Blork & size.fac > Films, animes et séries > Hé, qu'est-ce que tu regardes ?

Message laissé le 07/08/14 à 20:23

Ah, The Wall... Je me rappelle l'avoir vu dans le cinéma de mon village, on devait être 8 dans la salle Et c'était un moment assez incroyable. Le genre de film qui marque, que l'on ne saisit pas dans son entièreté au premier visionnage...

Ce qui me permet de logiquement enchaîner avec Evangelion qui est dans le même genre d'imbroglio. Je viens de visionner le second volet du remake de la série en OAV : You Can (Not) Advance. Et ben... encore une nouvelle claque... C'est extrêmement fidèle à la série dans son intention. Et ça, c'est primordial : on ne bascule pas dans de l'action pure ce qui aurait pu arriver. Le scénario change cette fois ci bel et bien radicalement. C'est assez indescriptible. Ce film jongle dans les genres un peu comme le faisait la série et c'est vraiment déroutant. Allez, un petit bémol : un peu trop de fan service. C'est vraiment le seul élément qui me bloque dans l'immersion de ce film.

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"You've met a terrible fate, haven't you ?"

Message laissé le 09/08/14 à 13:37

J'ai été voir American Nightmare 2: Anarchy. Le concept, repris du premier volet, était que le gouvernement américain instaure un projet qui consiste à ce que, durant une nuit nommée "La purge", tout crime soit légal : meurtre, vol, règlements de compte, etc...
Le premier opus, très moyen, partait sur de mauvaises bases puisque se concentrant sur une famille de riches ayant les moyens de se protéger. L'on se retrouvai alors avec un huis-clos répétitif, pas très inspiré et souvent ridicule, mais qui présentait la purge comme quelque chose qui fonctionnait et parvenait à faire baisser le chômage et la pauvreté, ce qui "pouvait" faire réfléchir... (Très important les guillemets, l'idée de base se révélant pourtant aussi stupide qu'incohérente...)

Voilà qu'un nouvel épisode arrive et, cette fois-ci, se dit qu'il serait plus intéressant de nous plonger dans la purge en elle-même. Ainsi, nous suivrons les péripéties d'une mère noire pauvre et sa fille, d'un couple sur le point de se séparer qui tombe en panne au moment ou la purge commence et d'un vengeur ramboïste que rien ne semble arrêter, tel le Punisher.

Je pense que j'ai compris que, malgré son intention et son idée de départ qui promettait davantage que l'opus précédent, le film pouvait s'avérer encore pire que ce que beaucoup ont considéré comme l'un des plus mauvais métrages de l'année précédente lorsque le public cible est entré dans la salle : à savoir, des couples en manque de sensations fortes, des gangstas du dimanche et des gamins à casquette venus regarder un pseudo-film d'horreur auquel la production n'a même pas confié le quart du budget nécessaire à remplir ses ambitions...

Doux Jésus... C'était le cas... Si pas pire ! Passé l'introduction sans intérêt nous présentant des personnages dont personne n'a retenu le moindre prénom (je précise qu'on était à trois) et qui emprunte les gimmicks horrifiques du Dark Knight (les méchants "principaux" masqués) et de Silent Hill (l'alarme qui sonne au moment où la purge commence et où la ville devrait se transformer en enfer humain), nous voilà plongés dans un putain de Shoot Them' up politiquement incorrect où des gangs se massacrent violemment à coups de machette, où les plus assoiffés de vengeance détruiront les bâtiments de leurs ennemis pour les pendre aux lampadaires avec des fils barbelés, où les plus dangereusement tactiques aligneront les headshots de passants à coup de sniper ! Tout ça, sur le papier... Non parce que pendant cinq minutes de film, tout ce qu'on a, ce sont deux trois morts plus ou moins gores à coup de mitrailleuse, un sniper qui ne tuera personne durant tout le métrage et dont on ne fera même pas mention. Après, c'est parti pour un scénario pire que poussif qui avance à grands renforts de Deus Ex Machina, de McGuffins et de gimmicks grotesques...

