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Un petit dépoussiérage de vieux jeux qui valent (peut-être) le coup.

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Toy Story 2 (PS1/N64)

Article posté le 15/10/15 à 19:30

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Les adaptations de films et de séries ne datent pas d'hier. La plupart du temps, le jeu se révèle décevant de par son but de surfer sur le succès de l'oeuvre dont il est issu. Comme le titre l'indique, nous allons nous intéressé au film d'animation Toy Story 2. Le jeu est sorti sur PC,PS3, Dreamcast, Game Boy, N64 et PS1, développé par Traveller's Tales et édité par Activision.

Le jeu nous met dans la peau de Buzz l'éclair qui part à la rescousse du shériff Woody kidnappé par Al, le propriétaire d'une ferme aux jouets, car il est une pièce de collection. Il faudra traverser une quinzaine de niveau dont cinq contre un boss pour pouvoir délivrer le cow-boy. Les niveaux respectent l'univers du film. On part de la maison d'Andy pour arriver à l'aéroport en passant par la ferme au jouet. O reconnaîtra d'ailleurs certaines pièces du film comme la chambre du garçonnet et celle où est Woody pendant une bonne partie du film. Les musiques ne sont pas en reste et on retrouve même certaines du film comme celle du titre titre qui reprend Ton ami c'est moi

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On retrouve pas mal de détails du film dans la chambre malgré les limitations techniques.

Le ranger de l'espace peut réaliser un double-saut, utiliser son laser qu'il est possible de charger pour infliger plus de dommages(le vert est à trouver pour un certain nombre de tirs surpuissants), faire la toupie également chargeable(Buzz sera toutefois sonné quelques secondes) et faire un saut appuyé pouvant activer les interrupteurs.

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La vue à la première personne. Un verrouillage de cible est également disponible.

Au cours du jeu, on a la possibilité d'utiliser certains gadgets comme le grappin, les bottes anti-gravité ou encore le bouclier pendant un temps limité. Ils sont obtenus en donnant à Mr Patate la partie manquante de son corps. Malheureusement, certains objectifs ne sont faisables qu'avec un accessoire disponible plus tard, nous forçant à retourner en arrière pour réaliser la mission en question. On aurait aimé avoir la possibilité de faire le jeu dans l'ordre.

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Le premier gadget du jeu dans le premier niveau.

Comme dans le film, vous serez accompagné de différents personnages issus du film pour la plupart qui vous donneront des tâches à accomplir en échange d'un jeton Pizza Planet. On retrouvera Bayonne, la tirelire qui réclamera cinquante pièces, Karting qui nous affrontera dans une course dans les deux premiers niveaux ou encore Rex le T-Rex qui nous indiquera les missions qui nous restent à faire.
Toutefois, les objectifs ne varient pas d'un niveau à l'autre. On aura toujours droit au défi des pièces, chronométré, casse-tête, cinq objets à ramener à un jouet et le combat contre le boss du niveau. Le jeu ne résistera pas longtemps à un joueur lambda. Les seuls passages m'ayant vraiment freiné sont le niveau de l'ascenseur et le boss final.

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Karting qui nous attend au deuxième niveau.

Toy Story 2, malgré son manque d'inspiration au niveau des missions proposées, est un bon jeu. Les graphismes sont bons, les musiques collent bien à l'ambiance et l'univers est respecté. La rejouabilité est très bonne puisqu'il est possible de refaire les missions dès qu'on entre dans un niveau à la manière des Mario 3D.

Nombreux edits:problème de balise réglé.
Edit5:Editeur et développeur corrigés.



Message édité 5 fois. Dernière édition par Ghost Gyrfalcon le 16/10/15 à 11:27.


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[Test]Banjo-Tooie[N64]

Article posté le 06/10/14 à 18:38

Ayant bluffé les joueurs et la presse spécialisée à sa sortie, Banjo-Kazooie s'est rapidement imposé comme un des classiques de la Nintendo 64. Devant le succès du jeu, Rareware a sorti Banjo-Tooie vers la fin de vie de la console. Mais cet opus est-il à la hauteur de son aîné?


