Blork & size.fac > Les jeux vidéo > Boss dur ou pas dur ?

Message laissé le 28/04/14 à 20:18

Je viens de battre Alduin.

Je ne précise pas qui c'est, ceux qui jouent à une certaine saga sauront tout de suite de qui je parle.

Mais voilà, en le battant une réflexion dans mon esprit c'est fait :

Heu....Je viens de faire 80 h de jeu pour ça ???
Le boss n'a aucune difficulté. On est secondé par trois pnj.

Et là vient ma réflexion.

Pour vous, le boss de fin doit-il être une épreuve ? Genre vous en avez chié pendant toute l'aventure, attendez, il reste une ultime épreuve.

Ou alors vous voyez cela comme un cadeau : Vous en avez chié pendant tout le jeu, vous avez terrassé le boss de plus en plus dur, allez on vous fait une fleur, vous n'allez pas stressé à la fin.


Je me souviens parfaitement de deux jeux : Star Océan 2 : j'avais fait une manipulation scénaristique : J'attaquais le boss final directement niveau 255. Je n'ai jamais réussi à la battre...
Et Sephiroth dans Kingdom Heart 2 : J'ai jubilé et fait un nombre incalculable de doigt d'honneur à ma télé.

Ca c'était dans le cas 1.


Le cas 2 : Ben Skyrim, j'en ai chié, et plus je progressais, plus le jeu devenait facile et ce boss, m'a déçu.

Et Pandora Tower : Des boss plus corsés m'ont donné du fil à retordre et le boss de fin a été une promenade de santé.

Ca c'était le cas 2.

Vous l'aurez compris, je préfère le cas 1 : Je veux jubiler face à un boss final écrasant de puissance et je veux pas d'un cadeau, alduin, j'attendais à en chié, à recommencer plusieurs fois....pas à une ballade de santé.

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Le Club des Radins de Strasbourg

Message laissé le 28/04/14 à 20:31

Réponse courte: Oui.

Il n'y a rien de plus anti-climactic que de se faire un boss à deux balles à la fin d'un jeu.

Message édité 1 fois. Dernière édition par Quartrez le 28/04/14 à 20:32.



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Ma chaîne de musique

BL RK

Message laissé le 28/04/14 à 20:45

Déçu aussi par ce boss, qui au final n'est rien d'autre qu'un Mob un peu plus mignon que les autres, mais absolument pas plus puissant pour autant.

Je suis moi aussi dans le cas 1, finalement heureusement que Dragonborn et Dawnguard amortissent la chute, mais bon payer 5€ pour avoir un boss de fin potable... Si j'avais pas eu l'édition légendaire en promo, je crois que je les aurais même pas pris, surtout Hearthfire en fait, celui là il vaut carrément pas son prix, en plus il est complètement buggué.

Pour moi un boss de fin c'est l'accomplissement d'une quête et un peu le test final comme tu le dis si bien où tu met en pratique tous les trucs que tu as appris au cours du jeu. Pour citer un exemple au pif, celui de Minish Cap (est-ce que ça sert réellement à quelque chose que je passe son nom sous silence?) était largement mieux.


80h! T'as pas traîné!

Ironiquement, je trouve que le garde du pont un peu avant avant de battre Alduin était plus difficile, même s'il a suffit d'un couteau bien placé.

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Message laissé le 28/04/14 à 20:55

Et encore, je l'ai pas fini, maintenant que les dragons sont mes copains, faut encore régler le monde des hommes. Mais après avoir sauvé le monde, bouter les impériaux, finger in the nose

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Vive le C.R.S
Le Club des Radins de Strasbourg

Message laissé le 28/04/14 à 20:55

Je suis entièrement d'accord, un boss final doit être imposant, un exemple parfait est Malus, le tout dernier colosse de Shadow of the Collossus.

De toute façon, les TES ont une malédiction pour les boss finaux, notamment celui d'Oblivion, que on peut décrire comme Benny Hillesque.

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Message laissé le 28/04/14 à 21:03

Je pense pas qu'un boss doit jamais être vraiment horriblement difficile. Je pense qu'il faut un challenge juste, de manière à ce qu'on s'y amuse vraiment. Le boss de fin mérite plus, je pense, une super mise en scène, une musique vraiment charismatique et la sensation d'un combat des plus épiques. Si en plus, le combat est palpitant sans être horriblement dur, c'est ça qui me plaît. Après, je veux pas un boss super simple non plus hein. Un boss bien équilibré, pas une promenade de santé.

Message édité 1 fois. Dernière édition par Mr_Pity le 28/04/14 à 21:03.



