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Blork & size.fac > Articles de Devihstl
Tests, dossiers, café, boulettes.
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[Test] Ikari Warriors.
Article posté
le 28/10/14 à 18:02
Salut les amis ! Deuxième test de ces vacances. Aujourd'hui, c'est au tour d'Ikari Warriors de passer son mon jugement ! Je n'ai pas voulu vous présenter la version arcade, et c'est volontaire. Il s'agit d'un choix personnel, si vraiment vous voulez que je la présente, faites-le moi savoir via les commentaires. 
Un shoot'em up bien classique, où le but est de tout défoncer à coup de mitrailleuses dont les chargeurs étaient reliés à des espaces-temps où les balles sont infinies.
Ikari Warriors donc, adapté du jeu d'arcade éponyme par SNK, et est sorti en 1986. Il existe un semblant de scénario, dont j'en ai aucune fichtre idée parce que je n'ai pas le livret du jeu. Tant pis, mais je parierais fort sur "Deux gars torse poil vont tous casser dans un pays peuplés de millions de rebelles en bleu dirigés par un dictateur fou". Au moins ils prennent pas de risque ! Mais c'était la mode à l'époque ...
Nous pouvons admirer les magnifiques protagonistes (surtout Jean-Michel avec sa moustache) ...
On attaque avec les graphismes. Je sais que c'est un jeu NES, mais quand même ! Je ne remets pas en question le choix des couleurs, mais ça fait mal aux yeux ! Pour me comprendre, il faudrait que vous y jouiez une demi-heure et après revenez ici. Ça pique. C'est pas moche, et c'est bien ça le problème ! C'est au moins ce que ça doit représenté, mais vu que ça clignote de partout et que c'est des blocs de couleurs unies, ça épuise vos yeux un truc de fou !
Sinon, il faudra vous retaper les mêmes décors inlassablement, et ce, pour les raisons que j'expliquerais dans la section "Gameplay" du test. Ce qui fait que ça devient aussi au mieux vite redondant, au pire vite brise-noix. Quand aux effets, ils ne sont pas moches, ils ne sont pas exceptionnels, cependant ils clignotent ! Ce qui en rajoute une couche pour vos yeux déjà fatigués quand ça commence à se corser sévère. Si vos ennemis sont en uniforme bleu clair tellement bleu qu'on dirait des volontaires pour les Casques Bleus, nos héros sont deux gugusses en pants noirs et torses dénudés. Super.
Niveau sonore, vous aurez en boucle, en boucle, en boucle et en boucle la même partition d'une quarantaine de secondes. Ce qui devient vite saoulant additivement. Les bruitages sont quand à eux acceptables, même si on peut en attendre mieux.
Notez la couleur si fluo de ce tank, prévu à la base pour écraser beaucoup de gens ...
Et on garde le mieux pour la fin, le gameplay. Déjà, vous êtes lent, très lent. Encore plus dans l'eau. Ça a l'air de rien comme ça, mais gardez ça dans votre tête, vous verrez plus tard pourquoi. Ensuite, c'est le coup classique des directions de tir pré-orientés; je n'ai rien contre mais il y a deux choses : vos tirs sont limités en portée (normal) MAIS votre ligne de tir est très légèrement décalée sur la droite. Gardez ça aussi. Du coup, faire pivoter son Rambo à 180° est assez dur, de plus que l'opération est lente et vous laisse des plus vulnérables.
Parlons du reste du jeu. Les ennemis ont une intelligence inexistante, tout au plus primaire, mais ils débarquent par vague et sont un peu plus rapides que vous. Vous vous rappelez des points dont on a parlé juste au-dessus ? Ce qui fait donc des ces ennemis les ennemis les plus brise-b***** jamais créer. Les snipers ont une portée de tir illimités, et sont souvent bien mal placés, donc vous vous retrouverez souvent dans leur ligne de mire, sans que vous puissiez les toucher, et réagir est quasi-impossible, vu les escargots qu'on se tape. Rajoutez à cela des missiles qui popent de n'importe où dans n'importe quelle angle n'importe quand. Vous auriez bien des tanks, mais les attendre est un horreur, et leur puissance ont été contre-balancés par ... une balle = terminé ! Y a bien des hélicos aussi, mais à ce stade ... Sinon usez des grenades dont vous disposez, ce sera le moyen le plus pratique d'avancer.
