Message laissé
le 08/08/13 à 20:24
Pour tous ceux qui veulent voir une creepypasta sur le Slender bien faite et peut connu (je pense), je vous la met ici (attention,c'est long) :
Déchéance. Une nouvelle horrifique.
Prologue -
Voilà Clément. Un homme de 27 ans, ayant une femme, Amanda, et un fils nommé Camille. Cet homme est dessinateur peintre depuis que la passion du dessin l'a pris, il y avait plus de 15 ans. Clément vit heureux, installé dans l'état de Californie depuis 5 ans après etre parti de France où il pensait n'avoir aucun avenir en tant qu'artiste. Il est vrai que Clément est plutot doué et insite souvent son fils à dessiner. Camille à 4 ans. Il aime beaucoup partir en ballade avec son père dans le Sequoia National Park, une immense foret aux arbres centenaires. Son père s'installe dans une clairière et pose son chevalet au centre, il dit souvent aux gens qui lui demande pourquoi cet endroit qu'il aime simplement l'endroit, que la foret est immense, mystérieuse et silencieuse. Elle lui donne son inspiration. Mais depuis peu Clément ne dessine plus. Il ne retrouve pas son inspiration et de nombreuses heures dans cette foret, pars le matin, revient le soir. N'arrivant plus à dessiner, il écrit; écrit un journal, cette nouvelle n'est que le rendu de son journal.
Chapitre 1 – Situation originelle
» 3 Aout 1994 11:30, lieu, Californie, Bureau dans ma maison.
Bonjour, je suis Clément, dessinateur, je vis en Californie avec ma femme et mon fils. Dernièrement je passe du temps dans le Sequoia National Park, endroit ou je me rendait autrefois pour trouver des idées, des idées sur ce que je vais dessiner et des réponses à l'éternelle question : Que vais-je peindre ?
C'est dans ce lieu que j'ai fondé ma carrière et que j'ai trouvé l'inspiration a mes oeuvres, c'est grace à ce lieu de paix que je peut gagner mon pain, nourrir ma famille et payant mes impots. Bien que ma femme, Amanda soit Sage-Femme, son salaire seul ne permettrais pas de payer les subventions de la maison, la nourriture et ce qui nous est nécessaire pour prospérer.
Mais depuis quelques semaine, plus rien. Le lieu ne me dit rien, je n'y trouve plus aucune idée, cela me serais presque inutile d'y aller mais je m'y rend quand meme, bien qu'il ne me semble plus si familier. Je m'y ennuie le jour. Je n'y sens plus rien. Plus aucune idée ne germe en moi. J'y menne généralement mon fils avec moi, une fois là bas nous avons une règle d'or. Nous ne parlons pas. Nous restons dans le silence le plus total, jamais je n'y ai dit un mot, jamais il n'en a dit un. Jamais. Camille est muet. Et ce depuis toujours. Les médecins nous on annoncés après son troisième anniversaire qu'il était atteint de « maladie des inclusions cytomégaliques » de pars le biais de sa mère alors qu'elle était enceinte. Je n'ai jamais cherché à comprendre pourquoi lui et me suis dit que cela pourrait arriver à n'importe quelle personne, cela fait un an et bien que cela nous ai attristé énormément, nous nous sommes fait une raison, nous devons vivre avec. J'insite beaucoup Camille à dessiner, il est doué. Ses personnages sont assez détaillés pour un enfant de 4 ans et les couleurs toujours le plus rapprochées de la réalité, il n'habillera par exemple pas tout les personnages d'une seule couleur et du meme ensemble de vetements, il variera les formes et les tailles, je compte l'inscrire à des cours dès qu'il aura 6 ans. Du moins, si ma femme et moi en avant les moyens… Je tente donc de dessiner, sans réelle inspiration, en faisant avec ce qui vient. Les simples tableaux illustrant le paysage ne suffisent pas, il en faut plus, meme si ce « plus » est du domaine de la fiction, l'idée ne peut germer d'elle meme dans mon esprit, il me faut cette intuition que la foret et le calme qui y règne me donnais autrefois. Avant que je ne m'installe ici et découvre ce lieu