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Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 28/04/14 à 21:54

Parfaitement d'accord avec Pity. Un boss final doit clairement être difficile, cela donne un sentiment de satisfaction voire de jouissance au joueur après être sorti d'un bon gros affrontement épique. Mais après il ne faut pas que ce soit insurmontable. C'est devenu une institution dans les j-rpg où on nous sert depuis des années un boss final de X XXX XXX points de vie avec 42 formes de 7 phases chacune. Faut pas déconner ! En plus ça prive une bonne partie des joueurs d'admirer la fin par eux mêmes, et c'est bien dommage. Si les développeurs veulent se lâcher, qu'ils le fassent sur les boss secrets/spéciaux/appelez ça comme vous voulez comme Sephiroth de Kingdom Hearts II.

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Les pâtes au pesto

Message laissé le 29/04/14 à 00:33

Personnellement je suis aussi pour le cas 1 (même s'il faut l'avouer ça soule de se faire maraver la tronche 345 fois). Ceux parmi cette situation qui m'ont le plus marqué sont :

le boss final de Beyond Good and Evil qui, à sa dernière phase, t'inverse les touches de déplacement et tu as moins d'une seconde pour taper ce qui apparait sur l'écran; mais une fois qu'on a chopé le rythme il devient plus simple (bref pas spécialement dur mais cette inversion est quand même bien chiante).

Jinpachi Mishima de Tekken 5 : celui là quand il allie le fait de t'empêcher de l'attaquer pendant une seconde puis te balance une boule de feu géante dans la tronche qui te crame la moitié de ta vie tu es content (et non ce n'est pas exceptionnel, l'ordi le fait tout le temps)


Je suis aussi d'accord quant au caractère épique de l'affrontement et pour ça j'ai juste à citer un exemple qui se plante magistralement : le boss final de God of War 2 et 3 : Zeus himself, comme le dit Sf on se bat tous le long contre des boss démesurément impressionnant et au final on se retrouve contre un pépé en slip comme dernier boss.

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Message laissé le 29/04/14 à 02:08

J'en connais un pas mal aussi:
Kintaro de Mortal Kombat 2. Le mec spamme son saut de sorte que tu dois donner des coups de pieds sauté au bon moment pour le toucher.

Caution, launching in 3,2,1...

Sans déconner, dés qu'on entends "fight", l'instant d'après il est dans les airs.

De sorte que j'ai jamais battu sans cheat, de sorte que Shao Kahn, bah comme j'avais cheat, il est passé au rouleau compresseur.


Il a pris sa revanche avec Mortal Kombat 3, on a battu une seule fois Motaro et en cheatant (spam de boule de glaces)

Et puis on est tombé sur shao Kahn et je crois que j'ai tout juste évité la double flawless

Et j'ai reassayé par la suite avec Cyrax et son spam de choppes, mais a pas marché non plus.

Et à l'opposé de ces trois là, vous avez blaze.

Même gabari qu'Onaga et quasiment les mêmes frappes, il est passé à la moulinette (avec Onaga justement).

Message édité 2 fois. Dernière édition par Dra K le 29/04/14 à 02:15.



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Message laissé le 29/04/14 à 10:00

D'accord avec Pity, mais je trouve que les rpg sont à classer un peu à part, parce que justement, quand tu retournes les quêtes annexes au faire et à mesure, le boss final c'est du flan à la vanille (pour ff12 qui est le cas le plus criant, il fallait le niveau 40 pour le boss de fin et le niveau 80 pour le dernier boss optionnel). Skyrim, si tu traînes un peu sur le côté et que tu maraves des dragons tu deviens une machine de guerre de derrière les fagots.

En fait la bonne question dans les rpgs, c'est: faut-il concevoir le boss final pou quelqu'un qui a rushé le jeu ou pour quelqu'un qui a pris son temps sur les quêtes annexes (c'est déjà un peu le cas dans Xenoblade, un peu).

Sinon j'ai été agréablement surprise par le boss final de Zelda ss. Bien mis en scène et pas évident à gérer (de manière générale les boss sont plus tendus dans celui-là).

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Message laissé le 29/04/14 à 11:02

ça ce vois que certains ont pas jouer avec combat realism et dragon combat overhaul + world eater pour alduin dans skyirm... clairement pas.

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Message laissé le 29/04/14 à 11:51

D'accord avec toi, mais oublie pas que c'est grâce aux mods, c'est donc une manière artificielle de le rendre plus difficile, reconnais quand même que pour la version originale, Alduin est une daube qui ne mérite pas son titre.
Ce qui fait de lui un des boss finaux les plus décevant de toute l'histoire, dommage, on a la mise en scène et tout mais il n'a pas son propre thème ni même ses propres attaques et ça fait un peu désordre quoi qu'on puisse en dire, au final j'ai eu l'impression de combattre un mob de plus.

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Message laissé le 29/04/14 à 11:52

Malheureusement (ou pas), c'est souvent le cas dans les RPG "occidentaux", de devenir trop grosbill vers la fin.

