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Blork & size.fac > Articles de Thibault de Mondidier > Cinéma
Dépanneur bénévole à l'insu de son plein gré
La caverne du delaygamer
Ici je teste les jeux qui me plaisent mais avec l'oeil d'un joueur radin et habitué aux jeux de la génération ps3 et 360Filtrez les articles de cet auteur par catégorie :
Critique 4 : Dark Crystal
Article posté
le 03/08/14 à 07:04
Beaucoup déclarent aimer l'héroic fantasy. Les jeunes qui sont nés vers les années 2000 ont pour référence visuelle le Seigneur des Anneaux. Et c'est vrai qu'il est difficile de trouver un film qui a la même aura que cette trilogie.
Pourtant, nous les vieux, bien avant le Seigneur des Anneaux, on avait nous aussi notre film de référence. Aujourd'hui je vais vous en parler : DARK CRYSTAL.
Combien cela va me couter ?
Vous pouvez sans problème trouver ce film que ce soit en DVD ou en Blue Ray pour moins de 10 euros et franchement, vue le pavé que c'est : C'est donné.
Donc le point radin est validé.
Que contient le coffret ?
Bonus/Goodies :
Les Origines de Mithra
Illustrations des Personnages
Storyboards
Le Monde de Dark Crystal
Scènes Supplémentaires
Les Personnages - Conception, graphique et profils
Films-annonces
Filmographies
Les classique Bonus. Mais là je ne cite que les Bonus qui sont présents dans mon DVD. Et personnellement, c'est un peu léger. Mais bon DVD oblige, on va pas avoir une avalanche non plus comme aujourd'hui.
Donc : Point collectionnite : Non validé.
L'identité visuelle.
Oh là là....nous sommes en 1983....autrement dit : Les trucages numériques : On oublie. Et c'est déjà là que le film fait très très fort : Il a fallu cinq années de travail. Et le résultat plus de 30 ans après est toujours aussi impressionnant. Ils ont réussi à donner le meilleur avec ce qu'ils avaient à l'époque. Que ce soit pour les créatures du film. Bon sang on y croit même si on sait que ce sont des marionnettes : Elles ont l'air bien vivantes, à aucun moment on se dit : « Tiens, l'acteur s'y prend mal. » L'univers qui a été crée est impressionnant car jamais vu avant. Rendez vous compte, on nous a crée un univers entier qui n'a rien à voir avec le monde des humains. Vous découvrez celui-ci en même tant que le héros de l'histoire. Rien n'est familier tout est original. Preuve que les artistes ont fait un excellant travail pour les décors : Que ce soit pour le château des Skekses ou les décors que nos deux Gelfling devront traverser.
Donc, point flatter la rétine : Validé.
Les musiques et les doubleurs.
On savait doubler à l'époque, ça je peux vous le dire, on est pas au club dorothée avec un budget ridicule. Je n'ai jamais regardé le film en VO mais la voix horripilante de la femelle Skekses pour restera toujours en mémoire tout comme la voix de la sorcière avec son oeil unique qui se balade....ah Nostalgie. La musique quant à elle sert l'univers du film à merveille.
Point flatter l'oreille : Validé.
L'histoire.
Je vais reprendre le synopsis :
L'histoire se déroule dans un monde appelé Thra, où un gigantesque cristal, sorte de talisman incréé gardé dans les profondeurs d'un château hyper-baroque, accumule la lumière des trois soleils qui éclairent la planète pour la restituer sous forme d'énergie vitale aux êtres qui y vivent. Lorsque commence l'histoire, le Cristal s'est assombri depuis mille ans : les UrSkeks, êtres semi-divins qui en avaient la garde, l'ont fait voler en éclats lors de la précédente Grande Conjonction (l'alignement cyclique des trois soleils), perturbant alors gravement l'ordre du monde, au point qu'eux-mêmes se sont divisés en deux races distinctes : celle des Mystiques (appelés UrRus dans l'histoire originale), êtres chevelus bons et paisibles au doux museau allongé, et celle des Skeksès (Skeksis en anglais), sortes de rapaces reptiliens hargneux et cruels.
Les Skeksès se sont emparés du Château du Cristal pour jouir de son pouvoir amoindri et les Mystiques ont été contraints de se réfugier dans un vallon secret, loin du château. Survient alors une prophétie, émise par la Gardienne des Secrets Aughra, selon laquelle le pouvoir des Skeksès sera renversé et l'éclat du Cristal restauré par un représentant de la race des Gelflings, êtres à l'allure elfique. Les Skeksès ne voyant pas d'autre solution que de les exterminer jusqu'au dernier, ils créent les Garthims, sortes de scarabées géants lourdement caparaçonnés, armés de pinces et conçus pour la razzia.
