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Blork & size.fac > Articles de Innato
Fondu de xylophone
Des trucs, parfois, rarement, quasi-jamais en fait.
Quand j'aime quelque chose, j'en parle. Et quand j'aime pas quelque chose... j'en parle aussi....
Voilà voilà.
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[Test] Bravely Default
Article posté
le 21/06/14 à 15:40
Précisions :
Avant de commencer, je tiens à préciser que c'est mon premier test donc corrigez mes erreurs s'il vous plait. De plus, je suis un gros fan de Bravely Default néanmoins, j'essaierai d'être le plus modéré possible car le jeu n'est pas exempt de défauts. Autre précision, je parle ici de la version européenne intitulée For The Sequel au Japon. Ceci dit, on peut commencer.
Introduction :
Octobre 2011, le Japon découvre le nouveau rpg de Square Enix, je veux bien entendu parler de Bravely Default (lisez le titre 
), Bravely Default : Flying Fairy pour son nom complet. Le jeu fait de bons scores s'écoulant à près de 140 000 exemplaires la première semaine et une exportation en Europe et aux Etats-Unis est envisagée. Finalement, après une longue période de silence, l'Europe peut enfin se procurer le jeu en décembre 2013, soit plus d'un an après le Japon, sous une version plus complète, Bravely Default : For The Sequel ajoutant, entre autres, un rééquilibrage de la difficulté (que l'on peut changer à tous moments) et des classes, la possibilité de changer le taux d'apparition des monstres, l'apparition de colosses dans le village de Norende ou encore l'apparition du mode Bravely Second (nous parlerons de ces deux points plus tard). Bons scores en France également, c'est un succès commercial. Le jeu sort aux USA en février 2014 seulement. On peut maintenant parler du jeu en lui même.
Graphismes :
Bon, il faut le reconnaître, c'est beau. Le jeu nous en met plein la face avec une intro en réalité augmenté bien foutue et une cinématique de présentation de personnages magnifique (profitez en, ce seront les seules cinématiques du jeu, nan nan, il n'y en aura même pas d'autres à la fin...). Chose surprenante, les décors sont faits à la main et ça rend très bien. Mais malgré ces dessins sublimes, on pourra regretter la modélisation des personnages, leur donnant un aspect enfantin qui ne plaira peut être pas à tout le monde et la construction moins soignée des donjons (mais bon, là je suis tatillon). Pour ce qui est de la 3D elle rend bien… sans plus.
Ah oui quand même…
Bande son :
Pas grand chose à dire de ce côté là. Les musiques sont bonnes et efficaces. Mais malgré, les excellents thèmes , ne vous attendez pas à ce que les musiques restent dans votre tête. Autre chose notable, le retour d'une vraie fanfare (ouais j'aime bien les fanfares). En ce qui concerne les doublages, on préférera la version japonaise à la version anglaise (même si elle aussi est bonne) dans laquelle on pourra notamment reconnaître la voix de Mai Aizawa connue pour les rôles de Mio de Nichijou ou encore Minene de Mirai Nikki.
Gameplay :
Ben… C'est un rpg… Donc ça donne un truc du genre : « Va là faire ça et sauve le monde ! Si tu veux t'as une quête annexe là-bas mais grouille toi ! ». Classique, on avance dans l'histoire, monte de niveaux, tue des ennemis aléatoires, affronte des boss et achète de l'équipement, des objets et des sorts de plus en plus puissants. On a bien sur le droit à plusieurs classes, ayant chacune droit à leurs propres coups, dont certaines sont assez originales (pirate, illusionniste…). Vous aurez aussi droit à des petits dialogues entre les personnages à la Tales Of (inutile mais rigolo). La seule chose qui diffère vraiment des autres rpg est le système de combat que je vais tenter de vous expliquer (je sens une long moment de pur bonheur arriver…).