par hasard alors que je m'étais perdu dans la foret, quand j'habitais encore en Françe, l'inspiration ne me venais qu'occasionellement et il faut bien l'avouer, rien de se que je n'avais fait autrefois n'avais dépassé les oeuvres d'aujourd'hui… Mon premier dessin fut couronné de succès, il ne s'agissais que d'un de ces arbes, le plus beau et le plus gros que je pouvais voir depuis le centre de ma clairière. Je le représentais, vu en coupe, sur chacune de ses branches, un animal d'une espèce différente, du plus gros au plus petit, de haut en bas, tous fixant un meme point. Un humain. Je n'avais aucune idée de ce que je faisais à ce moment là mais une fois présenté, des milliers de gens ont commencé à y trouver une morale, un esprit, un style, quelque chose qui rendait ma peinture différente des autres. J'ai beau lire les différentes évaluations plus ou moins philosophiques, aucunes ne me convenait réellement. Les dessins suivant furent accompagné d'autant de succès et de surprise, je ne dessinais pas un genre, je croisais les genres. Et je croi que c'est aussi c'est aussi cela qui faisait que beaucoup de gens se sentait touchés par mes peintures, il les regardait, les fixais, se posait des questions à leurs sujet et bien souvant, trouvait un certain réconfort en elles. Mais maintenant, je ne peut plus dessiner. J'essaye pourtant, je commence par tracer un grand cercle comme je le fait d'habitude pour ensuite dessiner à l'intérieur, ce « cercle » est d'ailleurs bien plus souvent ovale soit dit en passant. Mais après le cercle tracé je ne sais pas quoi faire. Ou ne sais plus. Je me contente juste de tracer une grande croix à l'intérieur. Je possède une vingtaine de toile, marquées de ce cercle avec une croix en son dedans. Je ne sais pas ce qu'elle signifient pour les autres, pour moi rien. Et ce vide me fait peur. Me rend mal à l'aise. J'en ai parlé à Amanda, elle m'a proposée d'exposer ces toiles en me disant que si je réussissais à me procurer des sensations grace à une toile que j'aurais moi meme faite, je réussirais surement à les faire passer à tout ceux qui regarderont ces toiles. Je suis allé voir le directeur de la galerie d'art, je lui ai parlé pendant une dizaine de minutes, je lui ai proposé de placer ces toiles dans un couloir, chacun espacé d'un mètre, sur les murs et le plafond. Je suis ressorti me sentant léger, j'avais réussis et ce sans aide de la-dite foret, je pourrais annoncer une bonne nouvelle en rentrant chez moi, ce mois je serais payé. »
» 9 Aout 1994 21:00, lieu, Californie, Bureau dans ma maison.
Une semaine s'est écoulée depuis l'ouverture de mon couloir, les avis sont ceux auquels je m'attendais. Toutes les personnes ayant passé par là ce sont retrouvés instantanément mal à l'aise, ils ont tous le sentiment d'etre observé, fixés et opressés, une fois sortis du couloir, ils ressentait tous une grande sensation de soulagement, de chaleur et de sécurité. On peut dire dans un sens que mon oeuvre à du succés, les avis sont très positifs, certains qualifie meme cela « d'une experience incroyable dont l'on ne se remet pas totalement, marquant l'esprit et imposant son souvenir » ou encore d'autres se disent « revivre » après que les tableaux ait cessés de les fixer. La célèbre « Modern Tate » me l'a meme rachetée ! C'est certainement mon oeuvre qui aura eu le plus d'impact. Je n'en suis d'ailleurs pas peu fier, j'ai feté ça avec ma femme et quelques amis, nous avons ouvert le champagne des grandes occasions et plusieurs amis sont meme venus jusqu'à m'acheter un cadeau, je commence à me faire un nom dans le domaine. Je reprendrais peut etre un jour mon journal, si de nouveau je rencontre un problème, que je ne peut plus dessiner, je raccroche la plume pour le moment. »
Chapitre 2 – Elément pertubateur
« 14 Novembre 1994 3:48, lieu, californie, Salon dans ma maison.