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Histoire:


Deux ans ont passé depuis la défaite de Gruntilda face à Banjo et Kazooie. Notre sorcière bien-aimée est toujours coincée sous son rocher et son larbin Klungo le pousse toujours mais sans succès. Pendant ce temps, un tremblement de terre causé par une foreuse annonce l'arrivée des sœurs de Grunty, Mingella et Blobbelda bien décidées à aider le laideron à retrouver son corps d'antan. Après être libérée de sa tombe, Gruntilda parvint à détruire la maison de Banjo et tuant Bottles en passant(personne ne l'aimait de toute façon). L'heure de la vengeance avait sonné pour le trio.


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La sorcière est de retour et prête pour la vengeance


Gameplay:


Banjo-Tooie reprend les grandes lignes du premier opus aussi bien dans le principe que les mouvements. Le joueur est invité à récupérer des pièces de puzzle, des notes de musiques et apprendre de nouvelles techniques. Mais il existe quelques différences par rapport au premier opus. Les attaques s'apprennent désormais auprès de Jamjars, le frère militaire de Bottles, contre un certain palier de notes à atteindre. Le duo peut désormais se séparer et chaque perso a droit à ses propres techniques en plus de celles affectées au duo. Pour finir, le total des notes est sauvegardé. Il n'est plus nécessaire de devoir récupérer les notes intégralement à chaque fois comme dans le premier opus à chaque entrée dans un monde.
Concernant les pièces de puzzle, elles sont au nombre de 90 au lieu de 100 pour Kazooie. Il n'y a que 9 niveaux dans cet opus mais ils sont bien plus vastes. De plus, il devient impossible de terminer un niveau en un seul coup puisque certaines pièces de puzzle nécessitent des mouvements appris plus tard dans le jeu. Pour d'autres, il faudra prendre le contrôle de Mumbo pour activer certains mécanismes. Les transformations sont aussi de la partie et il en existe une par niveau. Il faudra voir Humba pour lancer le processus. A noter qu'un Glowbo, une petite bestiole, est nécessaire pour l'aide des deux chamans. Enfin, dernier cas de figure, il faudra trouver des passages communiquant entre deux niveaux pour obtenir certaines pièces de puzzle. Par contre, il n'est pas possible de quitter un niveau en étant transformé, en tant que Mumbo, Banjo ou Kazooie la plupart du temps.


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Les gares, un des moyens de communication entre les niveaux.


Les codes de triche ont été conservés et sont toujours fournis par Cheato. Cette fois-ci, il faut récupérer les pages du livres que Gruntilda a déchirées. Un code sera donné si cinq pages sont données au livre. Les alvéoles vides sont présentes elles aussi. Il faudra en amener un certain nombre à Honey B, une abeille vivant à côté du deuxième niveau, pour avoir un point de vie supplémentaire. Les Jinjos sont également à trouver. Ils fonctionnent cette fois-ci par familles. Chacune d'entre elles est composée d'un certain nombre de membres allant d'un seul jusqu'à 9 ou 10. Mais attention, il y a des Minjos, des ennemis assez faibles à l'apparence des Jinjos qui vous chargeront dès qu'ils vous voient.
Le jeu a un mode multijoueur. Il se compose de tous les mini-jeux que Banjo et Kzaooie ont fait au fil de l'aventure. Il y a par exemple une variante du football, un mini-jeu à la Goldeneye 64 dans des arènes fermées ou encore le quiz de la fin du jeu. D'ailleurs, je n'ai pas vraiment parlé des sorcières. La raison est très simple, comme dans le premier opus, elles n'apparaissent presque pas dans le jeu. Juste au début et à la fin pour le quiz(où Mingy et Blobby se font écrasées à cause de leur résultat trop faible) et la bataille finale. Rareware aurait pu les mettre plus en avant ne serait-ce qu'en tant que boss de chaque niveau. Il n'y a que Klungo qui apparaît à trois reprises sur l'île aux sorcières, le hub principal du jeu, mais aucune des sorcières n'apparaît physiquement entre temps.


Qualité graphique et sonore:


Il n'y a rien à dire sur les musiques. Elles sont du même niveau que celles de Banjo-Kazooie. Le jeu est légèrement plus beau et détaillé. Cependant, des ralentissements apparaissent à certains moments.


Conclusion:


Banjo-Tooie se veut plus complet et plus sombre que le premier opus. La difficulté et la durée de vie ont été augmentées grâce à des niveaux. Toutefois, il faudra faire des allers-retours assez souvent entre les niveaux pour pouvoir terminer le jeu à 100%, ce qui peut se montrer barbant au bout d'un moment. Le scénario reste basique mais cela ne retire rien à la qualité globale. Cela dit, je préfère quand même Kazooie par pure nostalgie.



