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Mon petit grain de sel

Parce que l'esprit de contradiction est une vertu !

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[Anime] BTOOOM!

Article posté le 26/07/13 à 15:46

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On ne le dira jamais assez, mais trop jouer aux jeux vidéo n'est pas conseillé ! Eh bien dans ce seinen, le héro n'a pas dû être assez prévenu. BTOOOM! est sorti en mangas dans nos contrées en tout début 2012. Puis un anime de 13 épisodes l'a suivit de près. Après l'avoir regardé dans sa globalité, je vais vous faire un peu le tour du propriétaire.

Déjà première chose qui saute aux yeux : C'est beau. Très beau. Le design est vraiment soigné, les couleurs sont cohérentes et collent à merveille avec l'image de nature luxuriante que voulait donner Junya Inoue (le créateur de la série). Les musiques quant à elles ne sont pas en reste et sont elles aussi extrêmements soignées, je pense notamment à l'OST de combat qui est de toute beauté là ou on s'attendait à un solo de guitare bien chiant et bourrin. De ce côté, c'est donc un bon point que rapporte BTOOOM!.


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De bien beaux effets de lumière


En ce qui concerne le scénario, je doit avouer qu'il est très intérressant. Pour résumer, l'histoire qui nous est racontée est celle de Ryota Sakamoto, un no-life qui passe sont temps à jouer au jeu vidéo BTOOOM! pour être le premier au classement mondiale et surtout car il veut un jour pouvoir bosser dans l'industrie vidéoludique (rien que ça !). Manque de bol, alors que notre jeune homme jouait tranquillement, il devient inconscient et se retrouve sur une île avec son sac à dos, une sorte de cristal incrusté dans la main, et des bombes, qui lui rappellent étrangement celles de son jeu. Que va-t-il devoir faire ? Eh bien vous le saurez si vous regarder l'anime ah ah !


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Par le pouvoir du prisme lunaire !!!


Hum... quoi qu'il en soit, le scénario est bien foutu et différents aspects de la psychologie humaine sont ici travaillés. Oui parce qu'entre nous, je pense qui si vous vous retrouvez du jour au lendemain dans un coin paumé au milieu de nulle part sans savoir pourquoi, je doute que vous soyez aussi frais que la veille mentalement parlant. Bref ! L'anime contient beaucoup de protagonistes ayant tous leur petite histoire et leur passé plus que douteux. Même si Ryota fait plus pensé à Light Yagami dans Death Note qu'à un véritable boutonneux accroc aux jeux-vidéo (comment ça ce sont des clichés ?!), il reste quelqu'un d'assez charismatique et humain ! Naturellement, notre bon vieux Junya n'a pas pu s'empêcher d'honorer la gloire des animes en incorporant cette chose :


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Elle s'appelle Himiko et est agée de 15 ans (vu la poitrine j'en aurait rajouté 5 de plus mais bon). Je ne pense pas vous spoiler en révélant ce personnage car on la voit strictement partout ! Et on en dira ce qu'on voudras, mais je pense que l'auteur aurait très bien pu ce passer d'elle car a part nous rappeler de façon plus que suggestive que les femmes on effectivement des seins, la gamine est tout ce qui a de plus idiot ! C'est là le seul défaut que je donnerais à cet anime, mais il n'est pas négligeable. Himiko s'est révélé être utile une seule fois dans l'anime ! Pour le reste, c'est juste une imbécile pseudo-émotive qui fera plus office de boulet qu'autre chose.

Voilà, ça c'était pour le petit coup de tête, mais je passe maintenant au verdict ! Dans le fond, BTOOOM! est un anime que je vous invite a regarder au plus vite ! Prenant de bout en bout jusqu'au dénouement final, il saura vous faire passer un bon moment ! Même si on sent une certaine lourdeur ainsi que des situation presque prévisible par moment, les divers rebondissements sauront vous retourner les tripes !

3,75/5



Message édité 1 fois. Dernière édition par Fallacy le 26/07/13 à 15:46.