Un seul Gelfling réchappe à ce massacre : Jen, un jeune garçon, est sauvé par les Mystiques et élevé dans leur vallée par le Maître lui-même. Celui-ci, mourant, lui révèle sa mission cruciale : retrouver l'éclat de cristal et guérir le Cristal avant la prochaine Grande Conjonction. Commence alors sa quête, et la découverte de ce monde qu'il n'a encore jamais parcouru.
Et là je dis chapeau. On a un monde unique avec des personnages jamais vu auparavant : Malheureusement, à cause de certains traits d'humour, le film est encore aujourd'hui catalogué de film pour enfant. GROSSE erreur. Vous cherchez un méchant dans l'histoire ? Y en a pas. Les deux espèces crées sont complémentaires. Mais vous retrouvez tous les ingrédients de l'Héroic fantasy : Des créatures mystérieuses, la quête initiatiques, un cristal à sauver....NON ON EST PAS DANS UN FINAL FANTASY !! Et les petits à qui soit disant on destine le film feront sans doutes quelques cauchemar en voyant les Skekses.
Point histoire validé.
Conclusion.
Ce film reste culte à mes yeux, la nostalgie y est pour beaucoup, mais franchement, dire qu'on aime la fantasy sans avoir vu ce film c'est comme dire qu'on aime la science fiction sans avoir vu Star Wars. Pour vous aider à franchir le pas : Voilà un extrait.
http://www.youtube.com/watch?v=0fhD8euumAU
Message édité 2 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 03/08/14 à 07:05.
3 commentaire(s)
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Girls und Panzer
Article posté
le 04/07/14 à 17:07
Critique 5 Girls und Panzer
Combien cela va me coûter ?
Rien. Comme Annohana, cette série n'est pas licenciée en France. Donc vous trouverez les 12 épisodes ici.
http://anime-ultime.net/file-0-1/3334-Girls-und-Panzer-vostfr-streaming-ddl-hd#principal
Donc le point radin est validé.
Les graphismes.
Honnêtement je trouve que la 3D utilisé pour modéliser les tanks est vraiment limite. On voit trop la différence. Le budget est limité et on le sent. Par contre pour le reste, cela reste potable. Rien de magnifique mais rien qui détruit les yeux.
Les personnages féminins par contre, qui sont très nombreuses ont toutes le droit à un trait graphique unique. Il faut saluer la performance. Mais cela ne suffit pas :
Donc, point flatter la rétine : Non Validé.
Les musiques et les doubleurs.
Franchement, c'est le GROS point faible de cette série. Franchement, vous parlez de tank, vous vous attendez à des musiques endiablés pour soutenir la tension, les combats. Et non, cela ne décolle jamais. On a le droit à une pseudo marche militaire toute gentille, toute mimi et franchement ça fait plus parodie qu'autre chose.
Par contre les doubleuses donnent tout ce qu'elles ont. Chaque personnage est vivant, a son individualité. Beau travail de leur part.
Point flatter l'oreille : Non validé.
L'histoire.
Synopsis d'anime ultime.
Dans un monde où le "Sensha-do", l'art militaire d'utiliser des tank, est naturel, Nishizumi Miho une nouvelle élève transférée cherche par dessus tout à l'éviter. Cependant, elle sera convoquée par la présidente du conseil des étudiants qui l'inscrira de force dans son "Sensha-do", avec l'objectif ultime de faire partie de l'équipe de l'école pour le tournoi national de "Sensha-do". Pour aggraver les choses, chaque membre de l'équipe est totalement excentrique.
Alors pourquoi j'ai aimé cet animé malgré tout ces défauts : J'avais pas envie de réfléchir. Les japonais ont le chic d'arriver à construire des animés avec des thèmes improbable : Les femmes, les tanks.
Et ben si vous vous demandez ce que serait la guerre si les femmes seraient aux commandes, cet animé vous donne une réponse : Il n'y en aurait jamais. Les conflits se règlent dans des tournois où la première qualité est la stratégie, vient ensuite l'honneur et enfin le fair-play. Franchement le travail accomplit pour la recherche sur les tanks n'est pas négligeable. Et voir des filles s'en sortir indemne après avoir tenté de soulever un tank mauser grâce à un modèle T38 c'est fendard.
Et aussi incroyable que cela puisse paraître, le vocabulaire, les tanks, beaucoup de chose sont empruntés à l'Allemagne Nazie. Et pourtant tout cela passe sans problème.
