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Démo Rayman Origin 3Ds: préquelle à la cathastrophe ?

Article posté le 24/05/12 à 18:59

Possesseur d'une 3Ds et d'une Wii, j'hésite depuis un moment sur la version du jeu à choisir, en cette fin d'après-midi, l'idée me vint que la démo du jeu était sortie sur l'e-shop de la 3ds. Après un bref essai, je suis on ne peut plus décontenancée. Focus sur les éléments qui dérangent. Il est entendu, que vous avez tous vu le test de Sf et que je ne m'attacherai donc qu'aux variantes spécifiques à ce portage.

Premièrement, et j'ai du mal à bien vous le montrer sur la capture, Rayman est minuscule et pire, ses proportions ont été diminuées par rapport à celle des décors ce qui donne l'impression de diriger une tête d'épingle. Certains petits éléments ornementaux ont également disparus des décors (regardez vers 7min50 sur la vidéo de Sf pour comparer). On peut évidemment arguer du manque de puissance de la 3Ds, mais au vue de ce qu'elle est capable de faire en d'autres circonstances, cet argument me paraît bien faible.

Deuxième problème, et c'est bien plus grave, la maniabilité, surtout dans les sauts souffre de problèmes, ils donnent l'impression d'être rigides et relativement imprécis (à croire que Rayman est devenu un petit gros). De plus, il souffre parfois du syndrome dit des « chaussures en savon » ce qui, dans un jeu de plates-formes, à tendance à se solder par un game over.
Dès lors, on ne peut se poser qu'une question, démo pourrie et en retard sur la version définitive, ou bien préquelle du plus mauvais des portages de Rayman Origin ? Rendez-vous le 8 juin pour le savoir…

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Tient c'est marrant, la version 3Ds subit la philosophie zen, un grand dépouillement...


15 commentaire(s)
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Présentation: Tombi

Article posté le 06/05/12 à 23:08

Jeu assez méconnu de la playstation et dû à un studio bien vite enterré, Tombi n'est pas vraiment resté dans les annales du jeu vidéo, pourtant, ses énigmes ingénieuses et son univers totalement déjanté avait de quoi justifier un certain succès.

Question scénario, le jeu donne déjà le ton. Vous incarnez une espèce de petit sauvageon pas très subtile (regardez l'introduction pour vous faire une idée) avec des cheveux rose flashy et un pantalon en feuilles ( !), ce dernier assiste lors d'une rocambolesque chasse aux sangliers, à l'agression d'un malheureux paysan par de méchants cochons (si, si ça fait très sérieux !). Notre héros fonce à la rescousse, mais, à cause d'une circonstance assez improbable, il finit assommé par une branche et se fait dérober un bracelet en or, seul souvenir de son grand père. Ni une ni deux, il se lance à la poursuite des agresseurs tout en ignorant que sa quête va le mener à sauver un pays menacé par les sept vilains cochons… (vous voyez que c'est très sérieux).

Niveau gameplay, Tombi est un savant mélange de plates-formes et d'énigmes. Concrètement, en interagissant avec les personnages, et en avançant dans l'histoire, vous recevez régulièrement des énigmes à résoudre (certaines font d'ailleurs office de quêtes annexes). Ces dernières se matérialisent sous la forme d'un énoncé sibyllin qui s'affiche sur votre écran. Souvent assez vice-lardes, et vous demandant souvent de trouver et d'utiliser un objet particulier, ces épreuves n'iront pas sans vous faire tourner en bourrique tant elles sont originales (essayez la première vous comprendrez). De plus, certaines énigmes même si elles apparaissent tôt ne pourront être résolues qu'à la fin du jeu. Le côté plates-formes n'est pas en reste, avec des passages bien trashs, par exemple, l'un des niveaux vous demandera de traverser une montagne bourrée de gouffres, de plantes carnivores, de ressorts cachés tout en tenant compte d'un vent très fort qui vous repousse en arrière. Ces joyeuses phases sont en plus ponctuées d'une kyrielle d'ennemis, passant du crétin de soldat cochon (essayez de faire bouger un élément du décor devant un de ses abrutis) à la Tortugator sans oublier les oiseaux kokas et autres joyeusetés. Heureusement, Tombi dispose d'un vaste arsenal que vous pourrez récupérer dans des coffres ou recevoir en récompense (dont de très jolis et très discrets pantalons et des joyaux qui recolorent vos tiffs de manière encore plus tapageuse) .

Concrètement, vous progressez dans des environnements très variés mais qui ont été maudits par les vilains cochons. Votre objectif est de récupérer les sept sacs à vilains cochons pour emprisonner ces énergumènes et lever leur malédiction. Là où cela se corse, c'est que si le sac correspondant à un boss se cache bien dans la zone qu'il a maudit, la porte de son antre se trouve dans une autre zone. Gros avantage de ce système : briser la linéarité du jeu. La liberté reste toutefois limitée dans la mesure où il est nécessaire de lever la malédiction de certains cochons pour progresser. Une fois confronté au boss, un seul objectif, le lancer dans le sac qui tourne plus ou moins tranquillement dans l'arène (et non l'ensachage n'est pas aussi facile qu'à la boucherie).

Musicalement, le jeu s'en sort très bien aussi avec des musiques qui collent toujours très bien aux différents environnements. Toutes les pistes sont bourrées de « vitalité » avec un certain kitsch qui s'impose comme un parti pris du jeu.

Et en effet, pour les graphismes, c'est bien le mot kitsch qui convient avec des graphismes 2D très colorés (comment ça la gay pride ?) et supportant leur âge. Les animations et mimiques des personnages sont très bien fichues (assommez un cochon vous comprendrez).
Les gros points forts du jeu ? outre son savant mélange de plates-formes et d'énigmes, on peut citer l'humour. Le jeu mise sur l'exagération et le délire avec son héros aux cheveux roses flashy qui mord ses ennemis et avale des poussins pour les transporter et les attitudes des ennemis (les discours des boss sont particulièrement croustillants). Si cela ne plaira pas à tout le monde, cela confère au jeu un caractère unique.

Son plus gros défaut ? Malheureusement ce jeu, si il parvient à varier les situations, n'est pas très long. La quête principale se boucle en une poignée d'heures et si les quêtes annexes confèrent un petit plus, on reste loin du challenge d'un Mario 64.
En conclusion, on a un jeu injustement méconnu empreint d'une patte inimitable et proposant un cocktail savant de plates-formes, d'énigmes et d'humour bien débile. A essayer si possible.


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Oui cette fleure émet du gaz, comment ça elle ressemble à un c... ?

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Dés le début du jeu ce héros se comporte comme un touriste, ben là ça s'arrange pas...


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Ce malheureux Phoenix aura du mal à décoller si vous ne lui filez pas un coup de main. Bête mistral !


9 commentaire(s)
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