Message édité 2 fois. Dernière édition par Ghost Gyrfalcon le 09/10/14 à 13:26.


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[Test]Banjo-Kazooie (N64)

Article posté le 31/08/14 à 11:18

Rareware est à l'origine de plusieurs séries ou jeux devenus cultes et encore considérés comme des clssiques de leur console respective. On peut citer les Donkey Kong Country de la SNES, Donkey Kong 64, Goldeneye 64 ou encore les Banjo-Kazooie. Et c'est le premier opus des Banjo, anciennement "Project Dream", qui va être décortiqué.


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L'HISTOIRE:

L'histoire est des plus classiques:Gruntilda la sorcière demande à son chaudron Dingpot qui est la plus belle des sorcières. Malheureusement pour elle, il lui dit que c'est l'oursonne Tooty. Furieuse, elle monte sur son balai et la kidnappe devant chez Banjo pour lui voler sa beauté grâce à une machine et son larbin Klungo. Vous décidez donc de mettre fin à votre sieste et de retirer votre soeur des verrues de la sorcière qui habite à 50 mètres de chez vous.


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Cette maison a l'air sympa.

LE GAMEPLAY:

Banjo-Kazooie est un jeu de plate-formes dans lequel vous incarnez Banjo et son amie Kazooie qui vit dans votre sac. L'aventure commence par un petit tuto qui vous présente les premiers mouvements du jeu. Vous devez pour cela parler à Bottles la taupe en vous approchant des taupinères. Les explications sont claires et vous pouvez vous entraîner partout dans la Montagne Perchée. Des alvéoles vides vous montrent où vous entraîner. Trouvez 6 de ces objets et votre énergie montera d'une alvéole(une unité vaut un point de vie). Des taupinières sont disséminées un peu partout dans le jeu.

Après vous être entraîné, vous êtes fin prêt à commencer véritablement le jeu. La tanière de Gruntilda fait office de hub entre les différents niveaux à la manière du château de Peach dans Super Mario 64. Pour progresser dans le jeu, vous devez récupérer différents objets. Les plumes rouges vous permettent de voler, les dorées vous rendent invincible, les oeufs font offices de projectiles et plusieurs paires de chaussures ayant chacunes leur effet et permettant d'accéder à certains endroits. Il faut au préalable parler à Bottles pour pouvoir les utiliser. Par contre, Banjo ne peut transporter qu'un nombre limité de plumes et d'oeufs. Il est toutefois possible de doubler la quantité de ces objets en entrant les codes que Cheato, le livre des sorts de la sorcière, nous donne dans le château de sable de la baie au trésor.

Certains objets sont indispensables pour pouvoir progresser dans la tanière. Il y a les pièces de puzzle à trouver dans les différents niveaux et dans la tour de la sorcière(celles-ci apparaissent généralement grâce à un interrupteur caché dans les niveaux). Elles servent à compléter des tableaux pour dévérouiller les niveaux. Les notes de musique quant à elle suppriment les portes numérotées qui vous bloquent le passage. Mais il faut savoir que vous devrez toutes les récupérer en une fois. Si vous mourez ou quittez un niveau, vous devez toutes les récupérer. Bien sûr, il n'est pas nécessaire de toutes les avoir, mais c'est souhaitable.


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Le tableau du Bois Clic-Clac, le dernier niveau du jeu, qui nécessite une quinzaine de pièces de puzzle.


Les objectifs que propose le jeu sont assez variés. Il faut entre autre atteindre un certain endroit dans le niveau, libérer un dauphin de l'ancre du navire ou éliminer un certain nombre d'ennemis pour recevoir une pièce de puzzle. Banjo doit se transformer pour trouver certaines pièces. Il doit pour cela ramener un certain nombre de grigris à Mumbo, un jeune chaman à la tête squelettique. Cela dit, il n'apparaît que dans certains niveaux et il est possible de sortir du niveau tel quel pour trouver certaines pièces dans la tanières. Mais attention, la magie s'estompera si vous vous s'éloigner trop de l'entrée du niveau.


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La salle des machines du Rusty Bucket contenant une des pièces de puzzle les plus difficiles à atteindre.