On ne sait d'ailleurs à qui s'adresse cet animé : Aux filles ? Probablement. Aucun fan service, aucun mec ( si, si, je vous jure ) n'est là en tant que pilote, c'est un domaine réservé aux femmes qui feront d'elles des êtres accomplies et de bonnes épouses. Si, si, c'est un passage où j'ai failli tomber de mon siège tellement c'était énorme.
Mais je suis un garçon et franchement moi qui suit fan de ces engins j'ai passé un bon moment malgré le côté petite maison dans la prairie.
Point histoire validé.
Conclusion.
Vous cherchez à passer un moment sympa sans réfléchir, vous avez trouvé l'animé de deux soirées. Sinon passez votre chemin car franchement certains pourront avoir plus que le poil qui se hérissera.
Message édité 1 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 04/07/14 à 17:07.
5 commentaire(s)
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Anohana
Article posté
le 01/05/14 à 15:30
Critique 3 Anohana.
Combien cela va me couter ?
Rien. La série n'est absolument pas licenciée en Europe. Donc vous pourrez profiter de cette série grâce au lien suivant.
http://www.anime-ultime.net/file-0-1/2348-Ano-hi-mita-hana-no-namae-o-bokutachi-wa-mada-shiranai-vostfr-streaming-ddl-hd#principal
Donc le point radin est validé.
Les graphismes.
Cette série a titillé mon intérêt grâce à son graphisme. Les personnages sont bien modélisés, les décors sont jolie, rien ne choque vraiment. Certes il y a beaucoup plus beau, mais il y a aussi beaucoup plus laid. Cet animé fait partie de ces séries qui m'intéressent rien qu'au dessin.
Donc, point flatter la rétine : Validé.
Les musiques et les doubleurs.
Elles sont belles et elles s'oublient. En effet, elles aident à soutenir l'atmosphère et pourtant une fois que vous aurez terminé la série, vous les oublierez rapidement. Dommage.
Point flatter l'oreille : Non validé.
L'histoire.
C'est bien le point le plus intéressant de l'histoire. Tout tourne autour d'un thème : La culpabilité. En effet, sur un temps très court, moins de 15 épisodes, on va découvrir comment des adolescent gèrent et leur entourage gèrent la perte d'un proche. Certes, le personnage disparut revient en tant que fantôme, un seul des personnage peut le voir. C'est une belle pirouette scénaristique. Mais si vous acceptez cela, vous plongerez dans un univers contrasté. Ce contraste vient du caractère de notre disparue, léger, innocente d'un côté et du caractère qu'on développé les autres personnages après sa disparition. On découvre comment chacun gère la culpabilité et tente de surmonter le deuil.
Cette série retranscrit magnifiquement grâce aux doubleurs ces sentiments de perte, de douleurs, d'amour. La fin est un peu surjouée, mais j'ai été très surpris de verser une larme tant l'histoire était touchante.
Point histoire validé.
Conclusion.
Une histoire touchante parlant de deuil, de culpabilité. Un sujet lourd très bien mené. Donc une série que je conseille à tous.
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High School of the dead.
Article posté
le 12/01/13 à 18:27
Bonjour à tous.
En ce mois de Janvier, nous allons parler d'un genre qui au premier abord ne m'intéresse pas trop : Le survival : Avec High School of the dead, on a un drôle de mélange, mais en 12 épisodes, la sauce a pris je me dois de vous parler de ce court animé.
Que contient le coffret ?
Le minimum syndical. Avec l'image ci-dessous, tout est résumé. Un coffret contenant la VF et le VOSTF, un livret qui vous apporte quelques explications sur le contenu de l'animé, mais rien d'indispensable. On va le dire simplement : C'est une édition minimaliste. Pas de bonus, de contenus supplémentaires, rien que des trailers dispensables.
Mais le prix rattrape cette édition : 17 euros en arrodissant : Ce n'est pas exagéré et au vue des 12 épisodes, on est content qu'on ne paye pas plus.
Donc : Point collectionnite et radin : validé.
Les graphismes.
Etant donné, que l'animé est destiné à un public 16+, vous n'aurez aucune autre illustrations. Mais le design des personnages est honorables. On passera bien entendu sur la plastique parfaite des personnages féminins. C'est pas encore le moment. Les zombies sont correctement modélisé et l'ensemble de la ville est crédible et n'attaque pas la rétine.
Donc, point flatter la rétine : Validé.
Les musiques.