Dans la plupart des JRPG, la progression en force se fait principalement par les caractéristiques et l'équipement. L'évolution des pouvoirs/compétences est plutôt mineure. C'est pour ça que souvent, il suffit de farmer des levels et des sous pour acheter de l'équipement pour se tirer de toutes les situations difficiles .

Dans les RPG dits occidentaux, souvent la progression en force se fait peu sur les caractéristiques, et plus sur les pouvoirs/compétences et l'équipement. Souvent inspirés de RPG papiers, les améliorations des pouvoirs/compétences augmentent beaucoup la puissance, qui, ajoutées a une liberté de choix, permettent d'avoir des combinaisons vraiment grosbill. L'inverse est aussi vrai, si tu fais des choix de quiche, tu vas ramer dur .

L'intérêt d'une évolution par les caractéristiques, c'est qu'elle est plus contrôlable et plus facile à équilibrer.
L'évolution par les pouvoirs donne plus de liberté au joueur, mais l'équilibre du jeu est du coup plus difficile à obtenir.

Perso j'aime bien les deux .

Edit: abus des guillemets, c'est un scandale !

Message édité 2 fois. Dernière édition par Jonath lé là le 29/04/14 à 11:54.



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"With kindness comes naïveté. Courage becomes foolhardiness. And dedication has no reward. If you can't accept any of that, you are not fit to be a Magical Girl."
でも!でも!かわいいからOK!

Message laissé le 29/04/14 à 14:21

Oh ! Même si j'aime bien avoir un peu de résistance face à un boss, tout est une histoire de contexte. Dans certains cas, un boss qu'on humilie, c'est le meilleur moyen d'extérioriser toute sa rage...



Pour ceux qui n'ont pas connu, dans Earthworm Jim, jeu vidéo que je ne peux que recommander, j'ai du me farcir l'un des niveaux aquatiques les plus stressants de ma vie de joueur. Le héros est enfermé dans un petit sous-marin très fragile avec de l'oxygène en quantité limité (temps limité, donc) et il doit se frayer un chemin dans un passage vraiment étroit. A la fin du niveau (pour peu qu'on y arrive), c'est ce boss qui nous attend. Il suffit de renverser le bocal pour le battre. On ne peut pas perdre. Dans cette situation, ouais, un boss facile, ça me va. C'est bon pour mes nerfs.

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Message laissé le 29/04/14 à 15:34

Excellent exemple SF !
Ce niveau était d'une torture absolue !!!

Message édité 1 fois. Dernière édition par Freytaw le 29/04/14 à 15:35.



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Club des Papas !

Message laissé le 29/04/14 à 16:05

Pour les RPG au final, le débat est assez truqué, puisque ça dépend de la façon dont tu joues...

Prenons Baldur's gate par exemple: si vous rushez la quête principale, vous allez franchement en chier pour le boss final. A vrai dire, je doute même que vous n'y arriviez.

Par contre, une fois que vous avez compris la logique des quêtes secondaires, si vous les cherchez dans tous les coins, si vous les faites toutes consciencieusement, là... le boss final est un jeu d'enfant.

Au final, pour avoir un boss qui ait le niveau qui vous plaise, il faut adapter votre style de jeu durant tout le reste de la partie.

Ou sinon, vous laissez ça "au hasard", vous la jouez en mode 100% RP sans chercher à profiter des mécaniques du jeu. Mais là chacun aura une expérience différente face au boss, et vous qui avez joué le rôle d'un vaillant paladin durant vos longues heures de jeu, et donc accumulé plus d'XP qu'il n'en faut à force de sauver les femmes, le enfants et les chats perchés dans les arbres, rien ne dit que vous aurez le même vécu face au boss qu'un autre joueur, qui l'a joué nain connard je m'en foutiste et est arrivé les mains dans les poches devant le même boss final.

Bon après, il y a la solution oblivion: on adapte les ennemis à votre niveau. Mais d'une, faut que ça soit bien dosé et de deux, niveau crédibilité, c'est pas top: des voleurs qui en début de partie se baladent en slip de fourrure et à la fin, ont tous des armures daedriques, c'est pas le must pour l'immersion.

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Message laissé le 29/04/14 à 16:27

Un bon exemple de bon boss, c'est la mission finale de Earth Defense Force 2025. Il y a beaucoup de phases, c'est gros, c'est intense, on sent que c'est là. Non seulement ça, mais c'est un enemi qui, à ce stade, nous a déjà emmerdé royalement pendant environ une vingtaine ou une trentaine de missions.

Un bon exemple de MAUVAIS boss, c'est la mission finale de Earth Defense Force: Insect Armaggeddon. C'est la même chose que depuis le tout début du jeu, c'est répétitif, c'est emmerdant et ça finit abruptement sans qu'on détruise le mothership.