Nous voilà donc lancés en plein dans le bouzin : un métrage qui ne sait même pas lui-même choisir quelle histoire il va raconter et, encore pire, quelle thématique il va traiter. Cela ne veut pas dire non plus que le film est surchargé : bien au contraire, il est vide. Et quand je dis vide, c'est vide de toute substance comme visuellement vide ! New York, même pendant la purge, c'est une ville plutôt calme... Les snipers sont absents et, selon le film, la purge se limite a une bande de bouffons masqués poursuivant sans relâche une bande de quatre gogols constamment supervisés par le héros Punisherien que nous avons affectueusement nommé "Le fossoyeur de films". Notons, de plus l'incompétence générale des méchants, qui, même à la tête d'un tank et d'une sulfateuse, parviennent à se faire tuer par un quidam auquel l'on a refilé une arme de fortune en dernière minute !
Avec une idée comme celle de la purge, on aurait dû presque avoir un film de zombies, mais avec des gens de la vie de tous les jours devenus des maniaques, des serials killers et des tueurs de slasher. Bref, un climat pesant et constamment oppressant ! Mais là, les rues sont manifestement vides et inexplicablement plus propres que normalement... Et, comme dit précédemment, les antagonistes que l'on croise sont constamment les mêmes qui passent encore et encore sans tuer personne, donc sans représenter une réelle menace !

En fait, ce film n'est pas que mauvais. Il l'est minutieusement ! Chaque détail est aussi mauvais qu'un autre, il n'y a pratiquement rien à sauver. Pourquoi cela ? Parce que ce n'est rien d'autre qu'un putain de blockbuster d'été !

Pourquoi, au grand pourquoi, faire une blockbuster d'été sur base d'un prémisse de film gore ? A tous ceux qui disent que les films gore n'ont aucun intérêt, je leur montrerai ce film, qui lui n'a absolument ni but, ni intérêt ! Certains films gore peuvent faire méditer sur la violence,peuvent choquer, peuvent même émouvoir ! Le problème, c'est que "American Shitmare 2" n'a aucune audace et, encore pire, tente de se défendre de toute critique en empruntant les raccourcis les plus faciles et les plus démagogiques qui soient ! Ainsi donc, qui sont les vrais méchants de l'histoire ? LES RICHES ! TOUJOURS LES PUTAINS DE RICHES (sic un personnage qui n'a pour seule raison d'exister que d'être un Deus Ex Machina sauvant les héros lorsque les riches décident de faire un remake de Running Man) ! Et le film se contente de se conclure sur une morale se limitant à "Tuer, ce n'est pas bien", avant que la caméra ne s'envole vers le lever du soleil, les oiseaux qui gazouillent, tout ça... Car, bien évidemment, notre Punisher du dimanche a trouvé la rédemption, tout ça... Oui, c'est sûr, c'est cool... Et la purge dans tout ça ?

Bref, je pourrais passer une après-midi entière à vous dire ce qui ne marche pas avec ce film. Mais je vais le résumer : RIEN ne marche ! Pas une seule foutue scène n'a d'impact, pas un seul personnage n'est attachant, pas une seule réplique n'est mémorable, pas une seule astuce de mise en scène n'existe ! Bref, "American Shitmare 2" n'a aucun impact, et par conséquent, aucun intérêt. N'allez pas le voir !

Message édité 1 fois. Dernière édition par IceWarrior le 09/08/14 à 22:46.



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Message laissé le 11/08/14 à 09:48

Ah ben tiens, justement, je me demandais... Le premier était navrant de platitude et la bande annonce du second amorçait un point de vue plus intéressant. Bon, ben je crois que je vais gentiment passer mon chemin. C'est dommage parce que, comme tu le dis, sur le papier, il y a de quoi faire.

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Message laissé le 11/08/14 à 18:54

@Yohmgaï : Les personnages sont manichéens? Ok,alors je vais reprendre les "méchants" un par un:
L'autre con avec son briquet: Tout simplement,sa connerie est causé par la peur,donc,il approche d'une force de racisme,donc il représente l'étroitesse d'esprit des humains. Un perso qui apparait a peine un quart d'heure représente le racisme. Ça c'est du développement!