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[Test] The Last Of Us / PS3

Article posté le 21/07/13 à 17:40

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Depuis le temps que j'en avais entendu parlé, eh bien ça y est, j'ai craqué ! Voilà que j'ai joué et fini The Last Of Us (TLOU pour les intimes) il y a peu. Ce titre a été développé par les gars de chez Naughty Dog, connus pour la série des Uncharted, Jak, ou autres Crash Bandicoot. La bête nous plonge dans un décor post-apocalyptique, causé par une infection qui donne à son hôte un caractère aggressif avant de lui transformer la tête en choux-fleur. En outre, rien de bien rassurant. Mais rentrons dans les précisions.

Scénario :

On prend part à l'aventure dans la peau de Joel, un mec aigri, dans un monde sans pitié, peuplé d'infectés, de groupes armés jusqu'aux dents, etc... Cet homme va devoir contre son gré aider une gamine du nom d'Ellie à atteindre un camp de rebelles pour des raisons bien obscures.

Et nous voilà donc parti à l'aventure, à travers une Amérique totalement anéantie et hostile. L'histoire qui lie ces deux protagonistes est tout simplement bien amenée. Le scénario est digne d'un film et on se laisse porter par un pitch qui ne vous emerveilleras peut-être pas, mais qui se contente de refléter une triste réalité à travers des situations aussi haletantes que touchantes. Nous voyons les humains sous leurs formes les plus bestiales, et vous vous rendrez vite compte que les infectés ne sont pas les prédateurs les plus féroces.

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Ces deux-là se sont bien trouvés !

En bref, le scénario de TLOU est excellent en tout point, c'est pourquoi je refuse de vous en dire trop. Car chaque mot est pesé pour vous limiter au maximum le spoil. Je me contenterais de dire que tout au long de l'aventure, vous pourrez apprécier les dialogue entre les deux personnages, l'un racontant de temps à autre comment fonctionnait le monde avant qu'il ne parte en sucette., l'autre expliquant sa vision des choses. Vous affronterais de multiples péripéties qui vont tiendrons en haleine jusqu'au dénouement final.

Graphismes :

Nos ricains n'ont plus besoin de prouver qu'ils maîtrisent à merveille la PS3. Ont voit clairement qu'ils se sont éclatés sur le moteur graphique, ce qui donne lieu à des environnements variés de toute beauté. On a droit à des nuits pluvieuses, à un magnifique couché de soleil en forêt tout en passant par des environnements enneigés, en bref que du bon !

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C'est beaauuuu

Le design des personnages quant à lui est proche du réalisme (surtout pendant les cinématiques) ce qui renforce d'autant plus l'immersion. En sommes de ce côté-là, je n'ai rien à redire, tout a été soigné et mis en place pour flatter notre rétine.

Bien évidemment, ne vous attendez pas à des explosions de partout et à des scènes hollywoodiennes, car au risque de me répéter, l'accent à été mis sur le réalisme, tout est dit.

Musiques :

Dans TLOU, ça n'est pas de la musique que vous entendrez, mais la bande-son de votre inconscient. Celle qui vous remuera les tripes et qui je l'espère, vous fera verser votre petite larmichette. Les thèmes proposés sont ma-gni-fiques. Ni trop discrets, ni trop présents, ils se faufilent dans nos oreilles avec un équilibre tout simplement délicieux (le thème du générique de fin punaise...).

Vous l'aurez compris, la bande-son de ce jeu m'a extrêmement touché à tel point que je ne résiste pas à l'envie de vous envoyer le lien du Menu Principal :

http://www.youtube.com/watch?v=NcF0QMPVCDg

C'est du lard auditif... euh je veux dire de l'art auditif !

Gameplay

Même si Joel est certainement moins agile et rapide que Drake (réalisme oblige), vous arriverez à le maîtriser sans trop de mal au bout d'un petit temps d'adaptation. Vous disposerez également d'un arsenal non négligeable afin d'en découdre avec les grands méchants.