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BL RK

Message laissé le 29/04/14 à 17:28

Pourrais citer le cas des deux premiers Diablo
Pour diablo 1, en gros vous avez une courbe de difficulté symétrique entre le guerrier et le sorcier: le sorcier c'est hardcore au début et simple comme bonjour à la fin, contrairement au guerrier, le problème est que dans ce jeu, l'équipement n'est presque qu'accessoire et ce sont les sorts qui permettent de faire la majorité des dégâts.
Sans compter qu'en plus, l'Xp donné par les mob varie selon le niveau du perso, au final on atteint une sorte de palier qu'on ne peut pas dépasser ou difficilement et qui empêche de farmer équipement et expérience (vu que le loot est nivelé selon les mobs et environnements).

Du coup avec le mago, tu galère comme un forcené, tu recommence plusieurs fois la cathédrale voire les catacombes histoire de farmer sorts et xp, puis tu refais tout jusqu'au deux premiers étages de l'enfer l'écran éteint. Mais quand t'arrive à combattre un mob dont j'ai oublié le nom, une des variété des chevaliers qui tank comme 50, que tu galère à en tuer une 50aine en t'en prenant à des groupes de maximum 3 et que tu tombe après sur diablo après avoir galéré à activer tous les leviers et que tu le massacre avec seulement 3 potions de mana, un mana shield et des fire ball sans même bouger, perso ça m'avait foutu les boules quand j'ai vu la faiblesse du truc.


Pour sa défense, aussi j'avais déjà combattu diablo de Diablo 2 et là rien que l'ambiance avec les 5 sceaux à activer, le pentagramme géant, le tremblement de terre et le rugissement, ça collait déjà les miquettes et quand tu le voyais courir sur toi et te déchirer, quand même c'est pas la même chose, surtout qu'il faisait vraiment mal. mais pour une fois, les classes étaient équilibrées et à part avec l'amazone (et encore, fallait courir vite), j'ai jamais réussi à le battre sans mourir ni retourner à la forteresse du Pandémonium.
Mais quand tu le tue, impossible d'y être indifférent.

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Message laissé le 29/04/14 à 17:29

Moi, des boss qui m'ont bien déçus, c'est ceux de Arkham Asylum en grande majorité.

Déjà d'une, trop peu nombreux. Quatre boss. Mince, je pense qu'avec l'univers de Batman, il y avait de quoi faire mieux.

Mais un plus, il y en a un(Bane) qui est en fait un copié/collé de mid/boss qu'on va ensuite affronter régulièrement, un qui est une version SIMPLIFIÉE de ces mid boss et qui en plus est le boss final (le Joker merde, ils avaient pas le droit de le rater: il y avait pas mieux à faire que de le transformer en gros troll et de devoir le battre grâce à des quasi-QTE?)un autre que vous n'affrontez pas à proprement parler, vous contentant de l'esquiver (Killer Croc) et un seul qui dépote vraiment et qui est plus dur que le boss de fin (Poison Ivy).

A côté de ça, vous croisez Clayface enfermé dans une cellule et vous ne l'affrontez pas.

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Message laissé le 30/04/14 à 18:09

Histoire de donner un avis un peu plus mitigé, je dirais qu'un boss peut être très bien sans avoir besoin d'être très dur. Si le jeu est bien construit il peut donner une sensation de difficulté due à un élément qu'on aurait pas appréhendé auparavant ou à des statistiques surélevées qui sont compensées par le fait que le personnage qu'on joue est à peu près d'un niveau équivalent. Mais n'ayant pas rencontré de vrai résistance (qui peuvent être compensés par l'esprit découverte/whahc'estbeau/Purémaisquelleestlalogiquedecetruc?/Inséreziciunautreélément, on trouve au final ça difficile. Et la en tête j'avais surtout Mario paper et la porte millénaire et Rayman Origins. Alerte gros mot En mettant de côté ces putains de niveau bonus à s'arracher les cheveux, dans un jeu comme dans l'autre. SI C'EST UN SPOIL!.

Un boss ça peut être aussi une ambiance qui va donner une contenance au background du jeu. Démonter le seigneur du temps du chaos de la mort qui tue qui fait de la fumée violette dans une crypte un soir de pleine lune avec un cd de Mireille Matthieu, ça fout vraiment les boules! Si le jeu est scénarisé, ne pas devoir recommencer 3 fois tellement c'est dur peut devenir intéressant.

Donc (pour moi), je suis sur qu'il y a des boss qui sont faciles mais qui n'en ont pas l'air due à des événements extérieurs qui le font oublier.

Après dans les RPG j'ai pour principe absolue de ne jamais farmer une zone, voir à rush le jeu juste pour pouvoir crever 15 fois face à un boss et avoir une satisfaction absolue en le tuant. Mais c'est peut être un poil artificiel^^

Message édité 1 fois. Dernière édition par Kaeso le 30/04/14 à 18:10.



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