Gary Oldman,ou dreyfuss: A la survie de centaines de gens sur les bras,prend donc des décisions un peu hâtives,ce qui explique le fait que ses décidons soit parfois un peu mauvaises,mais le personnage est montré plus comme un gentil que méchant.

Koba:Ses actions sont compréhensibles,et montrent toute la puissance du film. Parce que il est tombé de souffrance en souffrances,il a hait ses tortionnaires. Il décide néanmoins de mettre de côté son animosité pour le bien de la colonie. Mais par une suite d'incidents malheureux,a cause de la connerie humaine,il prend le contrôle. C'est fort,sombre,et intelligent. Et pour le feu,c'est simplement pour donner une raison de plus de détester les humains. Non seulement ils assassinent leur chef,mais ils portent a coup a toute la colonie.

Voila,voila....

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Message laissé le 12/08/14 à 10:17

@ ghost rider 6 (au sujet de Dawn of the Planet of the Apes)

C'est pas car on peut expliquer le fait que les personnages soient cons que ça les rend bien écrits. Le type avec la casquette, dont je ne me souviens pas du nom, est tout simplement un gros con (oui il représente à merveille le racisme, c'est pas difficile à deviner), et plutôt que de le neutraliser, ils l'emmènent avec eux à nouveau, pour qu'il fasse encore plus de conneries, alors qu'il cherchait même pas à se défendre de sa première connerie. Le type joué par Gary Oldman ? Jusqu'à la scène de la tour, je le croyais intelligent, magnanime, diplomate. On lui explique clairement ce qu'il va se passer, et a priori c'est un type qui est bien au courant de la situation vu que c'est en quelque sorte le chef des survivants, mais son délire du moment c'est « boum badaboum », alors qu'il les a vu en vrai, les singes (en temps de paix), et qu'il sait très bien que le gentil mec (dont je ne me souviens plus du nom non plus) n'a aucun intérêt à saboter les chances de survie, c'est grâce à lui, et uniquement lui, qu'ils ont l'électricité. Donc c'est juste un gros trou du cul qui a regardé les films de Michael Bay et qui a cru que c'était la seule solution possible, de faire du big bam boum (surtout que de toute façon, l'armée va débarquer d'une minute à l'autre). Il se bouge pas pour faire changer les choses, il envoie des gens le faire à sa place, ils y arrivent, ils reviennent et lui disent de pas faire de conneries car la trève est fragile mais possible, et lui il pense qu'en essayant de les tuer (ce qui est même pas sûr de réussir) il va sauver l'humanité (ce qui est d'autant plus ridicule que cette ville n'est pas la seule, elle est juste isolée et ils le savent très bien ! alors l'humanité, mon cul). Donc, deuxième con. Troisième con, Koba, dont la haine envers les humains est compréhensible, mais celle envers César beaucoup moins (qui l'a sauvé, il lui doit la vie, il le dit lui-même !). Heureusement, scénographie facile oblige, s'il est toujours en première ligne en fonçant vers l'ennemi style guérilla (manquait la trompette d'ailleurs), et qu'en plus il est très vieux et diminué, personne n'arrive à lui tirer dessus, il échappe aux bombes, bref, c'est Pierre Magic Koba. Donc on se le coltine jusqu'au bout lui aussi. Mais c'est le moins absurde des trois cons, on est bien d'accord, lui il a de réels motifs.

J'ai pas non plus parlé des bizarreries, genre tous les singes qui savent d'un seul coup miraculeusement utiliser des armes à feu… moi tu me files une arme, euh… je suis pas plus con qu'un singe, mais je saurais pas m'en servir (et d'ailleurs j'ai pas envie de savoir ). Mais peut-être que la plupart ont déjà eu à le faire dans le premier film, donc à la limite, ça je sais pas vraiment ⌒⌒

À noter que si cela m'a un peu dérangé pendant le visionnage, c'est surtout après que c'est devenu fâcheux. Quand j'ai fini de regarder un film, souvent j'ai envie de partager ce qui m'a plu, et pour ça j'ai besoin d'avoir confiance envers le film, son scénario, ses personnages. Et quand j'ai fait la somme des bons et mauvais points, c'est là que je me suis rendu compte que ce qui m'avait un peu dérangé faisait bout à bout une belle somme de gros défauts, suffisants dans un premier temps pour ne pas en faire un film excellent, et dans un second temps le reléguer au rang de blockbuster habituel qui a presque franchi la barrière… sans succès.
Mais si je ne le recommande pas, je ne le déconseille pas non plus, il a des qualités, et l'écriture des personnages n'en fait pas partie.