La subtilité dans TLOU, c'est que vous n'êtes pratiquement jamais obligé de combattre. Vous pouvez fuir ou passer en furtif pour économiser vos munitions (qui ne pleuvent pas à tire-larigot). Si vous voulez combattre, vous pouvez utiliser la méthode furtive pour tuer un à un vos ennemis dans le silence et ainsi ne pas vous faire repérer, ou si vous êtes de bonne humeur, vous pouvez y aller à la bonne vieille méthode de boucherie en fonçant dans le tas, ce qui est vivement déconseillé (bien que ce soit ma technique préférée...).

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Joel en a dans le bras pour étrangler sa cible.

Il faudra également être attentif à l'IA car elle dispose d'une lueur d'intelligence et si vous vous faites repérer, vos ennemis feront tout pour vous tendre des pièges, comme vous encercler par exemple. Cependant, je trouve le comportement de cette dernière un peu idiot par moment.

En effet, lorsqu'un ennemi vous a chopé, vous pouvez considérer que ça va chauffer pour votre derrière car tout le monde sait où vous vous trouvez ! Et cela m'a fait rager plus d'une fois d'essayer de passer en furtif pour au final tout défoncer à l'ancienne tant ces petits défauts me gonflaient royalement ! En dehors de ça rien de bien grave.

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Oh shit... oh shit ! Oh SHIT ! OOOH...

Mais rassurez-vous, vous pourrez à tout moment fabriquer de l'équipement qui vous sera fort utile dans votre aventure (trousse de soin, cocktail molotov, etc..). De plus, vous aurez la possibilité d'améliorer vos armes avec les pièces que vous aurez récoltées à droite à gauche. Vous pourrez également améliorer les caractéristiques de Joel à l'aide de pillules.

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Minecraft spotted Smiley : lag30.gif

Il faudra donc être vigilant et bien prendre le temps de fouiller les petits recoins que vous propose le jeu. C'est d'ailleurs un point important de ce titre car cela vous oblige à jouer à fond sans tracer comme un cinglé en ligne droite.

En outre, TLOU est un jeu qui se savoure.

Durée de vie :

C'est ici que l'on touche à la corde sensible. Pour voir le dénouement final tout en prenant votre temps, vous en aurez pour 15h grand maximum. "OMG MER C TRO COURR!' Du calme. Certes on peu facilement faire la tête fàce à une durée aussi pauvrette. Cependant, ce défaut est largement rattrapé par un gameplay qui ne fléchit jamais, et une narration qui vous fera décrocher de votre écran uniquement après le générique de fin (et encore !).

De plus, vous pourrez refaire le jeu autant de fois que vous voulez avec toute les améliorations que vous avez laissé. TLOU dispose également d'un multijoueur ce qui rallonge un tantinet la durée de vie.

En somme :

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Si ce titre a fait autant couler d'encre, ça n'est pas par hasard ! Je conçoit qu'il serait bien facile de tarir TLOU d'éloges, mais comment faire autrement ? Ce jeu est digne d'un film. Oui, un magnifique film qui nous transporte dans une aventure dont vous ne ressortirez pas indemme.

Je peu également comprendre que l'on ne veuille pas dépensé plus de 60 boules dans un titre dont la durée de vie est plus que maigre, mais honnêtement, vous passerez à côté d'une expérience fabuleuse. Vous voilà prévenu !

4/5



Message édité 3 fois. Dernière édition par Fallacy le 22/07/13 à 10:34.


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[Test] Metroid Other M

Article posté le 17/03/13 à 15:16

Pour le peu que je m'en souvienne, j'avais découvert la série avec Metroid Fusion sur GBA. Et c'est ainsi qu'est venue mon amour pour Sam... euh je veux dire la série. Après avoir écumé des Prime Hunter et des Prime tout cours, je me lance dans cette aventure qui n'a pas été partagé du même point de vue par tout le monde, c'est donc dans une certaine angoisse que j'avais acheté ce Metroid intitulé : Other M (si à la vue du titre vous ne doutez pas qu'il va y avoir du changement, je ne peux rien faire pour vous...)