Heu....à part le générique, bien rythmé...je n'ai aucun souvenir de l'ambiance musical. Et j'ai fini de regarder cet animé il y a moins d'une semaine. Donc, en gros, c'est moyen. L'ambiance sonore ne sert ni ne dessert l'animé, mais rien de mémorable.
Point son, non validé.
L'histoire.
En 12 épisodes, on ne va pas se le cacher : C'est expéditif. Episode 1, les zombies attaquent. On ne sait ni comment, ni pourquoi, mais c'est la fin du monde. L'animé ne donnera aucune explication. Les zombies sont là et on va devoir faire avec. Dès lors, on entre dans un bon survival. Rien d'horifique, vous ne sursauterez même pas une seul fois. Pourtant, l'aspect survie est diablement bien mise en relief. Au début, aucune arme, des ados qui doivent juste survivre et quitter l'école. Et cela représente 5 épisode. Et comme un résident evil premier du nom, au début, les armes à feu sont rarissimes. La première : Un smith et Wesson, 5 coups. En clair, face à des milliers de zombies, on oublie. Après certes, on oublie car les héros finissent par trouver la cache et les munitions. Mais bon sang, cet animé est un très bon défouloir. L'animé arrive à conjuger : Echii et Zombies. Le fan service est omniprésent, mais pour une raison que j'ignore, cela passe. Certaines scènes qui devraient être un moment de tension mais on finit pas pêter de rire grâce au Echii. D'un autre côté, l'animé arrive à developper son thème principal de manière cohérent : Comment réagiriez vous si la fin du monde arrivait par des zombies. La peur, la notion d'amitié, l'égoisme, tout ces thèmes sont abordés de manière intelligente. Le héro de l'histoire n'est pas du tout gonflant et pour une fois, on l'archétype de l'otaku obèse utilisé de manière très intelligente. ( J'adore ce personnage, vous comprendrez pourquoi en regardant ). Les héroines, à part leur corps parfait sont malgré tout attachantes et ont des personnalités crédibles et bien construites. Mais les mecs, ne rêvez pas : Vous l'aurez le cliché du : Ah mon dieu, on va tous mourir ! » servit par une héroïne avec un cri strident.
Point histoire validé.
Conclusion.
Alors oui, certaines, surtout avec du fan service sont limites abusées. Mais prenez cet animé comme un bon défouloir. Il est court et si vous supportez le fan service, vous passerez un bon moment en compagnie de ces héros dans un monde ou le zombi est roi.
Et pour vous faire une idée, cliquez sur le lien, vous aurez droit à un extrait.
http://www.declic-collection.fr/dc/High-school-of-the-dead-Integrale-Edition-Gold-3-DVD-Livret-VOSTFRVF-produit-dvd-5588.html#avis
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Critique 1 : Higurashi.
Article posté
le 07/10/12 à 10:34
Bonjour à tous. Aujourd'hui je me lance dans une nouvelle section : Les critiques de mangas, de séries qui méritent qu'on parle d'elle. Etant donné que je ne suis plus un adolescent pré-pubère, je vais souvent parler de mangas, de série, destinés avant tout aux adultes.
Non, je vous arrête tout de suite,il n'y aura jamais de Hentai critiqués ici. Par contre, les Seinen, c'est à dire les mangas, séries, destinés aux adultes, oui, elles seront légions.
Bien entendu, je n'oublie pas qui je suis, il y aura toujours un aspect radin qui transparaitra dans certains paragraphes. Sur ce, je vous souhaite bonne lecture.
ATTENTION, la série critiquée est vivement déconseillée au moins de 16 ans. Certaines scènes peuvent choquer....surtout que les scènes violentes mettent en scène des enfants....donc, aucune image ne viendra illustrer cette critique. A vous de faire votre propre recherche.
Combien cela va me couter ?
Cela ne va pas être le bonheur. Si vous l'achetez en neuf, il vous en coutera une vingtaine d'euros.
http://www.declic-collection.fr/dc/index.php?script=fiche_serie&id_serie=108&k=h
Si vous passez par le lien ci-dessus.
Par contre, si vous souhaitez l'avoir en occasion, vous le trouverez pour 11 euros. Rajoutez les frais de port à 5 euros. On arrive à 16 euros. Donc, cela me déçoit mais il n'y a qu'une faible différence entre le neuf et l'occasion.
Donc, vue la faible différence, je ne peux pas dire que vous ferez une bonne affaire.
Donc le point radin n'est pas validé.
Que contient le coffret ?
FOUTAGE DE GUEULE !!
Vous avez le coffret en main. Deux choses doivent attirer votre attention : « SERIE INTEGRALE » et « EDITION COLLECTOR ».