Message édité 2 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 12/08/14 à 11:47.



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Message laissé le 12/08/14 à 12:01

Effectivement Yohmi, ton point de vue se défend largement et je te rejoins à vrai dire.

Mais j'avoue que pendant le visionnage, les points négatifs que tu cites ne m'ont pas franchement sauté à la gorge. Evidemment, j'ai remarqué les personnages un peu con (et c'est vrai que Gary Oldman fut une très grande déception, enfin, son personnage du moins). Mais j'avoue que le côté émotif et le message un peu cul cul du film m'ont suffit aux premiers abords. Sans doute parce que je n'en attendais pas plus je pense (c'est sans doute ça qui est malheureux d'ailleurs).

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Message laissé le 12/08/14 à 14:10

@Yohmgai: Justement,pour Gary Oldman,c'est tout ce que le film veut montrer,a savoir qu'une somme d'événements cons,causé par une simple étroitesse d'esprit peut amener a un massacre total. Gary Oldman a une telle pression sur les épaules,que sa décision me parait a peu prés plausible. Pas intelligente,mais plausible. Pourquoi un personnage doit forcément prendre tout le temps la meilleure décision? C'est ce qui rend le film si fort: tous les personnages sont humains,avec leur défauts et leurs faiblesse,et au final,Gary Oldman se laisse aveugler par sa peur. Et pour Koba,encore une fois,il est tellement engoncé dans sa haine des humains,et il sait tant de choses de plus que César,que forcement,il prend le pouvoir pour mener son peuple sur ce qu'il lui semble la meilleur décision. Sa haine envers César est progressive. Il ne le déteste finalement qu'a la fin. Et c'est dit plusieurs fois dans le film qu'ils ne sont pas sur qu'il y ait d'autre personnes.
Et sérieux,vous avez trouvé le film cul-cul? Sa morale est tellement sombre,tellement pessimiste,elle crache tellement a la gueule du genre humain!

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Message laissé le 12/08/14 à 14:33

Oui, culcul dans le sens "oh mon dieu, que nous sommes des vilains pas beau !".
Ca dépend comme tu tournes la phrases

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Club des Papas !

Message laissé le 12/08/14 à 14:44

Je ne sais pas si « cul-cul » est le terme le plus approprié. C'est juste manichéen, c'est tout. Non, un type n'a pas à prendre la « bonne décision » systématiquement. Ça veut pas dire non plus, quand on lui demande d'attendre un tout petit peu qu'on ait un retour favorable ou non, d'appuyer sur le rô bouton rouze qui fait boum (ça m'a fait penser à un bébé que j'ai vu cette semaine dans le métro, dans les bras de sa mère, qui cherchait à tout prix à appuyer sur le bouton d'alarme ). Et ce type-là, comme je le dit, tout au long du film il n'a pas l'air de montrer la moindre étroitesse d'esprit. Si je le critique autant, c'est parce qu'il a soudain réagi comme un personnage de série B, voire comme un méchant de série B, qui te balance une punchline larmoyante en faisant la plus grosse connerie possible alors qu'on a essayé de l'en empêcher. Alors que le type est intelligent, quoi.
Et le pire dans cette histoire, c'est que ça n'a absolument aucune incidence sur l'issue de la « négociation » ou sur la perception des humains par les singes. Quedalle. Ça n'a servi à rien, rien du tout. L'issue du combat est décidée par l'astuce, la force et le hasard, et non par l'explosion. Et seule l'issue du combat est considérée comme importante dans le scénario.
Ça ne crache pas du tout à la gueule de l'humanité, ou alors l'humanité c'est l'Amérique. Parce que ce genre de décision (on plastique une tour, et dès qu'on arrive à contacter quelqu'un de l'extérieur, c'est pour leur dire « venez lâcher des bombes sur notre bidonville pour tuer des méchants singes » plutôt que « venez nous sauver, il y a des femmes et des enfants en danger »), c'est exactement l'Amérique (au cinéma en tout cas). Mais c'est pas l'humanité, non.