Ensuite, le point noir du jeu ... QUI A EU L'IDÉE DE FAIRE DES STAGES AUSSI LONGS ?!?!?! Mais pu****, ils nous ont pris pour quoi ? Le premier niveau, j'y est passé 1 heure 30 minutes avant d'en voir le bout ! Mais c'est pas un jeu, c'est une simulation de torture psychologique là !! 1 H 30 à devoir toujours fixé le même bonhomme, à se faire défoncer le rectum par tous le monde sur le pu**** de décor qui se répète en boucle !! Pour au final quoi ? Découvrir que le niveau 2 est l'IDENTIQUE du niveau 1, et que le niveau 3 et 4 partagent les mêmes décors pas inspirés ! En plus le temps que j'ai donné au début, comptez en moyenne une demi-heure en plus pour les stages suivants ! 7h30 de jeu non stop, à en plus taper le seul code du jeu qui permet de revenir : ABBA. Sinon, GAME OVER, et vous repartez tout au début ! *jette la manette* J'en ai marre. *jette la cartouche à travers la chambre*.
Pfou, allez. Conclusion : Ikari Warriors est une adaptation ratée. SNK a voulu être fidèle à la version arcade, un peu trop même. Ce qui fait qu'ils ont intégralement foiré le titre. D'ailleurs, la cinématique de fin est bien baclée aussi, puisque que l'écran vous affiche les remerciements d'un général japonais ... Je pense que ça résume bien le jeu. Un titre dur, long, et tout est tellement répétitif qu'au final ça en devient épuisant. Ce n'est pas LA version qui s'en sort le mieux, mais au moins ils auront tentés. Mais c'était peine perdu. Terminé.
Allez, ce deuxième jeu m'a permis de m'extériorisé un peu. Pfiou, ça fait du bien ! Et dire que c'est SNK derrière ce portage ... Pour info, quelques autres portages ont vu le jour sur ordinateur (bien nazes elles aussi) et le jeu aura les droit à deux ou trois suites (ratés). Je planche dés à présent sur le dossier qui clôturera mes vacances. Un gros morceau en perspective ! @ la prochaine !
[Edit 1 : Modification du choix des images, textes allant avec]
[Edit 2 : Rajout des mots en gras]
Message édité 3 fois. Dernière édition par Devihstl le 28/10/14 à 23:32.
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Test : Naannn, DBZ Taïketsu ...
Article posté
le 25/10/14 à 19:39
Comment dire ... C'est gênant. En plus, DBZ n'est pas forcément une référence bien vu mais bon ... Question bouse vidéo-ludique, je vais vous parler aujourd'hui d'un champion, un maître, un battant toute catégorie confondu. Aujourd'hui, je vous présente *gloups* Dragon Ball Z : Taïketsu. Et dehors, chez moi, il y a de l'orage. Super ambiance.
Pour commencer, déjà, ce jeu est fait par Atari. On pourrait se dire que ça va être du bon, du sympa. Grosse erreur. Pour ainsi dire, sorti en 2004, le jeu DEVAIT sortir pour l'été de l'année, fini ou pas. Eh bien, on va dire qu'ils ont respectés leur délai, mais en faisant de la m****.
Niveau graphisme, y a 2 trucs de bien fait : la barre de vie qui, à mon goût, offre un rendu assez sympathique; et les décors, souvent très beaux (même si certains restent pour le moins énigmatiques). Sinon, ce jeu est une misère graphique. Les effets sont moches, la police minimaliste, les kikohas pixelisés au possible. Mais le comble reste les personnages. Alors là ... Tenter un rendu corporel avec des personnages de DBZ, ça ne passe pas. Les persos sont mal designés, leurs animations pas réussis, et on dirait plus une bouillie graphique qu'autre chose.
Niveau sonore, c'est misérable. J'ai pas d'autres termes. Ça fait mal aux oreilles, on a pas de voix, juste des bruits. Y a pas plus à dire. Suivant.