Voilà de nouveau 3 semaines que je ne trouve plus quoi faire. Je crois que j'ai en plus de cela attrapée une quelquonque maladie virale, j'ai des vomissements occasionnels, des diarhées, dors mal et ne fait principalement que des cauchemars. Non pas exactement. Un cauchemar. Je ne vois plus que ça en fermans les yeux… Ca m'horrifie… Dès que je m'endors je vois un visage, blanc, seuls les traits et les formes sont là, pas d'yeux de bouches, d'oreilles, de cheveux ou de cavitées nasales ! Le seul endroit ou je me sens bien et ou les symptomes ne se manifestent plus est la clairière dans celle que j'aime appeller « ma » foret. Je m'y retire donc le jour mais toujours rien. Comme en début d'aout dernier, je ne ressens rien ! Je n'ai aucune idées, ne trouve plus rien, ne sais pas quoi faire, je dessine que ce visage que je vois en cauchemars, je pense aller voir un médecin ou un psychologue. Voir meme les deux. Ca me semble etre le choix le plus sage. Ce visage que je dessine, fait peur aux gens. Il me fait peur à moi meme, chaque nuit, je le vois, je vais meme jusqu'à le sentir venir au moment ou je ferme les yeux, couché avec ma femme. J'ai décidé de vendre le tableau du visage, je ne veut plus le voir, je ne veut plus y penser, surtout pas quand je rentre dans mon atelier, c'est là aussi que je le vois, contre le mur, me fixant avec ses yeux inexistants. Oui c'est décidé je vais aller le présenter à la galerie. »
« 14 Novembre 1994 19:30, lieu, Californie, Lit conjugual.
C'est fait, le directeur de la galerie à adorée ma toile, mais j'ai vu son regard quand je lui ai montrée, pendant un peu plus d'une seconde il avait l'air terrifié et fixait « le visage », ses yeux d'un bleu profond avait l'air d'etre passé au noir, je l'ai vu frémir, j'ai senti sa respiration accélerer et son stress monter, une grande vague froide et brulante à la fois lui ai montée depuis le bas du .dos courant sur sa colonne pour remonter jusqu'a sa tete qui l'espace d'un instant est restée rouge, il avait eu unr grande vague de panique durant ces quelques secondes. Tout du moins, je l'ai vendue, mais j'ai aussi vu le regard et la réaction des employés et autres visiteurs alors que nous tentions de trouver l'edroit ou il serait le mieux placer. A chaque essais ou nous le placions contre le mur, toutes les personnes présentes dans la piece étaient parcourues de la meme vague de panique que le directeur, tout les pores de la peau des personnes présentes s'ouvrais et laisser passer moins d'une goutte de transpiration plus fraiche que leurs températures. Ils étaient pétrifié pendant quelques secondes, paiqués, les idées s'entrechoquant dans leur tetes. Dès que nous sortions de la pièce emportant avec nous le-dit tableau, la tension redescendais, les esprit se calmais, les personnes présentent reprennais leurs souffles et continuait leurs occupations et taches auquels ils étaient addonés un instant auparavant. Nous avons finalement trouvés un endroit parfait, une pièce, entièrement peinte de blanc immaculé, éclairée par quatre gros projecteurs, un à chaque coin de la pièce et le tableau sur le mur à droite de l'entrée de la salle. J'attend l'ouverture avec impatience, et les critiques avec autant d'apréhension. Je reprendrais ce journal, dans une semaine. Quand les visites auront été faites. »
« 20 Novembre 1994 19:50, lieu, Californie, Bureau dans ma maison.