Que Koba en sache plus que César, peut-être que le premier film le montre, mais ce n'est pas ce que le second film dit (« il ne connaît que leur mauvais côté »). César, a priori, connaît les deux faces (et découvre grâce à Koba que c'est comme partout).

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Message laissé le 12/08/14 à 14:48

Chacun sa définition de cul-cul! Pour moi,un film cul-cul,c'est ça:

Les gentils sont très très gentil,et les méchants très méchants. Pour la planéte,le film donne tout de même un peu d'espoir puisque on s'était presque entendu avec les singes,la preuve qu'un meilleur lendemain aurait été possible. Malheureusement,un humain a tout fait foiré,entrainant le reste. Le film monter nos bons,et moins bons côtés.

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Sonmi-451,Cloud atlas

Message laissé le 12/08/14 à 14:54

Perso, je trouve que ce qui est intéressant dans le film, c'est qu'il y a des héros et des méchants des deux côtés. Et certains méchants peuvent être considérés, selon le point de vue, comme des héros !
Certes, Koba est assez extrémiste, mais il est assez représentatif du danger que peut représenter une définition tangible du concept d'ennemi en politique : pour Koba, le genre "humain" est nuisible, et pour le personnage de Gary Oldman, c'est bien le genre "singe" qui l'est. Et c'est cette erreur de jugement dans leur mentalité et leur réflexion qui les amènent à agir de la sorte : s'ils agissent de manière manichéenne, c'est bien parce qu'ils pensent d'une manière similaire !
Certains en devraient prendre de la graine avant de voter NRA ou Front National...

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Message laissé le 13/08/14 à 01:56

Merde... Hors-sujet ! Pas bien sf, pas bien sf !

Raiponce ? Cul-cul ?

Punaise, j'ai trouvé que le film était autant adapté au jeune public (mes filles adorent) qu'aux parents ! C'est bien fait, il y a quelques bons sentiments, l'inévitable morale mais un dénouement moins cul-cul que ça justement parce qu'il se finit comme le début le laisse entendre (je ne spoile pas grand chose) et que ce drame rejoint la noirceur du destin d'un personnage auquel l'héroïne est "normalement" attachée. Mais maintenant, le tout est de savoir de quel(s) personnage(s) je parle. Je trouve que depuis quelques temps Disney se détache un peu de cette empreinte niaiseuse qui allait avec tous ces longs métrages. Dans un sens, ça m'emmerde moins de regarder ses films avec mes filles que pas mal d'autres qui sont justement vantés pour être "plus mieux" (et qui ne les intéressent finalement même pas).

Sinon, les macaques qui se foutent sur la gueule, c'est foutu pour moi ! Tim Burton ! Voilà pourquoi ! Plus sérieusement, pas intéressé par le film ! On remplace les singes par des robots et je me déplace. Je sais... Même pas honte !

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Message laissé le 13/08/14 à 13:10

Raiponce est un des rares derniers Disney à m'avoir plu. Bien plus que la Reine de Neiges d'ailleurs. Je l'ai pas trouvé cul cul. C'est un Disney, donc dans un certain sens, ça a un certain degré de niaiserie, mais très franchement, je suis plutôt d'accord avec Sf.

