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sizefac est un con...

... Et il le prouve !

Utilisation de la balise "quote"

Article posté le 30/03/12 à 16:19

La balise "quote" ("citer" en anglais) sert -justement- à citer quelqu'un. En général, on s'en sert sans réellement s'en rendre compte quand on clique sur l'icône suivante sur le forum :

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Dans le corps de texte, elle apparaît ainsi :

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Si vous utilisez la fonction "citer" du forum, la mise en page se fait automatiquement et vous n'avez plus qu'à taper en dehors de la balise votre texte en réponse au message.

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La mise en forme finale ressemblera alors à ceci :

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Maintenant, libre à vous de faire plusieurs citations dans vos messages en prenant soin de toujours fermer les balises :

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Le résultat :

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Vous pouvez bien évidemment insérer d'autres balises (gras, italique etc...) dans une balise "quote" pour mettre en évidence une partie du texte.

[EDIT de sf : Les traits rouges servent à séparer ce que vous devez voir dans votre corps de texte ou dans votre réponse et mon texte explicatif. Vous pouvez poster toute question complémentaire dans ce sujet.]



Message édité 1 fois. Dernière édition par size.fac le 30/03/12 à 16:30.


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Source Code

Article posté le 30/03/12 à 15:47

NOTE : Aucun spoiler, tout ce qui est indiqué concernant le scénario est révélé très vite dans le film.

Source Code, c'est un peu l'art de se faire péter à la gueule 20 fois la même bombe avant de comprendre comment faire pour y échapper.

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Imaginons que toute la multitude des univers parallèles soit à portée de main et voyons de quoi il s'agit : Un train blindé circule en plein jour. Rien d'anormal jusque là. Un gars prend soudainement conscience qu'il ne devrait pas être dans ce train et, pire, qu'il n'est pas « dans le bon gars ». Peu de temps après, boum, plus de train. Là, ça devient déjà moins normal. C'est quand il réalise qu'il est le cobaye d'un nouveau procédé antiterroriste que ça devient vraiment nawak. Le temps qu'il comprenne ce qui lui arrive, le train a le temps de péter deux fois. Mais vraiment deux fois !

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Colter Stevens serait un volontaire désigné d'office qu'on enverrait dans un univers parallèle pour comprendre ce qu'il s'est passé, qui est à l'origine du désastre et, accessoirement, comment faire pour que ça ne se reproduise pas. Partant sur le principe que l'on peut projeter un homme dans la conscience d'un autre 8 minutes avant qu'il crève, le Felix Leiter du reboot de James Bond cru Daniel Craig a mis au point un procédé qui permettrait donc de savoir mieux que Les Experts ce qu'il s'est passé et comment faire en sorte qu'on tienne en haleine le spectateur sur une durée plus longue que celle d'un épisode.

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Forcément, ce serait trop facile (et chiant) si le héros ne commençait pas avoir des états d'âme et contredire les ordres de ses supérieurs. Même si le film est cousu de fil blanc avec un twist à l'eau de rose (mais qui soulève tout de même le point de savoir ce qu'il advient de l'âme du gras à qui le héros vole l'enveloppe corporelle), le film se laisse suivre. Sans rentrer plus dans les détails du scénario (car ce serait dommage de flinguer toute sa ligne directrice en -justement- une seule ligne), on le regarde d'un œil distrait et on s'emmerde quand même un tout petit peu mais il n'y a rien de vilain ici et le charisme des acteurs (Jake Gyllenhaal en tête) est juste irréprochable.

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Le seul est unique gros problème de ce film qui s'oublie très bien une fois le générique fini, c'est qu'on se demande s'il n'aurait pas été plus judicieux de l'adapter sous forme d'une série télé plutôt que de le balancer sur un format long sachant, justement, qu'il n'a finalement pas grand chose à montrer. Le caméo vocal de Scott Bakula (en VO uniquement) (héros d'une série télé sur un concept similaire dans les années 90) est peut-être une façon de dire que oui mais que le réalisateur voulait quand même tenter le coup.