Niveau gamaplay ... Vous allez vous suicider. Ou acheter DBZ Supersonic Warriors. Parce que là, ils ont fait fort, Atari. Les techniques se comptent sur les doigts d'une main, et quand on arrive à les sortir, c'est déprimant de se rendre compte qu'à la limite, il suffirait de taper un peu. L'IA ? Mal calibré. Ou c'est trop facile, ou elle vous pile en deux-deux. A vous de voir.
Pour le contenu, 16 persos, à peu près autant de stages. Un mode Tournoi, Endurance, Multi (si vous êtes maso à plusieurs), Entrainement. Pas d'histoire, à quoi bon, si on veut pourrir le jeu, autant le faire jusqu'au bout ! 
Enfin bref. Dragon Ball Z : Taïketsu n'est ni un jeu DBZ, ni un jeu de baston. Car dans chacun des cas, ça déçoit; c'est juste un épisode qui profite du succès de la licence. Car à ce niveau là, même avec des moufles en étant mal payé, on peut faire mieux.
Ce qui est quand même dommage dans l'histoire, c'est qu'avec un peu plus de temps, je suis sur qu'on aurait eu peut-être pas un bon jeu mais au moins un jeu décent. Mais comme Atari a fermé ses portes, on peut plus que pleurer sur leurs tombes, ou les piétiner, à vous de voir.
Je considère personnellement ce jeu comme faisant (et aujourd'hui encore) comme l'un des plus insultant de l'univers; et il s'agit bien là d'une guerre du Vietnam dont je reviens.
J'en ai perdu mon âme, mes amis. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut s'apitoyer sur son sort. Mon prochain sujet sera un peu moins agressif, et d'ici là, j'aurais eu le temps de me purger de ce démon.
@ la prochaine les amis !
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Présentation de RPG Maker : Qu'est-ce qu'on en cause, mais qu'est-ce qu'on en sa
Article posté
le 25/08/14 à 22:39
Bon. Je ne vais pas (par manque de temps et d'envie) de vous parler de TOUTE la série des RPG Maker. Je vais me focaliser sur RPG Maker 2003 et RPG Maker XP pour être le plus clair et concis possible. Bonne lecture anyway !
Mais ce n'est pas pour autant que je ne vais pas étaler un peu sur la série. Je vais vous faire un petit topo général sur ceux qui ne seront pas abordé, par ordre chronologique (donc le dernier cité est celui le plus en date). Prêt ?
-RPG Maker' 95 : Le plus vieux des RGP Maker. Il n'est plus trop trouvable à ce jour, mais à défini les bases du logiciel. Sorti uniquement en Asie. Vu que je n'y est jamais joué, je peux pas trop vous en dire plus.
-RPG Maker 2000 : Suite et évolution de RPG Maker 95'. Quelques nouveautés notables comme une plus grande personnalisation, une meilleur gestion des monstres et des maps ... Mais ne corrige pas tous les problèmes. Se joue à la Dragon Quest.
-RPG Maker 2003 : Voir plus bas. MAJ de RPG Maker 2000.
-RPG Maker XP : Voir plus bas.
-RPG Maker VX : Mélange sympa entre RPG Maker 2003 et XP. Pas mal de qualité, accessible et propose quelques bonnes idées. On regrette cependant un grand manque de données de base, cependant l'éditeur de script rattrape le tout en permettant une personnalisation ultime du jeu.
-RPG Maker VX Ace : MAJ de RPG Maker VX. Corrige pas mal de problème de celui-ci, améliore encore plus les systèmes de personnalisation et de scripting. Amène un peu plus de ressources que VX. Accessible aux moins ambitieux en plus ! Version la plus récente à ce jour.
Bon, il y a aussi RPG Maker 3D, mais il ne fonctionne que sur un système JAP. En plus d'être mal foutu, il nécessite d'être pointilleux. Ou RPG Maker sur PSX et GBA, mais je n'en parlerais pas.
Après toutes ces infos balancés à l'arrache totale, entrons dans le vif du sujet, si vous le permettez ...
Le commun
RPG Maker est développé par Enterbrain. C'est une boite japonaise, il me semble. Il développe le logiciel, donc, depuis 1995. Autant dire que c'est leur produit phare. Bon en ce qui concerne le logiciel, il sert surtout à construire des RPG. En fonction de la version, le logiciel sera "orienté" vers tel ou tel type de RPG. Ça tombe bien, les deux présentés seront complètement différents ! Mise à part ça, et bien chaque version est assez personnel. C'est pour cela que je vous propose de commencer par RPG Maker 2003.