Pareil pour les singes, pas mon truc. Pas sûr que j'aurais été plus intéressé par des robots, à voir

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Message laissé le 13/08/14 à 13:37

Raiponce n'est pas désagréable,mais certains passage sont quand même gonflant de niaiserie! Et me dites pas que Disney=niais! Le roi lion a détruit mon enfance! Je comprends pas trop ce que les récents de Disney ont de plus matures et moins niais. Raiponce est quand même parfois bien relou(l'héroïne me donne envie sans cesse de la tarter..."oui! je suis contente,il fait beau les oiseaux chantent! wiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!" et Ralph est... En fait j'en sais rien puisque je me faisais tellement chier durant la première demi-heure que j'ai préféré zapper (pas vu La reine des neiges). Pour moi,les disneys récents sont même limites plus niais qu'avant. Je veux dire,regarder Lilo et Stitch,Mulan,La planète aux trésors,ou même Atlantide! Ça c'est le disney que j'aime! Le disney récent,je le trouve sympathique,et il m'offre des dessins-animés que je montrerais a des gosses sans problème,mais moi,ces films ont tendance a vite me saouler.

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Sonmi-451,Cloud atlas

Message laissé le 13/08/14 à 14:31

Raiponce n'est jamais sortie de chez elle, donc oui, elle s'émerveille devant tout ce qu'elle voit. Je ne vois pas ce qu'il y a de niais à ça. A titre personnel, je n'ai pas eu envie de la claquer, je l'ai trouvé même plutôt bien faite. Elle n'est jamais sortie de chez elle, donc, en effet, elle reste naïve, mais je trouve ça plutôt normal en fait... Puis bon, le roi lion, y a quand même un lion qui se fait sauver par un cochon...

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Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 13/08/14 à 14:56

C'est pas la réaction en elle-même qui me pose problème,mais le point auquel on appuie dessus pour bien le faire rentrer dans la crane. Au cas ou les gosses sont trop cons pour comprendre. Je veux dire,est-ce que c'était obligé les "ohhhhh" toutes les quatre secondes? La première fois,ok,elle découvre le truc. La deuxième fois,ok c'est un nouveau truc. La troisième fois,ça commence gentiment a devenir lourd,mais la quatrième fois,merci disney on a compris! Si encore c'était de l'arrière plan,mais non,il fallait qu'on passe plusieurs scènes entières a Raiponce qui découvre les petits animaux trop chouchou-kawaii(ok,j'exagère un peu la.....). Et c'est pas un cochon,mais un phacochère!

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Sonmi-451,Cloud atlas

Message laissé le 13/08/14 à 14:59

Elle n'est pas durant tout le long du truc à faire "Ohhhh" non plus... Elle le fait au début quand elle sort, ok. Ensuite, elle le refait pour les lumières dans le ciel, mais ça, c'était juste le rêve de toute sa vie... Je trouve même pas spécialement qu'ils prennent les gamins pour des andouilles.

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Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 13/08/14 à 15:49

Sincèrement, même le dernier avec ses chansons et ses beaux sentiments passe plutôt bien. Mais après, il faut se mettre en condition, c'est sûr !

Au-delà du sentiment niais, les autres longs métrages cités ne m'ont pas autant plu. Lilo Et Stitch, sans plus, Mulan, bof... Je crois que je préfère quand Disney reste sur son terrain parce que mine de rien, il le fait plutôt bien. Moi, je trouvais justement amusant que Raiponce s'émerveille de tout et rien pour culpabiliser juste ensuite vis-à-vis de sa mère. Et ça lui donne aussi la force d'aller jusqu'au bout de ses mésaventures. La demi morale qui incite les gens à aller jusqu'au bout de leur rêve est assez mignonne. En plus de ça, elle offre une séquence visuellement magnifique. Les lanternes, j'avoue que ça m'a un peu calmé.

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Message laissé le 13/08/14 à 16:17

Ça,la séquence des lanternes dépote..... Personnellement,je préfère quand Disney pose ses couilles sur la table,et arrive sur un terrain ou on l'attend absolument pas(l'épique pour Mulan,la SF pour Treasure planet,et le drame familial pour Lilo et stitch). Encore une fois,je déteste pas Raiponce,j'ai juste trouvé ça un poil trop simple. Après,ça fait longtemps que je l'ai pas vu,donc j'ai peut-être exagéré le coup de raiponce euphorique.

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Sonmi-451,Cloud atlas

Message laissé le 15/08/14 à 21:16

Avatar : La légende de Korra....

Et bien je vous merde, j'aime beaucoup l'effort apporté à cette série! Je pense en faire un review ! J'aime beaucoup

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