Ca y est, cela fait une semaine que le public à vu mon tableau. Le tableau n'a pas eu l'effet auquel je m'attendais. C'est encore pire. Les enfants ont tous pleurés. Sauf quelques exceptions. Des personnes se sont évaouies en passant devant, absolument tout le monde a ressenti la peur de sa vie, personne n'a clairement dit s'il allait un jour pouvoir oublier ce visage. J'ai demandé d'un autre coté à voir les images des caméras de la salle, on peut clairement voir qu'absolument toutes les personnes se déviaient de leurs chemin pour etre le plus loin possible du tableau et quelques un sont restés fixés pendant 5 minutes, le regardant se parlant à eux meme. D'autres sont restés concentrés une dizaine de minutes et on finit par saigner du nez et les personnes s'étant évanouie étaient restées fixés sur le tableau pendant plus de 20 minutes. Il y a meme des gens qui sont partis en courant de la salle ! Mais la chose qui m'a frappée est qu'il y a une zone ou absolument personne ne s'est rendu. En effet la foule à suivie une forme courbe au lieu d'avancer en ligne droite, personne ne voulais rester trop près du tableau ni se laisser « happer » par le regard. Un autre fait étrange, de temps en temps l'image saute alors que le gardien m'a affirmé qu'ils possédaient dans le musée un système de sécurité des plus récent et que jamais la vidéo n'avait sautée autrefois. D'un autre coté on dirais que ma maladie n'était que passagère, je me sens beaucoup mieux depuis que j'ai vendu cette oeuvre ! Cette fois ci par contre aucun autre musée n'en a voulu malgré toutes les critiques si positives, elle parlent toute toutes de la crainte du tableau, rien de plus que les témoignages des visiteurs civils. Je suis tout de meme payé grassement ce mois ci car de plus en plus de gens font le déplacement pour voir ma toile. Un fait assez flateur je trouve, de plus, ma popularité ne cesse d'augmenter. Je compte aller au parc me receuillir dans la clairière avec mon fils. Il dessine de plus en plus dit en passant et de façon de plus en plus détaillée, je suis fier de lui. Je n'ai plus rien à vous dire, j'ai vidé mon sac, je suis sereint pour le moment et pense prendre une semaine de vacances. Pour moi les vacancesse résument à ne pas pénétrer dans mon atelier. Je réecrirais un autre jour, ou jamais, cela dépendra vous en conviendrez. »
« 23 Novembre 1994 14:20, lieu, Californie, Sequoia National Park.
Cela fait 3 heures que je suis arrivés avec Camille, je n'ai pas résisté à planter le chevalet et à y mettre une toile, on ne sais jamais, je pourrais avoir une idée. Non je n'ai pas résisté, je me suis fait une raison, mon métier est ma vie et ma vie est basée sur mon métier, je ne peut pas m'en passer. Camille ne va plus à l'école. Je me charge de lui apprendre ce qu'il faut, dont le language des signes. Hier et avant hier, des enlèvements ont eus lieus lors de sorties d'enfants avec leurs école. Peut etre y retourneras-t-il pour l'école élémentaire, je ne pourrais surement pas lui faire toute son éducation moi meme. Je préfère juste qu'il reste avec moi pendant un moment, peut etre est-ce que je suis un peu paranoiaque mais cela me rassure et puis ça me permet aussi de passer du temps avec lui et d'observer ses progès en art. D'ailleurs je vous laisse, il vient de dessiner quelque chose d'étrange. Je réécrirais plus tard. »
Chapitre 3 – Te regarde sans yeux
« 23 Novembre 1994 23:50, lieu, Californie, Bureau dans ma maison.