Allez autant vous dire tout de suite : Anima, l'éditeur de ce coffret, ne doit pas avoir les mêmes notions de série intégrale et édition collector.
Quand on parle de série intégrale, on s'attend à avoir toute la série, saison 1, 2 etc.
Ici non. Vous aurez droit à la saison 1 et c'est tout. Cette série comporte deux saisons et des épisodes spéciaux. Donc autant dire que vous n'aurez jamais toutes les réponses.
Ensuite, édition collector : Je sais pas....moi on m'annonce du collector : Des épisodes remastérisés ou une version director's cut, des bonus à gogo, des goodies. Enfin des trucs simples quoi.
Ici l'édition collector c'est la série réunit dans son coffret, un livret merdique et des images sur le coffret et c'est tout.
Ah oui, le livret : Brûlez le. Ce livret contient des spoilers monstrueux sur la série. En gros on vous gache le plaisir avant de commencer. Bien que l'on vous avertit. Mais c'est connus, plus on vous avertit, moins on écoute .
Donc : Point collectionnite : Non validé.
Les graphismes.
Ah, je peux enfin dire du bien de la série. C'est l'un des points forts de la série : Certes, lorsque vous ouvrez le coffret, vous voyez des personnages tout Kawaï. Mais on constate des projections de sang sur les bords. Et c'est là l'un des éléments jouissif de la série : C'est ce côté Kawai des personnages qui va provoquer de si grands malaises. Le côté Kawai, souligne à merveille le côté enfantin des personnages. Et quand ceux-ci basculent, l'effet est immédiat. Ensuite pour les décors, les environnements, c'est du bon.
Donc, point flatter la rétine : Validé.
Les musiques.
En voyant le coffret, j'ai prié pour que les musiques soit à la hauteur. Un thriller sans musique adéquat c'est un blasphème. Ici, dès le lancement du dvd, on a des échantillons de musique glaciales et qui soulignent parfaitement les moments horrifiques de la série. Elles changeront de tons dans les rares moment d'insouciances.
Petit hommage : Un thème qui ne paraît pas dans l'anime mais qui est comme une sorte de carte d'identité est disponible ici. Chaque chanteur incarne un personnage de la série, et c'est 40 minutes de bonheur.
http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&v=6OOl0yA2v2g&NR=1
Point flatter l'oreille : Validé.
L'histoire.
Alors là....hé, hé....c'est l'extase. Le bonheur. Vous allez devoir vous accrocher. Car la saison 1 comporte 6 arcs développant chacun un personnage. L'histoire semble se répéter. Car le schéma est toujours le même. Mais je peux vous assurer que c'est au spectateur de se triturer l'esprit pour tenter d'obtenir des réponses. Mon conseil : Prenez un calepin, prenez des notes, élaborez vos théories et ensuite allez voir sur internet.
Je ne peux pas vous en dire trop, au risque de vous gâcher le plaisir. Néanmoins : Voilà ce que je peux vous révéler.
L'histoire début en 1983.
Keichi Maebara emménage avec ses parents à Hinamizawa, un petit village isolé au Japon.
Agé de 14 ans, il intègre l'unique classe de l'école ou il lie rapidement d'amitié avec 4 jeunes filles. Rena, Mion, Satoko et Rika.
Le temps s'écoule tranquillement pour Keiichi. Mais sa rencontre avec Tomitake, photographe, va changer la donne. On lui apprend que le village a failli disparaître il y a quatre ans à cause de la construction d'un barrage. Les villageois se sont opposés au projet et se sont divisés : Une victime fut retrouvée, découpée en morceau.
Depuis, chaque année, un nouveau meurtre semble se produire sans qu'on puisse l'en empêcher. Et il se produit toujours lors du festival de Watanagashi.
Keiichi va vouloir percer le mystère, mais il va vite se rendre compte que déterrer certaines vérités peut couter très cher.
Point histoire validé.
Conclusion.
Higurashi, saison 1, c'est du bon. Du dérangeant car les personnages principaux ne sont que des enfants. En apparence, tout est kawai, mais il suffit de creuser un peu et ces personnages peuvent devenir fous, littéralement. Mais cette folie est-elle ou ne cache-t-elle pas un fait ancien et qui a été transformé avec le temps. La série nous offre des moments d'horreur qui font que les moments d'insouciances ou on se surprend même à sourire sont vécus comme des bulles de fraicheur avant de retourner dans la noirceur de la folie. Regardez cette série et gardez juste cette phrase en tête : Les enfants peuvent être des pervers polymorphe.
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