RPG Maker 2003 (2k3)
A mon sens et à ma connaissance, c'est le premier à avoir été sérieusement traduit et exporté (non officiellement). Les versions sont encore accessibles, bien foutus, on trouve des versions françaises et plein de ressources encore circule aujourd'hui. C'est l'un des RPG Maker le plus massivement exploité de nos jours, car sa flexibilité d'utilisation est optimum. Il propose de créer des RPG type Final Fantasy (voir Fire Emblem en jouant bien avec le logi).
Le jeu propose, si ce n'est pas tous, de personnaliser environ 90% du jeu selon vos envies. Les mécaniques sont simples : on gère 6 caractéristiques pour les persos, c'est facile de créer armes et objets, et on s'éclate à modifier à fond les ennemies. Construire une map est un peu moins simple, car il faut avoir une idée de ce que l'on veut, mais une fois passé ça, c'est comme une lettre à la poste ...
Mais, je lui reproche deux ENORMES trucs : premièrement, vous allez avoir besoin de beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP (reprend son souffle) de graphismes. Ceux qui n'y connaissent rien en graph' vont vite baisser les bras s'ils n'y accordent pas le temps nécessaire. Bien évidemment, c'est pour une personnalisation complète, ne vous affolez pas. De plus, quelques logiciels sympas existent si vous fouillez un peu le sujet. Deuxièmement, pas d'éditeur de script. Bien qu'il y ait plein d'options, il y a certaines choses (comme les textes ou les musiques uniquement en MIDI) qui pourront paraître un peu fades ou limités. C'est franchement dommage !
Screenshot ? Allez go :
RPG Maker XP
On passe à une autre catégorie, avec RPG Maker XP. En fait, il y a bon et du moins bon. C'est surtout parce que cette version propose un atout considérable, parfois au détriment d'autres : un éditeur de script (Ruby) en built-in (ou intégré ...). Pour info non-négligeable, c'est aussi le premier qui fut traduit en anglais de manière officiel.
Bon, on commence avec le bien. Et donc on commence avec le point fort de cette version : l'éditeur de script. C'est ... un véritable espace ouvert. Un fois le langage cerné (en plus c'est pas trop compliqué à comprendre !), on peut faire des merveilles. On peut développer de nouvelles options, ouvrir les possibilités de jeu ... Bref, du bohneur. Il a aussi pour lui la possibilité de lire 5 formats de musiques, dont les deux principaux sont le format .OGG et le .MP3. On retourne aux sources avec un système à la Dragon Quest, simple et efficace à exécuter.
Par contre, j'ai pour cette version beaucoup plus de reproches que pour RPG Maker 2003 ... Et ça commence par les options de personnalisations. D'accord, il y a quelques bons points (par exemple, les classes qui servent vraiment), mais c'est ... vide. Ou plutôt, réduits. Beaucoup de choses sont faits au strict minimum. Ensuite, autant avec RPG Maker 2003, on pouvait faire un jeu illico presto avec la base de départ, autant la, on a RIEN. Ou presque. Il vous faut quand même modifier la base pour vraiment commencer à aboutir sur quelque chose.
Screenshot ? Je vous en prie !
Conclusion
Avec RPG Maker 2003, vous serez satisfait du jeu que vous aurez fait. Plein d'options, un gros point sur la personnalisation ... Bon par contre, le format du son est dépassé et quelques trucs (textes, graphismes) sont à voir.
Avec RPG Maker XP, une fois le langage compris, plus aucun problème. Mais si, pour une raison ou une autre, vous ne pouvez/voulez pas creuser le sujet, vous risqueriez d'être déçu(e/s/es).
Je vous le dis tout-de-suite : la communauté autour de RPG maker est très active (même la française !), et si vous recherchez des infos, des ressources, des conseils ... Vous trouverez très vite. Ne soyez donc pas décourager par ma présentation si cela vous bloque : je n'ai pas pris en compte la communauté. Ceux qui creuseront le sujet me feront vite remarquer que c'est le point faible de la présentation.
