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Un petit dépoussiérage de vieux jeux qui valent (peut-être) le coup.

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[Test]Astérix(SNES)

Article posté le 12/08/14 à 01:10

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En 2014 après Jésus-Christ, toute la Gaule est occupée par des consoles HD. Toute? Non! Dans une petite ville pourrie du Nord de la Gaule, un vieux rabat-joie résiste encore et toujours à l'envahisseur.

Astérix a connu un nombre incroyable d'adaptations en jeux vidéo aussi bien bonnes que mauvaises. Sa potion magique ne l'a pas empêché de morfler dans une grande partie des jeux. Toutefois, c'est un des rares bons jeux de la licence que je vais tester. Il est sobrement intitulé "Astérix".

Le scénario du jeu est très simple:Astérix doit sauver son ami Obélix des griffes des Romains. Pour cela, il vous faudra traverser différentes régions allant des montagnes de l'Helvétie aux pyramides d'Egyptes. Déjà là, il y a un problème. Obélix? Capturé par les Romains? Ca peut faire grincer des dents les fans de la séries car le scénario est une blague à lui tout seul, quand on sait qu'il peut démolir une légion à lui seul.

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Mon pauvre Obélix, qu'est-ce qu'ils t'ont fait?

Attardons-nous sur les autres points du jeu. Le jeu se présente comme un jeu de plate-formes dans lequel, vous incarnez Astérix, guerrier Gaulois très vif et rusé alimenté par la potion magique de Panoramix le druide du village. Vous commencez votre aventure dans la forêt entourant le village. Vous devrez éliminer différents ennemis comme les légionnaires romains ou les corbeaux.

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Destination la Lune...ou plutôt un très bon médecin.

Bien sûr, vous collecterez différents items durant votre aventure. Il en existe différentes sortes. Les morceaux de sangliers rôtis(voire les bêtes entières) vous redonneront de l'énergie, les casques de Romains vous donneront des points supplémentaire, l'os appelera Idéfix qui mordera les fesses des légionnaires, la lyre d'Assurancetourix qui gèlera temporairement les ennemis, les potions qui vous feront voler ou rendront invincible sans oublier les sesterces. Elles correspondent aux pièces chez un plombier très connu et vous donnent 1 vie si vous en récoltez 100. Les serpes d'or vous en donnent une dizaine. Certains de ces items se trouvent dans des blocs celtiques qu'il faudra frapper.

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Et un sanglier entier pour le p'tit monsieur!

Graphiquement, le jeu est très beau. Fidèle à l'esprit de la bande dessinée, les ennemis et Astérix sont très bien représentés et les décors sont magnifiques. La musique, sans être issue d'un quelconque Astérix, colle très bien au niveau et à la série. Vos oreilles n'auront donc pas envie de saigner.

Cependant, le jeu se montre assez difficile par moment. En effet, bien qu'Astérix soit assez maniable, certains passages nécessitent plusieurs essais avant d'être passés. Certains élèments apparaissent au dernier moment et il est presque impossible de les éviter du premier coup. Toutefois, si vous mourez, n'espérez pas reprendre à un checkpoint car ceux-ci sont totalement absents. Vous devrez recommencer du début du niveau. Une mention spécial au nombre de vies et de checkpoints assez faible.

Malgré la difficulté de certains passages, le jeu est un bon jeu. L'univers est très bien retranscrit si on passe outre le scénario. Il est difficile à croire qu'Infogrames soit derrière ça quand on connait la réputation du studio. Ce jeu est donc une exception, les fans de la série et de jeu de plate-formes peuvent se jeter sans problème.