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Cowboys Et Envahisseurs

Article posté le 09/02/12 à 08:59

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En VO, "envahisseurs se dit "Alien". Ca fait tout de suite plus classe qu'un mot qui laisse un arrière-goût de vilain postulat extrémiste dans la bouche. L'un dans l'autre, balancer des cowboys et des extra-terrestres dans le film, c'était osé. Le réalisateur a été précipité au rang des bons dans le domaine de l'action après ses deux essais transformés, mais contestables, sur le sujet Iron Man. Il était forcément attendu au tournant car même si le point de départ semble alléchant au possible, s'il s'agissait de filmer pour montrer n'importe quoi, ça, tout le monde pouvait le faire. Donc oui, et toutes mes excuses pour le spoiler, il est bien question de vilaines bestioles qui viennent d'une autre planète et qui veulent péter la gueule au méchant local dont le fils est clairement un sale petit con. Même si on baigne très vite dans la science fiction avec la première scène qui est d'ailleurs montrée dans la bande annonce, on reste bel et bien dans le domaine du bon vieux western durant une période qui semble bien agréable.

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Il y a tout : Le saloon, les colts qui sifflent, les règlements de compte, le shérif dépassé par les évènements et le riche propriétaire qui a une tronche qui en dit long sur sa position du côté obscur de la force. Comme le film garde quelques surprises, le tout sera de ne pas les gâcher car même si le film s'enlise très vulgairement dans ce que le blockbuster Independence Day avait déjà fait (en mieux) 15 ans plus tôt, le tout sera de se focaliser sur la qualité évidente du film : Il s'agit là d'un vrai mauvais film de science fiction. Malgré quelques twists pas si évidents que ça à prévoir, tout est finalement cousu de film blanc et on a la vilaine impression, de ne rien avoir vu à la fin avec un final pas plus impressionnant que ça et même un peu mielleux au moment des retrouvailles. En revanche, il s'agit d'un faux bon film de cowboys et on en arrive à regretter que le réalisateur nous le rappelle si souvent. Concrètement, à chaque fois que tout repère fantastique est effacé de la pellicule, le film est juste délectable, notamment quand l'un des personnages retrouve sa bande de voyous ou quand les indiens entrent en jeu. Il y a même une scène très intéressante qui oppose les deux forces ennemis (les vraies) pour savoir comment s'y prendre pour botter le cul de l'envahisseur confirmant par la même occasion qu'il vaut mieux se battre contre quelqu'un que l'on connait que contre un parfait inconnu. Ses moments finalement trop rares méritent néanmoins le coup de s'y attarder.

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En dernier, on peut parler un instant des acteurs qui sont parfaitement dans le ton du film. Daniel Craig est tout à fait correct et il arrive sans problème à se glisser dans la peau du personnage silencieux sans que l'on pense forcément à son gros rôle attitré du moment mais tous les honneurs reviennent à Harrison Ford qui incarne pour la seconde fois un vil salopard (après Apparences, dans lequel il est également excellent) sans que cela ne sente le cabotinage avec une mention spéciale lors de la mort d'un personnage que l'on pensait secondaire qui mais qui sera à l'origine du seul moment poignant du film.

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Au final, le film est globalement une déception. On souhaitait voir un film de science-fiction pas nécessairement couillou mais au moins plus original que ce qui est présenté ici. On ne pourra pas s'empêcher de faire le rapprochement avec d'autres classiques (notamment La Guerre des Mondes pour le coup de l'enlèvement des humains) et ce ne sera jamais en faveur du film de Jon Favreau. Là où c'est vraiment les nerfs, c'est que la partie Farwest est très bien faite et que le film aurait presque gagné à se concentrer uniquement dessus. A voir ? certainement ! A acheter ? Sûrement pas !