On combat au tour par tour et on peut s'apercevoir que chaque combattant à un compteur qui est par défaut à zéro (parfois ça change avec l'initiative des alliés ou ennemis ou des équipements spéciaux). On gagne un point à chaque début de tour. Pour une attaque lancée, notre compteur descend d'un point. On peut aussi choisir de faire une garde (appelée default) pour ne pas attaquer et donc avoir le droit à un point de plus le tour suivant (vu qu'on gagne un point en début de tour). On peut alors activer le système brave qui nous permet d'attaquer jusqu'à quatre fois de suite tout en sachant que l'on ne peut attaquer qu'avec un compteur à zéro ou plus. On peut donc choisir de sacrifier tous ses points directement pour tuer rapidement l'ennemi (pratique pour pexer si vous êtes sur de tuer vos ennemis, sinon attendez vous à trois tours sans pouvoir rien faire) ou d'utiliser ses points avec parcimonie (fortement conseillé contre les boss). Autre chose à savoir, le compteur ne peut descendre qu'à -4 et monter à 4 (5 pour la classe de templier).
Le fameux compteur.
Voilà c'était le gros du système de combat mais vous pouvez aussi invoquer vos « amis » (trouvés grâce à spotpass ou streetpass) qui attaqueront une fois à votre place ou activer le système Bravely Second qui agi comme un joker : en appuyant sur select, un de vos personnage gagne un second tour. Vous avez aussi le droit à de supers coups en fonction de l'arme du personnage qui peuvent être activées en remplissant un certain prérequis (utiliser des objets 10 fois par exemple). Après utilisation du super coup, vous devrez bien sûr valider le prérequis une nouvelle fois (je précise on sait jamais).
Scénario:
Passons aux choses sérieuses ! Alors qu'il s'occupait paisiblement de ses moutons-chèvres-vaches-insérez n'importe quel race animale agricole ici, le jeune Tiz devient un véritable héros tragique. En effet, Norende, son petit village paisible est mystérieusement anéanti. Il ne reste aucun survivant.
Fin.
…
Bon Ok, Tiz est le seul survivant de cette catastrophe durant laquelle il a vu son propre frère périr sous ses yeux. On le retrouve endormi dans l'auberge de Caldisla, la ville voisine. L'aubergiste le réveille et l'informe qu'il dormait depuis pas mal de temps déjà et de son statut d'ultime survivant. Il explique aussi que le monde (nommé Luxendarc au passage) est sans dessus dessous : le vent ne souffle plus, l'eau innavigable etc. Tiz décide, fraichement réveillé, de constater lui même de l'ampleur des dégâts causés à Norende. Là bas, il constate en effet de l'ampleur des dégats… 
C'est un gros trou que voilà…
Devant l'immense gouffre remplaçant désormais le village, il aperçoit une jeune fille, Agnès. Elle dit être la vestale du vent et veut réveiller les cristaux du vent, de l'eau, du feu et de la terre (Earth Wind and Fire… Non je n'ai pas honte pourquoi ?) à l'aide de la Cristalline (ça coule de source) Airy (une fée en fait) pour restaurer le monde tel qu'il était avant (et donc boucher le gros trou). Bien que réticente au début, elle accepte que Tiz l'accompagne (il a plus que ça à foutre t'façon) et lui explique qu'elle fuit les anti-cristallistes (les méchants pas beaux qui sont contre le culte et le réveil des cristaux) et tout particulièrement le duché d'Eternia. Les compères se mettent alors en route et rencontreront dans leur périple Ringabel (You can ring my beeeeeel~), un coureur de jupons amnésique et Edea, une Eternienne rebelle (fille du grand maréchal d'Eternia par la même occasion) qui se joindront rapidement au groupe. En dehors du réveil des cristaux, vous aurez aussi droit à des quêtes annexes (je conseille fortement de les faire) vous permettant, après un combat de boss (qui sera en fait à chaque fois un membre du duché d'Eternia) de débloquer une astérisque donnant accès à une nouvelle classe.
Nos quatre compères selon les artworks.
Nos quatre compères in game...
Bon, jusque là c'est classique (même si diablement efficace), mais je vais maintenant aborder le twist du scénar qui est aussi le gros point noir du jeu donc spoilers. (ouais ça va être moche mais je n'ai pas le choix...)