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[Test]Batman Returns(SNES)

Article posté le 07/08/14 à 15:20

Quand on parle d'adaptation de films en jeux video, on pense indéniablement à des étrons qui ont été développés dans le but de surfer sur le succès du film. Mais heureusement pour nous, certains sont de bonne qualité comme le jeu dont je vais parler. Il s'agit du film ayant le plus d'adaptions(9). J'ai choisi la version SNES car c'est la seule des deux que j'ai réussi à finir.(J'ai aussi la version Megadrive).
Batman returns(Batman: le défi en français) est adapté du film de Tim Burton du même nom et développé par Konami(studio à l'origine de la série des Metal Gear Solid). Un bref rappel du scénario du film: Bruce Wayne officie déjà en tant que Batman depuis un moment dans le but de protéger Gotham City. Mais celle-ci court un nouveau danger. En effet, le Pingouin, abandonné par ses parents dans les égouts à cause de sa laideur et ses tendances meutrières(il a tué le chat familial au début du film, c'est dire!), va s'allier avec Max Shreck, l'homme d'affaire le plus riche de la ville, pour se venger de ce que lui ont fait ses parents. Entretemps, Batman aura à faire avec Catwoman, qui n'est autre que la secrétaire de Schreck. Celui-ci a tenté de la tuer lorsqu'elle a découvert ses intentions malhonnêtes.

On va enfin attaquer le jeu. L'introduction du jeu se lance et n'est autre que celle du film. Bien sûr, il ne s'agit que de quelques images fixes du film mais les textes(en anglais) nous expliquent bien la situation. Cette cinématique est bien sûr accompagnée du thème d'introduction du film. C'est d'ailleurs une des forces du jeu. Les musiques de Danny Elfmann ont toutes été intégrées dans le jeu, ponctuant les niveaux et les cinématiques. Il faut noter que ces dernières sont implantées entre chaque stage(au nombre de 7).

Le jeu en lui-même se présente sous la forme d'un beat'em all. Batman dispose d'une variété de coups et de gadgets tels que le grappin qui permet au joueur de se projeter vers l'avant et occasionner des dommages aux ennemis, les batarangs qui assoment les adversaires et les tubes à essai au nombre limité mais au pouvoir destructeur. Le bestiaire se compose du Gang du Cirque Rouge allant de l'homme-sabre à la femme lanceuse de couteau en passant par les gros clowns. Les niveaux se terminent systèmatiquement par un combat contre un boss qui n'est autre qu'un membre du gang. Catwoman fait également partie des boss et le Puigouin fait office de boss avec elle au 4ème niveau et seul au 7ème. Ils sont très résistants, cognent assez forts et sont assez rapide. Il est à noter qu'il est très dur de ne pas y laisser des plumes. Ce problème est grandement dû à la lenteur de Batmémé. Je sais, Michael Keaton(l'interprête de Batman dans les 2 films de Burton) se bat de manière assez droite mais on aurait préféré qu'il soit un peu plus souple dans le jeux. Ca fait bizarre de voir Batou attaquer moins vite que Strongman, le deuxième boss du jeu(vous savez, celui sur lequel Batman attache une bombe avant de le jeter dans un trou).
Les niveaux en eux-même reprennent les lieux du film. On passe de la Gotham Plaza à la tanière du Pingouin dans le vieux zoo de Gotham qui sert d'arène finale. Le niveau 5 est le seul niveau qui se démarque des autres. Le joueur se retrouve à bord de la Batmobile et doit tirer sur les ennemis à moto avant de devoir éliminer la camionette de campagne du Pingouin(la face visible de l'iceberg est sa volonté d'être maire.). Le niveau utilise à merveille le mode 7 de la console.

Il n'y a plus grand chose à dire sur le jeu si ce n'est qu'il est assez court.(environ 1H) Mais il existe plusieurs niveaux de difficulté,(très facile à mania) ce qui peut permettre une légère rejouabilité. Malgré ce petit défaut, il reste un bon jeu que tout possesseur de la console et fan de Batman doit avoir.



Message édité 1 fois. Dernière édition par Ghost Gyrfalcon le 07/08/14 à 15:21.


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[Test]StarWing(SNES)

Article posté le 05/08/14 à 18:12

Voilà ma première critique portant sur StarWing sur la SNES. Le test n'est pas parfait et j'ai sûrement oublié de mentionner certains éléments.