Dernière info : RPG Maker 2003 n'étant plus d' "actualité", vous pourrez le trouver gratuitement (en plus en traduis français en cherchant bien !). Quand à RPG Maker XP, il semble toujours satisfaire le peuple. Il est donc maintenant payant, mais il existe encore quelques braves gens qui le propose gratuitement (faites attention quand même ...).
Je vous fourni le lien officiel :
Le lien vers RPG Maker XP
Voici le lien vers la communauté francophone :
Communauté francophone
En espérant vous avoir (au moins) convaincu de la qualité des logiciels qui, je le rappelle, est encore une fois excellente.
Bonne prog' à tous ! @ + tous le monde !
Message édité 1 fois. Dernière édition par Devihstl le 25/08/14 à 22:42.
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DarkStalkers : the Night Warriors / Capcom, c'est quoi ces bêtises ?
Article posté
le 01/03/14 à 18:58
Salut @ vous !
Alors aujourd'hui ... Je vais parler d'un très gros morceau ! Vous vous souvenez de cette époque, les années '90 ? Bon, c'est à cette époque qu'est sorti le jeu qui révolutionna son genre : Street Fighter II. Bon et maintenant ... C'est quoi le lien avec le titre ?
En 1994, Capcom sort "Super Street Fighter 2 Turbo" ainsi que "Street Fighter Alpha 2". Mais le public est complètement lassé de voir "Street Fighter 2 BlaBla". Et donc ils vont voir pour la concurrence : à l'époque c'est SNK. Pour Capcom, c'était pas bon ! Mais c'est alors que l'on voit apparaître une borne d'arcade, signé Capcom, type baston, mais qui n'est pas SF ... Il s'agit de DarkStalkers chez nous, et Vampire au Japon !
Graphisme
Sur ce point, on sent clairement que Capcom s'est inspiré de SF Alpha. On a une ambiance assez cartoon pas déplaisante du tout, et les personnages sont assez originaux. Chaque perso est une créature mythologique ou fantastique, ce qui fait que chacun à son style particulier. Les stages fourmillent d'éléments actifs ou destructibles, chaque stage semblent vivants, on ressent une certaine ambiance particulière au jeu. Les autres animations sont sobres, discrètes, qui ne nous arrache pas nos yeux à coups de haches. On ne peut qu'applaudir !
Gameplay
Capcom s'est pas mal inspiré de SSF 2 Turbo pour le coup. Les coups spéciaux sont à combinaison typique de Capcom : 3 boutons poings, 3 boutons pieds, quart de cercle, demi-cercle, DevDerDevDer, etc ... On a aussi une barre de spécial qui autorise à effectuer un SuperCombo (dans ceux qui suivent, on peut avoir plusieurs niveaux). Chaque perso possède plusieurs SuperCombos. Après chaque perso a son propre style de jeu : certains sont directs, d'autres sont plus combos, d'autres encore sont des spécialistes des SuperCombos ... Bref, pour tout les goûts. En plus, chacun vient d'un pays particulier, histoire d'achever la ressemblance avec Street Fighter. Mais à coté, il y a tout une panoplie de petits trucs qui différencie DSTK de SF : une IA bien gérée, des combostimes différents ...
Son
Si avec Street Fighter, on avait des intonations très fraîches, très impulsives; avec DarkStalkers, on aura des intonations très gothiques, très sombres. Les voix sont très bien faites, les bruitages annexes sont sympas, les bruits d'impacts sont différents en fonction du coup ... Du simple et de l'efficace !
Scénario
Le scénario est assez simple : Dans le monde des démons, c'est le bordel. Le démon Pyron veut prendre le pouvoir. Les grandes maisons organise un tournoi visant à empêcher le gaillard d'accomplir son but. Chacun des participants a ses propres motivations de participer. Le rooster de persos se compose de 10 persos jouables plus 2 boss cachées. Il y a de quoi faire !
Au final
Ben DarkStalkers, finalement, c'est une perle. Il réutilise un moteur usé jusqu'aux os et en fait du neuf et du brillant avec. Il applique des codes connus, et les réutilise de manière astucieuses. Il existe plein de subtiles différences qui le différencie de Street Fighter. Malheureusement, si Street Fighter a résisté au âges, DarkStalkers n'est plus qu'une ombre. Pourtant ce jeu pourrait avoir sa chance. Il suffirait de la lui laisser. Récemment, il y a eu la sortie de DarkStalkers Ressurection. J'ai bien envie de l'essayer, rien que pour voir. Ah, et si vous trouvez, la version PSOne du jeu, prenez-le. Honnêtement. Prenez-le. Il vaut le coup.