Après avoir réveillé tous les cristaux, les problèmes majeurs sont réparés. Il n'en reste plus qu'un, le gouffre de Norende. Airy entame donc un rituel censé reboucher le fameux trou. Malheureusement, le rituel échoue et les quatre compères se réveillent tous à l'auberge de Caldisla (Tiz le dernier bien sûr). Mais que se passe t'il ? Mais que se passe t'il ? Mais qu'est-ce qui se passe ? On remarque aussi que tous les problèmes que l'on avait réglés sont de retour (plus de vent, eau innavigable etc.). C'est comme ci on avait remonté le temps. Que faire alors ? Je vous le donne dans le mille, réveiller encore une fois les cristaux ! Et commence alors un enfer digne du Endless Eight (référence t'as vu). On recommencera au final ce réveil QUATRE FOIS ! Bon Ok en accéléré mais rien ne change (à part la puissance des ennemis et nos doute sur la véracité des propos d'Airy). En plus de ça, on nous propose de « nouvelles » quêtes annexes qui consistent en fait à combattre de nouveau les porteurs d'astérisques cette fois ci plus puissants ou alors dans de nouvelles formations (du genre le voleur avec le chronomage et l'artiste). Ca permet des dialogues rigolos et quelques explications sur le pourquoi ils sont méchants pas beaux mais c'est tout.
Après ces cycles qu'on pensait sans fin, la vérité est révélée. Airy nous avait menti dès le début (twist qui aurait pu être surprenant si l'évidence n'aurait pas transparue dès le deuxième cycle de réveil…). Et là, je ne sais absolument pas d'où les développeurs ont sortis la suite. Attention vous êtes prêts ? Vous êtes sûrs ? Vraiment ? D'accord… (*Hum hum…*) Airy est la servante d'Ouroboros, dieu de la destruction. Le réveil des cristaux a permis le retour du dieu qui est méchant pas beau oulala attention il veut tout détruire parce qu'il est méchant pas beau of the dead ! (Hum ? J'avais dit modéré ? Y'a des limites quand même !) Suite à ce nouveau formidable twist on affronte Airy sous sa vraie forme (dégueulasse au passage: avant /après ) puis sous une autre forme. Vaincue, elle s'enfuie préparer le rituel de réveil de son Ouroboros adoré… dans le gouffre de Norende ! On cherche de l'aide blablabla et on s'introduit dans le donjon. On s'enfonce de plus en plus loin blablabla et on arrive devant l'autel près duquel on retrouve la charmante (enfin plus si charmante) Airy. On la combat, elle se régénère. On la recombat, elle se rerégénère. On le rerecombat elle se rereré… ah non ! Elle meurt enfin. Mais il est trop tard ! Ouroboros réussi finalement à revenir sur Terre (enfin Luxendarc) pour semer la destruction (parce qu'il est pas beau et tout…). Il nous apprend qu'à chaque cycle de réveil des cristaux, notre petit groupe était en fait transporté dans un monde parallèle (ouais je déconne pas…) et qu'il veut détruire tous ces mondes ! Du coup on le combat mais il a une autre forme. Donc on le recombat mais il a encore une autre forme. Logiquement on le rerecombat et… J'imagine que vous voyez ou je veux en venir… Après cinq combats (difficiles voire trop difficiles et puis cinq formes quoi…), Ouroboros est enfin vaincu et le monde et sauvé, les oiseaux chantent et les enfants gambadent dans les prés blablabla… Sérieux… C'est ridicule…
Franchement qu'un jeu qui allait si bien jusque là se plante tellement dans la deuxième partie et surtout la fin ça me rend malade. Finalement les seuls petits bons points de cette deuxième partie sont les combats contre les porteurs d'astérisques… et c'est pas un compliment…
En conclusion pour ce passage, je conseille à ceux qui ne sont, dès le départ, pas très motivés de jouer à Bravely Default de ne faire que la première partie du jeu (chapitre un à quatre plus l'introduction). Vous ne connaitrez pas la fin mais vous ne serez pas déçus.
Durée de vie:
C'est loooooooonnnnnnnng ! Comptez bien une centaine d'heures (voire plus). De plus, le jeu offre diverses activités rallongeant sa durée de vie.
Tout d'abord, la reconstruction du village de Norende. Vous devez répartir vos villageois dans différents lieux ou boutiques à restaurer, plus il y aura de villageois, moins il faudra de temps pour le restaurer. On obtient les villageois via spotpass ou streetpass en actualisant les données du jeu. La reconstruction du village permet ensuite de débloquer des objets, armes, armures et surtout améliorations des coups spéciaux de plus en plus puissantes en fonction de l'avancement de la restauration des boutiques concernées que l'on pourra acheter auprès de l'aventurier (le système de sauvegarde du jeu que l'on trouve un peu partout). A vous de voir si ça peut vous être utile … Mais ce qui est intéressant dans ce village, ce sont les colosses. En effet, après avoir actualisé vos données, des colosses peuvent apparaître dans le village. Ce sont des boss optionnels assez puissants qui constituent un bon défi.