Le dessin de Camille est vraiment étrange, il représente lui, seul dans la clairière. Jusque là rien d'anormal me diriais vous ! Mais; Si l'on regarde de plus près, il n'est pas seul. Derrière lui dans les bois. Seulement à moitié visible car en partie caché derrière un arbre ce trouve « lui ». Le personnage de mes cauchemars. Il possède le visage blanc et vide et est habillé d'un costume noir. Il parait de taille inhumaine, au moin 2 mètres 50. Ses bras sont démesurèment longs, ils descendent jusqu'a ses genoux. Bien sur ce sont des dessins d'enfants mais cela me trouble quand meme car depuis toujours, Camille n'a dessiné que la stricte verité de ce qu'il a vu. De plus il »
« 25 Novembre 1994 13:44, lieu, Californie, Lit conjugual.
Alors que j'écrivais il y a deux jours, j'ai été pris d'une grande quinte de doux durant plusieurs minutes. J'allais pourtant excellemment bien le matin meme ! Et le plus étonnant est que j'ai fini par cracher du sang. Moi. Cracher du sang ! Je n'ai jamais touché à une cigarette de ma vie et ne bois pas d'alcool. De plus, les symptomes de ma précédente maladie ont repris, je liste donc mes problème : Vomissements, diarrhées, toux et évacuation de sang par la bouche suite à ue grande quinte.
Amanda m'a proposé d'aller faire du camping au parc, je lui ai répondu que c'était une excellente idée mais que pour le moment je ne me sentais pas assez bien pour partir un jour et une nuit loin de la maison. Je suis aussi allé voir mon médecin hier, il ne m'a trouvé aucune maladie ni rien pouvant causer de tels symptomes.
L'images de ce personnage qu'a dessiné mon fils reste bloqué dans ma tete, je ne peut pas l'oublier, je ne peut pas l'effacer. »
« 27 Novembre 1994 11:30, lieu, Californie, Sequoia National Park.
Je suis arrivé avec mon fils et ma femme, j'ai planté le chevalet et la tente, j'ai dressé la table du pique-nic bien que je sache que je ne pourrais rien avaler aujourd'hui. Je vais aller me ballader dans ces bois, voir ce qui a pu inspirer Camille pour son dessin. Je pense partir avec une caméra pour filmer tout ce qui pourrait etre en rapport avec ce personnage, on m'avait offert cette caméra a la fete que j'avais organisé au sujet de mon couloir acheté par la Modern Tate de Londres, et une lampe torche. Je vais aussi partit seul, prétextant aller chercher du petit bois sec pour le feu ou une quelconque excuse. J'improviserais surement. »
« 27 Novembre 1994 20:00, Lieu, Californie, Sequoia National Park.
Je suis partie du campement, la nuit est tombée, j'ai allumé la lampe torche et la caméra. Camille s'est endormi et Amanda à fait de meme, blottie contre lui; un tableau charmant qui me fit sourrire avant que je ne parte après avoir laissé un mot. La caméra semble de moins en moins bien marcher plus j'entre dans la foret. Je crois que ma trace ne sera qu'écrite. »
« 28 Novembre 1994 00:04, Lieu, Californie, Sequoia National Park.