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[EDIT de sf : Oui, moi je poste mes articles en oubliant d'y mettre des images. Pas top, ça !]

[Contre-EDIT de sf : Et ben punaise, c'était la galère pour poster cet article !]



Message édité 4 fois. Dernière édition par size.fac le 13/02/12 à 09:07.


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Résultats des votes 2011

Article posté le 07/02/12 à 18:29

Oyé, oyé !

Même si la participation n'a pas semblé exceptionnelle compte tenu du nombre d'inscriptions sur le forum ces derniers temps, il y a quand même eu un peu de bataille pour le podium et ça fait plaisir à voir. L'utilisation des bonus/malus s'est surtout faite sentir pour la troisième place et pour Transformers 3 : La Face Cachée de La Lune qui au lieu de se retrouver noyé dans la masse aurait pu sortir la tête de l'eau.

Troisième place :

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Il y a ex-aequo. Ca craint ! La planète Des Singes : Les Origines et la trilogie Le Seigneur Des Anneaux ont tous les deux cumulés 14 points. Compte tenu du fait que la trilogie se prend un malus dans les dents (pour toute réclamation, je vous invite à voir avec key no), on pourrait donc considérer qu'elle cède sa place à La planète Des Singes : Les Origines mais vu qu'il ne s'agit pas de la première place, on peut tout aussi bien laisser ça comme ça. ceci me fait penser que je n'ai défini de règle précise pour départager les égalités. Pas bien !

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Deuxième place :

Sin City a eu chaud aux fesses ! A un point près, il se retrouvait au même niveau que les troisièmes. Avec 4 votes en sa faveur, Sin City, même s'il commence un peu à dater, prouve qu'il en a encore dans les tripes. Si vous ne l'avez pas vu et que vous aimez les films noirs, vous pouvez foncer dessus. C'est une valeur sûre !

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Première place :

Victoire sans appel pour La Cité De La Peur. 5 votes -dont deux premières places- et un bonus ont eu raison de toute concurrence. 21 points, ça claque quand même ! Petit bijou de second degré et d'humour noir, La Cité De La Peur se paye en plus le luxe d'offrir au spectateur une brochette délectable d'acteurs tous plus fendards les uns que les autres. Des comédies pareilles, ça ne se voit pas tous les jours !

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Sinon, dans le reste du classement, on peut tout de même noter la jolie performance de Destination Finale 5 qui cumule deux premières places et celle toute aussi remarquable de la série Twilight qui aurait pu égaler le record de la plus mauvaise note avec Piranha 3D si un illuminé ne lui avait pas accordé sa 5ème place. Il s'en sort de peu mais il reste dans le négatif. Ca fait tout de même de lui un beau foirage. Certains films ont cumulés 3 votes mais ça n'aura pas été suffisant pour les hisser sur le podium. On accorde donc tout de même une place d'honneur pour les 2 produtions suivantes :
[PAC] The Fifth Leg Of The Ant (7 points)
Harry Potter Et Les Reliques De La Mort - Partie 2 (9 points dont 1 bonus)

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Merci à tous pour votre participation et à l'année prochaine !

(Notez que maintenant vous savez quoi faire pour qu'un de vos films soit nominé : Créez un sujet pour lui ! Merci de prendre gare aux doublons !)


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Destination Finale 5

Article posté le 23/09/11 à 15:41

Ca faisait longtemps que je n'avais pas autant pris mon pied durant un film ! Contrairement au pourtant très satisfaisant Transformers 3 : La Face Cachée de La Lune et dont je vous ai déjà parlé ici , quand je suis allé voir Destination Finale 5 je savais à peu près ce que j'allais voir. Et comme trop souvent, je ne savais pas trop si je devrais me forcer à la fin pour trouver le film bien sous peine de passer une fois de plus pour un vieux râleur. Parce que parfois, il faut le reconnaître, j'essaye de passer outre quelques défauts histoire de me dire que je n'ai pas perdu mon temps.