Au début des années 90, la guerre fait rage entre les deux mastodontes vidéoludiques de l'époque que sont Nintendo et Sega. D'un côté le hérisson bleu, qui essaie d'imposer la Megadrive comme une machine plus «mature»(qui a parlé du punk dans les pubs) et de l'autre le plombier italien moustachu qui a dû sortir sa SNES plus rapidement que prévu. Un des objectifs est de montrer que sa propre machine était plus puissante que l'autre. Côté Nintendo, une des premières prouesses réalisées est F-Zero qui utilisait le mode 7 afin d'afficher un rendu en pseudo-3D(Super Mario Kart a repris le concept). Ceci était permis grâce à une puce présente dans la console. Afin de contrer Virtua Racer et ses polygones, Nintendo a décidé de sortir un jeu qui gérer lui la 3D grâce au SuperFX. StarWing(StarFox dans le reste du monde) était né.

Le jeu est un rail shooter où le but est de détruire le plus d'ennemis possible d'un point A à un point B. Quant au scénario, il est très basique. L'empereur Andross, un scientifique fou, a envahi le système Lylat et c'est à vous et votre équipe de ruiner ses plans. Vous êtes Fox Mccloud, le leader, accompagné de Falco Lombardi le faucon, Peppy Hare le lièvre ainsi que de Slippy Toad le crapeaud. Vous commencez l'aventure à Corneria, quatrième planète du système solaire, et vous devez traverser des planètes jusqu'à Venom, planète où a été banni Andross.

Pour y accéder, vous avez le choix entre 3 itinéraires, composé de 5 à 6 niveaux et chacun ayant une difficulté différente. Cela implique donc plus ou moins de dangers qui apparaissent à l'écran. Vous pouvez donc tirer, lancer des bombes et faire des tonneaux. Chaque vaisseau ennemi éliminé vous rapporte des points. Au bout de 50 000, vous gagnez un continu. Des bonus peuvent être amassés sur les parcours comme des lasers plus puissants. Un checkpoint est disséminé dans chaque niveau, permettant au joueur de récupérer à cet endroit s'il venait à mourir. Car oui, le jeu se démarque par une barre de vie montrant les dégâts que peut recevoir l'engin.
Il est important de noter qu'il existe plusieurs configurations de manettes permettant de changer l'action des boutons. Tout le monde y trouve donc son compte. Un mode entraînement est présent pour les joueurs souhaitant s'habituer aux commandes. De plus, il est possible de changer le type de vue et être à l'intérieur-même du cokpit.

En ce qui concerne la bande sonore, il n'y a bien sûr pas de voix. Les personnages parlent le langage Lylat(ou en yaourt, à vous de voir). Les dialogues sont affichés en anglais en bas de l'écran à côté de la tête de la personne qui parle. Chacun y va de ses petits commentaires. Peppy aura tendance à conseiller les autres tandis que Slippy béguera, montrant ainsi sa maladresse.
Les autres bruitages participent également à la mise en scène digne des œuvres cinématographiques(on est en 93, imaginez-vous en train de jouer à ce jeu pour la première). On sent clairement l'inspiration de Star Wars dans le design des vaisseaux et même l'intro en est une. Les différentes musiques sont également de très bonne qualité et participent grandement à l'ambiance général des niveaux.

Malheureusement, il existe certains points noirs à commencer par la durée de vie. Il faudra une heure maximum pour finir chaque trajet et éliminer Andross. Heureusement qu'il existe plusieurs chemins possibles pour augmenter légèrement la durée de vie.

Vous ne devez compter que sur vous-même pend ant presque tout le jeu. Vos coéquipiers sont en effet plus des boulets qu'autre chose. En effet, il faudra souvent les libérer assez souvent et ils tirent de manière totalement aléatoire. Pour finir, vous vous retrouverez seul contre les boss de fin de parcours. On a vraiment envie de les secouer par moment.

La distance d'affichage est très réduite. Il n'est pas possible de voir à plus de 10 mètres devant le vaisseau. Certains obstacles peuvent devenir très difficiles à esquiver en apparaissant au dernier moment.

StarWing est le premier jeu Nintendo à gérer des polygones. Rail shooter de son état, il se destine aux joueurs amateurs de highscores et de destruction de vaisseaux ennemis. Cependant, certains points noirs comme la distance d'affichage gâchent un peu l'expérience de jeu.



Message édité 1 fois. Dernière édition par Ghost Gyrfalcon le 07/08/14 à 16:32.


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