Un petit plus du jeu par rapport à Super Mario 64 est la possibilité de terminer un niveau sans avoir à en sortir, ne brisant donc pas le rythme de l'aventure. Cependant, on déplorera une assez grande facilité et un nombre limité d'interventions de la sorcière au cours du jeu. D'ailleurs, en parlant de la sorcière, on ne peut la battre qu'une seule fois contrairement aux boss finaux de la plupart des jeux. Elle ne sortira pas de sa tombe à moins de refaire une partie intégralement.


QUALITE GRAPHIQUE ET SONORE:

Le jeu se veut très enfantin et déjanté. On retrouve un jeu très beau et coloré. Certains ennemis apparaissant dans plusieurs voient même leur aspect changer en fonction de l'environnement. Par exemple, les gruntlings sont des indigènes dans la montagne de Mumbo alors qu'ils arborent une tenue de marin dans la baie du Rusty Bucket.
Les musiques composées par le génialissime Grant Kirkhope sont excellentes. Les voix des personnages se résument à des bruitages et les dialogues apparaissent sous forme de texte à la manière de Starwing. La plupart des répliques sont pleines d'humour entre les rimes de la sorcière et le sarcasme de Kazooie.



CONCLUSION:

Banjo-Kazooie a tout pour être un classique de la N64. Le jeu est très plaisant à jouer avec un univers certe enfantin mais très déjanté. On retiendra ce jeu également pour son humour et ses musiques.


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[Test]Banjo-Kazooie:la revanche de Grunty (GBA)

Article posté le 21/08/14 à 14:29

Il fut une époque où Nintendo occupait une place bien plus importante qu'aujourd'hui sur le marché du jeu vidéo. A ce moment-là, Big N était soutenu par une floppée d'éditeur-tiers. Cependant, avec l'arrivée de la N64, le géant nippon s'est presque retrouvé seul. Seul rester Rareware a continué à soutenir la machine jusqu'au bout. Ce studio est à l'origine des Donkey Kong Country, Banjo-Kazooie, Goldeneye et Diddy Kong Racing entre autre. Mais il s'est fait racheté par Microsoft en 2001, tuant plusieurs projets de jeux pour la Gamecube au passage. En dehors des épisodes N64 et celui sur la 360, il existe deux jeux sortis sur GBA:Banjo-Pilot et le jeu dont je vais parler.

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L'HISTOIRE:

Deux ans après les évènements de Banjo-Kazooie, Gruntilda la sorcière est encore sous le rocher. Son assistant Klungo créa alors un robot à l'effigie du laideron pour permettre à son âme de sortir de sa tombe et éliminer nos héros par la même occasion. La sorcière enleva donc Kazooie et l'emmena vingt ans en arrière pour éviter la rencontre du duo. Banjo se lance alors à la poursuite de Grunty, sauver Kazooie et lui botter le train arrière une fois de plus.


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"Je suis de retour, pour vous jouer un mauvais tour!"


LE GAMEPLAY:

Banjo-Kazooie:la revanche de Grunty est un jeu de plate-formes en 3D isométrique dans lequel vous incarnez Banjo dans un premier temps(Kazooie sera délivrée assez tôt dans le jeu, ne vous en faites pas). Vous devez parcourir des mondes afin de collecter notes de musiques et pièces de puzzle afin d'accéder au combat final contre la sorcière dans sa tanière encore en construction. Dans votre aventure, vous pourrez compter sur différents personnages qui vous aideront d'une manière ou d'une autre. On retrouve donc Mumbo Jumbo qui vous transformera contre un grigri comme dans le premier opus, Bozzoeil la taupe qui vous apprend les techniques d'attaques, le sage JiggyWiggy qui vous ouvre les portes des mondes et Honey B qui augmente votre vie en échange d'alvéoles de miel vides.
Les objectifs des niveaux et le bestiaire sont assez variés. On retrouve les jinjos à sauver, des choses se déplaçant à attraper façon pêche aux canards, des pauvres PNJ à protéger pendant un temps donné, etc... Comme dans Banjo-Tooie, les niveaux comportent un boss qu'il faudra bien-sûr battre. Klungo sera souvent à battre mais Grunty sera aussi un peu de la partie.

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"Encore oursss sssstupide venir mettre des bâtons dans roues de Klungo."

Cependant, on pourrait reprocher au jeu un certain manque de nouveautés. En effet, le jeu reprend les acquis de Banjo-Tooie dans les grandes lignes. On peut citer le système d'ouverture des mondes, celui des alvéoles ou encore les différents types d'oeufs. Dommage que Rareware ne se soit pas plus donné de ce côté-là.