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Donc ! Je vais essayer de détailler du mieux que je peux la bestiole en essayant de ne pas être trop assommant en écrivant un pavé. Nous allons décortiquer le jeu en plusieurs points :

Le scénar' :

A ma grande surprise, c'est une Samus un peu bavarde qui s'est dévoilée. Personnellement je ne trouve pas ça gênant, même si cela peu faire bizarre lorsque l'on a joué à pas mal d'opus où la jeune chasseuse de prime de voulait presque muette.
Le jeu se situe entre Super Metroid et Metroid Fusion, c'est donc un retour en arrière que nous avons. Nous apercevons le bébé Metroid qui protège Samus de Mother Brain avant de se faire littéralement désintégrer. Peu après, Samus met la fessée à madame, et se retrouve évanouie.

Mais fort heureusement elle n'est pas morte (Bah oui, c'est le début du jeu...) ! Elle se réveille peu après dans une base allié sur la planète de la fédération galactique, où elle a été soignée. Après une cinématique bien sentie, nous avons un tuto qui nous explique les rudiments du jeu et... bon je vois que je m'étale un peu, allons à l'essentiel.

Une fois guérie et se balladant dans l'espace à bords de sa Samusmobile, elle découvre un signal de détresse provenant d'une station bouteille.

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Y'a pas à dire, ça a l'air accueillant !

Et là surprise ! Son ancien leader et toute sa clique sont de la partie ! Que l'univers est petit ! Hum. Samus se met donc sous la direction de l'escouade et accepte de se faire diriger par Adam Malkovich.

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Chercher l'intrus

Le scénario m'a assez interpellé plutôt dans le bon sens du terme. La personnalité de Samus n'a pas été gâchée, même si elle se trouve être un peu plus émotive que prévue. Pour le reste, les personnage sont un peu inintéressants, mise à part Anthony qui m'à arraché un rictus de temps en temps.

En dehors de ça, on trouve plus de plaisir à en savoir plus sur cette épave et la raison de la présence de la fédération galactique ici, que sur cet effaceur dont je me suis foutue royalement tout le long du jeux. Non sérieusement, sur une poignée de six gars, ils trouvent le moyens de tomber sur un traître... je comprend pourquoi Samus a fini par démissionner...

Plus sérieusement, j'aimerais bien pouvoir vous en dire plus, mais si jamais vous avez le projet de jouer à ce jeu, je veux vous laisser découvrir. Le scénario (sans atteindre le niveau des autres opus) est pour ma part assez agréable, que ce soit au début, où pour le dénouement final très réussi.

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Et puis faut bien avouer qu'elle en impose la miss !

Les graphismes :

Les couleurs sont agréables à l'oeil, et les cinématiques sont d'excellente qualité. Pour le reste, je trouve qu'Other M fait un peu pâle figure à côté de ses aînés qui m'avaient mis sur les fesses plus d'une fois. Les textures sont dans l'ensemble assez soignées et les ennemis très trèèès bien réalisés. Les boss quant à eux ne sont pas mal non plus (surtout le vrai boss de fin, mais ne m'ont pas laissé un souvenir impérissable non plus. Les personnage alliés sont également bien fichue.

Le problème viens du fait que l'on retrouve le syndrome de Metroid Fusion. Nous sommes conditionnés dans cette station et ce sentiment d'être enfermé vous suivra tout le long du jeu. Heureusement que certains environnements intérieurs de qualité arriveront à vous faire oublié un peu ce souci.

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C'est donc un autre bon point que j'ajoute à Metroid Other M.

Musique :

Alors là je ne vais pas faire de cadeaux. En même temps, Other M ne nous en fait pas non plus de ce côté-là. Non pas que les musiques de sont pas de qualité, loin de là... mais elles sont quasiment I-NE-XI-STANTES !!!