Le menu du village. Ca à l'air tout de suite plus clair hein ? Non?
Autre chose, peu avant la fin, on débloque un donjon optionnel permettant d'obtenir les armes les plus puissantes du jeu. Le donjon n'est pas des plus faciles (surtout le boss…) et peut être intéressant à explorer.
Sinon vous pouvez monter tous les jobs au level max (mais bon faut vraiment n'avoir que ça à foutre…).
Enfin, le jeu propose des contenus intéressants à lire. Le bestiaire (si vous voulez…) mais plus important le journal de Ringabel qui compte les souvenirs de… ben Ringabel. Bon par contre si vous le lisez avant le chapitre 5, il se peut que vous vous spoiliez vous même (comme moi…).
Conclusion :
Comme il y avait beaucoup à dire sur le jeu, je vais compiler un peu tout ça :
Points forts :
-les graphismes
-le système de combat simple et efficace (ouais en l'expliquant ça paraît compliqué mais je vous promets qu'il est simple)
-la bande son qui fait plaisir aux oreilles
-la durée de vie
-le contenu additionnel (journal de Ringabel, village de Norende tout ça tout ça)
-la première partie du jeu (chapitre 1 à 4 plus l'introduction)
-les dialogues entre les personnages à la Tales of
Points faibles :
-la seconde partie du jeu (chapitre 5 à 8 plus la fin)
-trop classique ?
-pas assez de cinématiques
-le combat final trop difficile (ou alors je suis nul ce qui ne m'étonnerai pas)
Et donc… c'est con. Le jeu est vraiment bon à presque tous points de vue mais on a cette foutue seconde partie tellement répétitive et cette fin sortie de nulle part… Dommage. Néanmoins, il serait fâcheux de passer à côté de Bravely Default qui, même si très classique, saura vous apporter une excellente expérience de jeu et peut être de l'espoir pour de prochaines productions. Maintenant, il n'y a plus qu'à attendre la suite, Bravely Second qui me fait déjà saliver…
Merci d'avoir lu ! :-3
P.S : Je n'ai pas parlé du prix mais vous pouvez trouver le jeu à 37€ sur amazon ou pour une trentaine d'euros en occasion.
7 commentaire(s)
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[Imitation de Third et consorts] Les jeux auxquels j'ai joué en 2013.
Article posté
le 30/12/13 à 16:30
Parce que je suis un gros suiveur, je vais moi aussi faire ma liste de jeux auxquels j'ai joué en 2013. 
(comme le titre l'indique quoi...) Bon j'ai écarté deux ou trois jeux vu que je n'y avais pas encore assez joué pour en parler.
Persona 4: arena (PS3)
Une bonne surprise. Comme on pouvait s'y attendre, Arc System Works a fait du bon boulot. Le jeu est très fidèle à l'univers de Persona 4 et offre une suite à l'histoire pas si mal que ça pour un jeu de baston (on est très loin de l'histoire originale hein faut pas déconner). Le jeu offre peu de personnages comparé à un Marvel vs Capcom mais ils ont tous un style de combat différent et original (altérations de statut pour Elizabeth, combat aérien pour Yosuke...). Le système de combat est bien pensé: deux boutons pour les coups du personnages et deux boutons pour les coups de la Persona, quarts de cercle et autres défonces doigts pour les coups spéciaux, combos assez techniques (que l'on peut apprendre grâce au mode challenge). La bande son est excellente et on peut retrouver des anciens titres du jeu original. Du tout bon. 
Final Fantasy XIII-2
RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!!!!!!! 
Je hais ce jeu! Personnages creux comme crâne de mormon, histoire à la con, incohérences, système de combat brouillon (parfois on martèle X et... Oh! 5 étoiles! Mais à quoi correspondent ces fu***** étoiles?! Comment vous calculez ça?!). N'essayez même pas. Je vous aurai prévenu... Fuyez le comme la peste... ou le cancer, au choix.
