pur comme médikit pas de problème. Mais ici on joue à l'ancienne. Le petit homme en vert ci- dessus vous indique votre jauge de santé. Et bien sur, les trousses de soins sont limitées. Ce qui rend le jeu incroyablement dur. Surtout que les missions sont longues. Et de surcroit, vous pouvez certes sauvegarder quant vous voulez, mais vous voyez le petit chiffre « 6 » sur la boussole : Et bien c'est le nombre de sauvegardes disponibles.
Donc c'est un gameplay qui demande de la patience. Alors vous avez certes sur vous une mitrailleuse, mais elle est tellement imprécise et braillante que vous ne l'utiliserez que rarement.
Et enfin, n'espérez pas courir comme bon vous semble. Car si vous courez vous faites du bruit, on vous repère, mais en plus vous ne pourrez plus viser correctement pendant un temps donné à cause de votre rythme cardiaque. Donc en gros, les trois quarts du temps vous allez ramper au sol en n'aillant que vos yeux pour distinguer les ennemis qui sont en bruns dans des décors en gris. Plus d'une fois j'ai hurlé car en gros vous devez mourir pour savoir où était vos ennemis. Les jumelles que vous avez aident que lorsque vous êtes bien caché. Car vos ennemis ont des yeux de rapaces !!
En résumé, c'est une excellente simulation de Sniper....réaliste....mais lourdée par des défauts....qui si vous n'êtes pas patient vous ferons avoir des crises de nerfs à répétition.
J'ai terminé ce jeu....mais je ne valide pas le point....non...je peux pas....
Les sons et les musiques :
Pour ces deux domaines : C'est réaliste : Vous devrez vous appuyer bien souvent sur les tires d'artillerie pour masquer votre propre tire. Donc les sons sont indispensables et les cris des populations ne vous laissent pas en paix. Et les musiques sont là pour vous mettre encore plus en alerte. Elles ne se déclenchent bien souvent que dans les situations de stresse, donc accentuent encore la pression sur vous et la peur de vous faire repérer. Surtout que bien souvent, vous entendrez les bruits de pas des soldats mais vous ne serez pas où ils sont. Ils gueuleront sans cesse « repli stratégique » et ainsi vous devrez les faire taire sans vous faire repérer.
Point validé.
Le scénario
On se situe à la fin de la seconde guerre mondiale. Berlin est encerclé par les russes et vous, fils de diplomate, connaissant la ville et la langue, vous êtes recruté par l'OSS pour mettre la main sur les recherches en matière de nucléaire avant les Russes. Vous avez donc les allemands et les russes comme ennemis.
Et....c'est tout. Le scénario n'est donc qu'un prétexte au jeu et reste parfaitement dispensable.
Point non validé.
Conclusion
Sniper élite aurait pu être un grand jeu si son gameplay n'était pas lourdé par des défauts qui vous ferons péter les plombs si vous n'êtes pas patient et habitué aux jeux de guerres actuels.
Alors pourquoi j'ai joué à ce jeu : J'adore jouer le rôle de sniper, j'adore l'histoire de la seconde guerre mondiale. Et au début....je pensais passer un bon moment. En faite, c'est par patience que je suis arrivé à la fin de ce jeu qui m'a demandé une trentaine d'heure. Et surtout malgré les défauts, j'étais toujours grisé quand j'arrivais à finir une mission vivant en ayant réussit à dézinguer une cinquantaine de soldats avec juste un silencieux, quelques grenades et mon fusil sniper.
Un jeu que je conseil qu'au plus patient donc....d'autant plus que ce jeu a une « suite » sur PS3...mais de ce que j'en ai vue....la suite a les mêmes défauts que ce grand frère...et contrairement à certaine images, le jeu sur PS2 est intégralement en français.
Message édité 1 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 01/06/12 à 09:35.
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