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Pas besoin de vous faire un dessin, celle-là, elle va faire mal ! Mais au moment où on s'y attendra le moins. Forcément ! Moralité : Coupez votre téléphone portable (conseil reconu d'utilité générale dans le 3 également) !

Amateur du travail de James Wong sur son début de carrière, j'avais suivi avec grand intérêt son projet de faire un long métrage sur le même concept que l'excellent épisode Chance que l'on avait pu subire à l'époque grâce à la série Aux Frontières Du Réel (plus connu sous le nom The X-Files). Il était alors question d'un bonhomme qui se sortait d'un tas de situations merdiques par la simple force du hasard et ce même hasard entraînait généralement ses poursuivants vers un destin plus que funèste.

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Même si tout le monde n'est pas de cet avis, je trouvais cet épisode plutôt intéressant. En plus, pour une fois que Mulder et Scully ne passait pas leur temps à courir derrière un extra-terrestre...

Transporté sur un long métrage, ça nous avait fait un joli petit film d'horreur à la tension palpable à chaque gros plan qui livrait une bande de jeunes face à la mort en tant qu'entité immatériel suite à une catastrophe de laquelle ils avaient échappé grâce à la prémonition de l'un des héros.

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Déjà à l'époque la série ne lésinait pas sur le sang rouge qui tâche.

Concrètement, alors que la mode à ce moment là était plus au tueur masqué, James Wong prit le parti de faire agir une force différente qui dirigerait les victimes soit vers des morts dégueulasses au possible soit vers un carnage rapide et brusque clairement destiné à faire sursauter le spectateur. Pari réussi qui donnera naissance au nombre de suites que l'on connaît maintenant. C'est les nerfs pour ceux qui n'aiment pas les films calibrés comme celui-ci mais on peut avoir autant de films que l'on souhaite sur le sujet tant que les scénaristes ont de l'inventitivté sur la façon dont vont se faire expédier les adolescents.

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Alors elle, elle n'a pas de bol car que ce soit dans la prémonition ou dans la "vraie vie", elle va s'en prendre plein la vue ! Mais vraiment...

Car oui, il s'agit d'adolescents ici. Même s'il y a eu des essais convaincants avec des victimes plus âgées, le fond de commerce reste le bon groupe d'ados bien cliché avec la blonde, la nana canon (il y a parfois une nuance entre les deux), l'arrogant péteux, le Noir, le gros lourdaud graveleux etc... Ici, ce choix peut énerver car autant quand on parle de cons de jeunes qui vont à la fac, ça reste crédible mais là, ce sont tous de jeunes employés qui vont à un séminaire de formation et qui vont se retrouver à bord d'un bus qui va se péter la gueule sur un pont instable. Ok pour le sujet de départ du drame mais pas ok pour le casting. Ca aurait remis en cause certaines morts mais ça aurait tout de même fait un poil plus sérieux avec des acteurs "âgés" comme dans un bon vieux Severance, par exemple.

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Le réalisateur n'est qu'un enfoiré de raciste : Sur trois personnages noirs, deux ne voient pas le générique de fin.

Mais à la rigueur, le pitch et le pourquoi du comment, à la limite, on s'en branle pas ! Ce qu'on veut c'est :
1) Un crash de départ qui scotche la gueule de tout le monde
2) Des situations qui foutent la pression comme rarement.

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Même si on n'atteint pas les sommets de trouille provoqués par la scène de la salle de bain du premier ou la cabine à UV du 3, on a tout de même quelques passages bien cradingues dans cet épisode. Sur un même pied d'égalité, on citera ce passage et l'accident de la salle de gym.