Ce qui faisait le charme d'un Metroid (pour moi en tout cas), c'était sa bande-son angoissante, futuriste, magique, ... or là, on ne retrouve pas grand chose. Même si les bruitages sont de très bonnes qualités, la bande son est bien trop discrète et c'est vraiment dommage car la série Metroid est quasiment toujours parvenue à nous offrir des OST qui demeuraient superbes ! Franchement dans Other M, on a vite fait d'être blasé de retrouver trois notes de piano agonisantes à l'écran titre du jeu lorsque la série des Prime nous envoyait une bonne dose de sueur froide à ce même instant.

Quoi qu'il en soit, Other M ne brille par sa bande-son, ça c'est
certains ! Et en tant que fan, je peux comprendre la déception de certains face à ça. Franchement de ce côté-là ils ont pas assurés. On se contenteras donc de quelques bruitages de qualité, c'est dommage...

Maniabilité :

C'est simple, le jeu se déroule essentiellement à la troisième personne. Vous avez juste à tenir la wiimote à l'horizontal et le tour est joué. Pour les missiles, ça se corse un peu. Il faut pointer le bidule devant le détecteur de mouvements pour passer en vue à la première personne. Cette technique s'utilise surtout lors de l'ouverture de portes ou contre des boss, donc vous n'aurez pas à l'utiliser à tire-larigot et fort heureusement car le temps de réaction du bazar est un peu long si on ne fait pas le bon geste précisément.

Il y également un système de recharge d'énergie qui est tout simplement à ch***. Lorsque vous êtes à cours d'energie (la plupart du temps en plein combat contre un boss), il faudra lever la wiimote et attendre qu'une jauge de progression se remplisse pour vous recharger UNE PARTIE de votre énergie. Cette technique est plus que laborieuse car le temps de recharger, il est impossible de faire quoi que ce soit et on se fait le plus souvent exploser en beauté, même en essayant d'esquiver les attaques ennemis...

En dehors de ça, la maniabilité d'Other M est au petit oignons, esquiver et démonter du monstre vilain pas beau à la pelleté n'a jamais été aussi jouissif et simple. Samus est très agile et c'est un véritable plaisir de la faire courir de partout et ricocher contre les parois pour accéder à un endroit.

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Les finish move sont également très sympas

En outre, le jeu est un véritable concentré d'action et on ne met pas longtemps avant de s'éclater comme un petit fou, surtout lorsque vous aurez accès à toutes les armes, là vous serez une véritable machine de guerre !


Durée de vie :

Là je sens que y'en a qui ont fait la tête. Car on ne s'ennuie à aucun moment, et de voir la fin apparaître si rapidement, nous laisse clairement sur notre faim (pas fait exprès...). Le scénario se boucle heureusement avec brio, et nous apporte les réponse que nous avons.

Par la suite, vous aurez la possibilité de retourné à la station une dernière fois pour affronter le véritable boss, et si l'envie vous en prend, vous pourrez récolter tout les objets cachés (missiles, énergie supplémentaire, recharge plus importante,...) afin de finir le jeu a 100% et de débloquer un mode hardcore que seul les plus acharnés arriverons à finir. Ces petits ajouts sont bien pensés et rallonge une durée de vie quelques peu pauvrette.

En somme :

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Nul doute que cet opus a partagé les fans, et c'est bien normal. Face à ce que proposait les épisodes précédents, on est en droit de râler par-ci par-là. Eh bien c'est une chose que je ne ferais pas. Car Metroid : Other M a remplit son boulot : Me divertir. Je me suis réellement amusé et j'ai pris du plaisir à suivre le scénario, le passé de Samus, son admiration pour Adam, son ressenti. Le jeu est doté d'une maniabilité excellente et d'une prise en main rapide. Au final c'est un jeu qui est très plaisant dans le fond comme dans la forme. Même si en tant que fan de la série, je le trouve un peu limite si l'on doit le comparer à ses frères, il n'en reste pas moins un opus séduisant.

un 3,75/5 pour ma part

PS : désoler si j'ai fait un peu long... =/



Message édité 4 fois. Dernière édition par Fallacy le 17/03/13 à 18:09.


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