QUALITE GRAPHIQUE ET SONORE:

Malgré la différence de support, on retrouve bien la patte graphique de la série. Les niveaux, les thèmes et les bruitages restent dans l'esprit des opus 64. L'animation des personnages n'est pas en reste. Elle est en effet très fluide et le duo répond très bien.


DUREE DE VIE:

Le jeu est très court. Il faudra compter 4 à 5H pour accéder au boss final. Il y a 60 pièces de puzzle à récupérer au lieu de 100 et 90 pour Banjo-Kazooie et Tooie respectivement. Et il faut ajouter à cela la très grande facilité générale du jeu. Seul le dernier niveau montre un peu de résistance.


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On arrive malheureusement beaucoup trop rapidement au boss final.


CONCLUSION:

Affirmer que Banjo-Kazooie:la revanche de Grunty est mauvais serait tirer sur l'ambulance. Malgré le manque de nouveautés concrétes et la faible durée de vie, il s'inscrit sans problème dans la lignée des épisodes 64. Tous les fans de la série y trouveront donc leur compte sans problème et ceux découvrant la série avec ce jeu ne seront dépaysés en jouant aux autres jeux excepté nuts & bolts.


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[Test]Kirby's Dreamland (GameBoy)

Article posté le 12/08/14 à 15:34

Nintendo dispose de plusieurs licences qui ont su devenir des références de l'univers vidéoludique. La plupart d'entre elles existent depuis l'ère des 8 et 16 bits. C'est le cas des Kirby, la petite boule rose qui aspire tout ce qui bouge...enfin presque tout. Fruit de l'imagination de Masahiro Sakurai, il n'a pas commencé sa carrière sur la NES comme notre plombier et notre elfe préféré, mais bien sur Game Boy à l'instar de Daisy(princesse à sauver dans Super Mario Land) et Wario(boss final de SML2).

L'HISTOIRE:

Le jeu nous entraîne donc dans le royaume de Dream Land(d'où le nom du jeu) «gouverné» par le roi Dadidou. Ce dernier a volé toutes les réserves de nourriture du royaume. C'est à vous, le petit chewing-gum ros...blanc, d'aller régler le compte du pingouin et sauver la nourriture. Un scénario tout ce qu'il y a de plus basique, mais largement suffisant vis-à-vis de l'univers du jeu qui se veut très enfantin.


LE GAMEPLAY:

Le héros peut sauter, voler en appuyant sur le bouton de saut plusieurs fois en l'air et aspirer les ennemis(il faudra attendre Kirby's adventure pour copier leurs capacités). Un gameplay certes très simple, mais adapté aux enfants. En effet, n'attendez pas à du challenge, vous serez déçus. Le jeu a été spécialement conçu pour les très jeunes joueurs, d'où l'univers un petit bisounours.
Avant d'accéder au château du Roi Dadidou, vous devez faire plusieurs niveaux grouillant d'ennemis à la solde du pingouin en pyjama. Vers le milieu de parcours, vous affronterez un mini-boss qui essaiera de vous mettre des bâtons dans les roues. Les niveaux se terminent systématiquement par un boss.


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Whispy Wood, certainement un des boss les plus connus de la série.


QUALITE GRAPHIQUE ET SONORE:

Rien à dire de ce côté-là. Les décors sont magnifiques et les thèmes corrects pour la console et collent très bien à l'ambiance général des niveaux. Certaines musiques sont même devenues des classiques de la série comme Green Greens et le Dedede theme.


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Une très belle réalisation graphique.

DUREE DE VIE:

Gros point noir du jeu, il m'a fallu une quarantaine de minutes pour venir à bout des cinq niveaux. De plus, le château de Dadidou ne comprends que quatre salles reprenant le thème des 4 premiers stages avec les boss respectifs à la fin de chaque à la manière de la tour de Ganon dans Zelda:The Wind Waker. Heureusement, il est possible de refaire le jeu avec une difficulté légèrement relevée bien que cela reste encore trop court.

CONCLUSION:

Les joueurs cherchant un peu de challenge pourront passer leur chemin. En effet, le jeu vise plutôt le très jeune public avec sa difficulté et son univers attachant. Mais cela n'empêche pas la série d'être appréciée du grand public encore aujourd'hui.



Message édité 2 fois. Dernière édition par Ghost Gyrfalcon le 12/08/14 à 15:35.


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