Oh miracle ! Les deux éléments sont présents. Le jeu de massacre commence très bien avec un accident réellement impressionnant. On avait déjà droit par deux reprises dans la série à des accidents de voiture (dont un mémorable brûlé vif dans le seconde volet) mais là on met la barre un peu plus haut car le spectacle est assuré à grand coups d'effets spécieux desquels il n'est pas toujours évident de faire la distinction entre ce qui est réel et ce qui est faux. Même une fois que le héros revient à lui après son rêve prémonitoire, le réalisateur en profite pour nous glisser de quoi nous régaler les yeux. J'en profite tout de suite pour prendre la défense de la 3D. Oui, j'ai vu le film en 3D ! Comme le 4 utilisait déjà ce procédé, ça m'a e plus permis de voir tous les progrès que l'on a pu faire en si peu de temps. Le générique en met plein la gueule, le gadget est utilisé comme un jouet et il n'a pas d'autre fin que de faire plaisir. Ainsi, la mise en scène gagne une nouvelle dimension en impliquant le spectateur un peu plus dans les situations dans lesquelles se foutent les personnages du film. Je me suis surpris à plusieurs moments à bouger le tête pour éviter un projectile qui fonçait à toute vitesse vers l'écran. Même si le degré de détail reste très correct, il y aussi le choix d'utiliser la 3D pour éclabousser l'écran de sang. ca semble tout bête dit comme ça mais je pense que si j'avais regardé le film en 2D, certaines scènes carrément prévisibles n'auraient pas eu le même effet. Pour moi, la 3D est totalement validée pour ce film car elle a été utilisée afin de servir le film pas uniquement pour augmenter la valeur ajoutée de façon maladroite.

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A gauche, il lui ressemble mais ce n'est pas Tom Cruise

Et voilà donc qu'un groupe de survivants se fait rattraper par une mort personnifiée par l'excellent Tony Todd, le mec qui te fait chier dans ton froc rien que quand il te sourit. Contrairement aux autres épisodes où les victimes subissaient sans trop réfléchir les évènements, les scénaristes ont pris la très bonne initiative de faire participer des éléments nouveaux comme la prise de conscience qu'un truc va de traviole ou l'enquête de police qui n'a absolument rien d'anecdotique. Première aussi pour la série, d'autres personnes alimenteront le compteur de morts puisqu'arrivés à un moment du film, les survivants commencent à comprendre que si quelqu'un d'autre meurt à leur place, ils sont potentiellement sauvés pendant quelques temps. Commence alors un nouveau jeu de massacre entre les évènements qui s'enchaînent à un rythme incroyable (vous n'êtes pas près de laisser tomber vos lunettes, croyez-moi) et celui qui pètera gentiment son câble au point de vouloir tuer un de ses proches.

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"Candyman, Candyman, CandymArgh... !"

Pour ce qui est du spectacle, le film assure carrément ! Entre les morts annoncées et celles qui sont un peu plus expéditives, le film ne laisse jamais retomber le soufflé. Je ne vais pas trop m'attarder sur ce point car c'est tout de même ce qui fait l'essence du film et gâcher la surprise pour les curieux serait vraiment condamnable. Il faut enfin savoir que d'une certaine façon le film est lié à un autre épisode de la série et qu'une petite série d'indices qu'on a laissés tout au long du film permettait de s'en douter (c'est le coup de la bouilloire le plus flagrant à mes yeux suivi de très près par le nom du restaurant). On finit donc le film sur un twist génial (je trouve) suivi d'un générique qui reprend toutes les morts marquantes des précédents volets en y ajoutant des éléments en 3D. Avec un montage dynamique, ça passe très bien et ça prouve que quand on s'en sert, la 3D, elle en met littéralement plein la vue. A noter enfin que le film se paye une option humour à travers certaines répliques qui font mouche et que c'est vraiment bienvenu après le déluge de vulgarité imposé par le numéro 4. Pour moi, le film méritait d'être vu et il ornera très certainement ma collection de films quand il sortira en Bluray.

[EDIT de sf : Correction des fautes]



Message édité 1 fois. Dernière édition par size.fac le 26/09/11 à 11:08.


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