Tales of Xillia (PS3)
J'en suis encore qu'au début mais pour l'instant c'est bon. Très classique certes mais bon. Difficile quand il faut, des personnages attachants, une bonne bande son. Le scénar en revanche est du plus classique comme souvent dans les Tales of mais c'est contre balancé pour le fan service. Non pas le fan service culotte mais les dialogues des personnages qui apparaissent dans l'aventure. C'est drôle.
Naruto: Ultimate ninja storm 3 (PS3)
Franchement... bof quoi... L'histoire est un bon gros point fort enrichissant mais faut être fan. Ce qu'on regarde de prime abord dans un jeu de baston c'est le système de combat et là c'est réduit au strict minimum. C'est franchement simpliste: on martèle un bouton pour frapper, un autre pour lancer les shurikens, on peut utiliser quelques objets et on appuie sur un autre bouton pour esquiver et ça pour TOUS les personnages. Oui oui TOUS les personnages... sur 70... Voilà, voilà, voilà...
Touhou 14 (PC)
Rien à dire. C'est toujours aussi bon partout que ce soit dans les nouveaux personnages, la difficulté, la bande-son, partout... Et en plus on peut jouer Sakuya! Pour mieux connaitre la série Touhou, je vous invite à aller voir de ce côté , Kaeso en avait parlé.
Katawa Shoujo (PC)
Mon premier visual novel. J'en suis qu'au début mais qu'est ce que ça fait pleurer et rire en même temps cette chose. 
On connait les préjugés liés aux galgee: fan-service à mort, histoire prétexte pour faire la bête à deux dos, dialogues creux, personnages sans intérets... Mais pas tous. Oh non y'a des perles et Katawa Shoujo en fait parti. On incarne Hisao, un jeune lycéen atteint d'une maladie cardiaque qui doit aller dans un lycée spécialisé. Là il rencontre plusieurs personnes toutes plus hautes en couleur que les autres et surtout 5 filles (ou 6 si on compte Misha mais elle n'est pas une héroïne). Lilly, aveugle, Hanako qui a été brûlée sur toute une partie de son corps et complexée à ce propos, Emi qui a perdu ces jambes (et qui fait ironiquement partie du club d'athlétisme), Rin, qui a perdu ses bras et Shizune, sourde-muette, toujours accompagnée de sa traductrice, Misha. Selon les choix pris dans le premier acte, Hisao se rapproche d'UNE fille (pas de libertinage possible nah! 
) et là commence l'histoire d'un couple. Mais aussi une histoire humaine, on en apprend plus sur les personnages et leurs sentiments. Néanmoins, c'est l'histoire d'un couple et faut bien passer par le sexe. Je vous rassure toutes les images sont soft et la description n'utilise aucun terme... hum voilà... Sauf pour une scène avec Emi un peu limite. Mais ça reste bien amené et avant tout une histoire de sentiments humains...
osu! (PC)
D'autres en on déjà parlé , j'ai rien a rajouté. C'est simplement un jeu de rythme ultra-addictif, pire que les mmo et à la durée de vie infinie vu que les maps sont créées par la communauté. Franchement tester le. En plus c'est gratuit.
Pokémon X (3DS)
Bah c'est un Pokémon quoi... Le jeu est passé en 3D et c'est bien foutu. Mais le jeu est plus facile qu'avant. Par exemple le multi exp désormais actif sur toute l'équipe, le poison inactif en dehors du combat, la paralysie plus permissive, les Pokémons qui arrivent bien au dessus du niveau requis rapidement... Mais sinon ça reste très bon.
Bravely Default (3DS)
Excellent. Tout bonnement excellent. Des environnements magnifiques, une grosse variété de classes du classique chevalier à l'original marchant, une bande son magique, des personnages attachants (Ringabel 
), une histoire classique mais un retournement de situation intéressant à la fin... apparemment. On retrouve aussi les dialogues entre les personnages à la Tales of. Je ne peux qu'en dire que du bien. Même si j'en suis qu'au début je sens déjà le chef d'oeuvre.
Voilà,voilà merci d'avoir lu. 
EDIT: J'ai pas parlé de Luigi's Mansion 2 et de The Binding of Isaac parce que j'avais rien à dire mais ils sont bons tous les deux.
Message édité 2 fois. Dernière édition par Innato le 30/12/13 à 23:16.
12 commentaire(s)
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