Me revoilà couché dans la tente. Je crois que je l'ai vu. Plusieurs fois. A plusieurs endroit, c'est impossible ! Personne ! Aucun etre humain ne peut ressembler à ça ! Il ne peut pas etre humain ! Il est le meme personnage que sur le dessin, 2 mètres 50, long costume noir avec un visage… Un visage sans face ! Rien ! RIEN ! Il n'a pas de cheveux, pas d'yeux, pas de bouche, pas d'oreilles, pas d'expressions ! A chaque fois que je le voyais, je paniquais ! Soit je cessais de bouger et le regardait, quand je faisais cela, plus je le regardais, moins bien je me sentais. Soit je fermais les yeux et attendais quelques secondes, quand je les rouvrais, il n'était plus là ! Soit je me retournais et partait en courant. Aussi loin que je le pouvais. Je ne sais pas comment j'ai réussis à retourner dans la clairière mais cela relève du miracle. Meme encore dans la tente je sais qu'il est là, quelque part, autour de la clairière, il me voit, il nous voit, et attend quelque chose. Je ne crois pas que je l'oublierais. Dès demains, je ne reviens plus ici. Je viens d'essuyer une nouvelle quinte de toux et ai vu sur des arbres « le signe ». Le cercle marqué du X en son dedans. Gravé sur des arbres. Tous me mettant horriblement mal à l'aise dès l'instant ou je les voyais. Je ne me sens plus en sécurité. Je ne sais pas si je me ressentirais bien un jour. »
« 28 Novembre 1994 22:30, Lieu, Californie, Bureau dans ma maison.
Voilà presque une heure que je suis assis à féfléchir. Si Camille n'avais pas fait ce dessin je n'aurais pas cru ce que j'ai vu. Je crois que ma santé mentale baisse, j'entend des bruits de pas en dehors de chez moi parfois, des craquements aussi. Sauf que ce n'est pas possible. Je suis en pleine campagne et il n'y a pas de voisins à moins de 500 mètres de la maison. De plus quand je passe la tete par le fenetre je vois bien qu'il n'y a personne. J'ai pris rendez vous chez un psychologue, je m'y rend dans une semaine. Mon garçon à continué ses dessins. Maintenant « il » est sur tout les dessins. Ca me permet de le voir plus en détails. Je peut remarquer que des sortes de tentacules sortent de son dos, je ne les ais pas vu hier, peut etre est-ce juste mon imagination qui m'a joué des tours ou bien ai-je fait un cauchemar réaliste ? Peut etre n'est-ce pas si grave.
Pour tenter de me le représenter mieux, j'ai pris une grande toile et l'ai peint. Par réflexe j'ai signé mon dessin. Au moment où j'ai relevé mon pinceau, un bruit comme celui d'un arbre se déchirant en deux et tombant brisa violemment le silence et ne reveilla personne ! Personne d'autres que moi ne semblait l'avoir entendu. J'ai regardé par la fenetre et me suis rappelé à ce moment là que ma maison était entre deux champs et qu'il n'y avait ici que des pins de taille modérés, aucun arbre n'aurait pu faire ce bruit. Aucun sauf un arbre particulièrement massif. Les seuls arbres les plus massifs que je voies sont les sécoia du parc. C'est impossible le parc est à plusieurs kilomètres d'ici ! Je ferais mieux d'aller voir demain. Pendant la journée, rien ne pourrait m'arriver. Je pense… »
« 29 Novembre 1994 9:30, Lieu, Californie, Sequoia National Park
Je suis arrivé il y a plus d'une heure, un des plus grand secoia visible de la clairière est en effet tombé, comme déchiré en deux. Plus intéressant encore, Le signe est là. Cette fois sur la souche. Comme gravé dedans.
Ce doit etre une coincidence. Ca DOIT etre une coincidence. Cet arbre centenaire est tombé, pendant une nuit sans vent, déchiré en deux ! Quels genres de choses peuvent amener à ca, c'est tout bonnement impossible ! Et pourquoi ais-je été le seul à l'entendre ? Pourquoi moi ? Tiens ca fait penser que cela fait longtemps que les habitués de la galerie se demandent quand je vais refaire un tableau. Je vais aller amener celui que j'ai fait hier là bas.
LA ! Je l'ai revus ! Il était à peine visible ! Derrière des arbres et des buissons ! CETTE CHOSE ETAIT AVEC MON FILS ! J'arrete d'écrire; je vais voir ! »
Chapitre 4 – Partout mais nulle part
« 30 Décembre 1994 15:00, Lieu, Françe, Périgord noir, Chalet d'un ami.
Cela fait un certain temps que je n'ai pas écris. Je vais vous raconter ce qu'il c'est passé.