C'était Devihstl, en direct de je-ne-sais-où. @ + !
Message édité 1 fois. Dernière édition par Devihstl le 01/03/14 à 19:06.
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Minuscule, une aventure d'environ 2 heures vu d'environ 2 mm !
Article posté
le 02/02/14 à 20:03
Lorsque j'ai vu le titre, je me suis dit : "OK, c'est parti pour la sieste, Dede !" Figurez-vous que j'ai eu tort !
Déjà plaçons le contexte : si vous cherchez le film de patron, passer votre chemin. Car c'est clairement un film pour bambin ! Je vais donc parler du film dans ce sens !(Logique ...)
On voit clairement l'ambiance du film !
Pour l'histoire, ben ils ont soit pris une grraannddee quantité de farine, soit c'est un morpion qui a écrit l'histoire. Je vois que çà !
Vous allez donc suivre l'histoire d'une coccinelle, a qui il arrivera plein d'aventures avec une équipe de fourmis. C'est ... bête mais c'est tellement bien mis en scène que l'on fait abstraction du scénario qui, de toute façon, se comprend très vite. Même pour un enfant !
Au niveau des personnages, il y en a un petit nombre mais je ne vais citer que les principaux : il y a donc la coccinelle, les fourmis noirs, les fourmis rouges et ...Ben c'est les seuls notables !
Le film possède à ce niveau quelques codes (fourmis noirs = gentils; fourmis rouges = méchants) dont il se servira aisément tout le long du film. Si vous vous demandez si vous croiserez des êtres humains ou des machines, je vous l'expose clairement : 2 humains et 2 voitures différentes, plus un avion je crois.
Point réalisation, c'est là que ce film fait fort : Si les décors sont réels, les insectes sont en 3D. Le mélange vient habilement, et en plus c'est agréable à regarder, malgré le design clairement "cartoon". C'est fait pour reposer l'oeil, le jeu de lumière est sobre. Allez, pour le dire quand même, il y a 3-4 scènes entièrement en 3D; mais c'est anecdotique et on ne le remarque pas.
Les deux héros du film, tous jolies qu'ils sont !
Point de vue texte ... Eh bien, il y a du "texte", mais ce n'est pas du texte. C'est plus une chaîne de bruits. Sur ce point, chaque insecte a son propre bruit. Il y a quand même certains moments, où on jurerait avoir entendu des voix, mais ... Sans doute la réalisation bien faite. De ce fait, on se concentre donc plus sur ce qui se passe à l'écran, et de toute manière, on comprend vite ce que l'insecte veut dire en regardant l'action se dérouler.
Et sur la musique ? Eh bien, c'est du classique : chaque groupe d'insecte a sa propre musique. Du coup, on peut reconnaître rapidement qui va jouer un rôle important dans les scènes qui suivent.
Au niveau des act... insectes, chaque espèce a un comportement propre, chacun a sa propre tête, du coup on n'a pas une impression de répétition ... Quelques gags sont présents, histoire de faire rire un peu, comme quelques instants émotionnels, où vous verserez surement une larme ... mais une seule !
Dans le tout c'est du classique, mais c'est très bien exploitée !
Dans l'ensemble, c'est un bon film : il respecte le public qu'il vise en appliquant des codes simples, en associant une musique avec un groupe de personnages, qui ont chacun leurs identités ... Bref,c'est le genre de film qu'on regarde pour se reposer, sans se poser des questions à tout va ... Une vraie détente !
Par contre si vous êtes un peu âgés, ce film pourrait vous faire perdre votre temps, cela dépend si pour une fois, vous voulez reposer un peu votre cerveau ...
Note : Point notable, je n'ai presque pas trouvé d'image du film, mais apparemment il existerait une série "Minuscule". Rassurez-vous les deux images, elles, viennent du film. Si je peux, je regarderait un peu la série, voir ce que ça donne.
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