Après avoir vu cette chose tenant la main à Camille je suis parti en courant, j'ai laché mes notes et suis allé aussi vite que possible, je suis arrivé à l'emplacement ou ils étaient essouflés mais je savais que je devais continuer à courir. J'ai courus. Suivant ce que me disait mon instinct, regardant parfois mon téléphone portable, jamais je n'ai eu de réseau, jamais je n'ai eu l'occasion d'appeller Amanda pour qu'elle me dise que Camille était avec elle, plus je courais plus j'avais chaud, plus les sueurs froides montait du bas de mon dos à mon crane. Absolument épuisé, mes jambes en feux, mon corps entier transpirant, je respirait fort et tentais de reprendre mon souffle. Dans un élan de panique, je crus entendre un bruit derrière moi. Je me retournais instantanément.
Mon fils n'était toujours pas là. Cette chose en revanche oui. Elle me regardait de haut, je la regardais la bouche ouverte, voulant hurler, ne le pouvant pas, comme si « il » avalait mes mots, sons et hurlements.
La dernière chose dont je me souvenait était de sentir un liquide chaud couler de mon nez, ma bouche et mes oreilles et de voir ses tentacules sortir de derrière son dos accompagnés d'un bruit strident.
Je me suis réveillé aux urgences, d'après les médecins je venait de faire un AVC. J'aurait pu mourir ou devenir infirme s'il ne m'avait trouvé ne serait-ce qu'une minute plus tard.
Ils n'ont pas réussi à établir en quelles circonstances l'AVC c'était déclaré. Je ne le savais pas vraiment et n'était pas sur de ce qu'il m'était arrivé. Je ne croyais pas une telle chose possible. Je ne suis pas sur de le croire encore aujourd'hui. Heureusement… Pour me rappeller qu'il est là… J'entend encore parfois ce bruit… Ca peut etre n'importe quand. N'importe ou du moment ou il y a une fenetre ou une quelconque vue sur l'extérieur ou simplement une porte ouverte. Je crains de me lever le matin. Je crains de me coucher le soir.
Oh oui bien sur je vais vous expliquer comment je suis arriver ici, sur ma terre natale en Françe ! Je suis parti de Californie après ma sortie de l'hopital. Je n'ai pas voulu expliquer cela à Amanda ni à Camille. Je leur ai juste dit que je partais et après avoir remplis une valise suis retourné en Périgord. Là où ma famille habite. Mais je ne suis meme pas allé les voirs, j'ai peur qu' »il » ne s'en prenne à eux, ils ne savent meme pas que je suis rentré. Je suis allé poser mes affaires dans le chalet d'un ami lui parti habiter en ville à Lyon. Le chalet se trouve entre un champ et une foret. Il est fait uniquement de bois, il y a toujours l'électricité et l'eau courante bien qu'il y ai du nettoyage à faire. Je suis plutot bien installé bien que me sentant seul. Cela me laissera plus de temps à écrire dans ce journal ! Enfin… Ce serais insinuer que quelqu'un le lirais. Et si quelqu'un le lis c'est bel et bien que je suis mort. La cause importe peu. Je pense meme que je peut vous le dire maintenant si vous me lisez : Je suis mort. »
« 1 Janvier 1995 2:05, Lieu, Françe, Périgord noir, Chalet d'un ami.
J'ai été réveillé un bruit violent il y a de ça 15 minutes, une fenetre à été fracturée, « Surement un oiseau n'ayant pas vu ou il allais » me suis-je dis. Maintenant dite moi, quel genre d'oiseau peut renverser une table en bois brut de 120 kilo ? »
« 1 Janvier 1995 12:35 Lieu, Françe, Périgord noir, Chalet d'un ami.
Je crois qu'il me suis. Où que j'aille, il y est, je le sens. D'après moi c'est un miracle qu'il n'ai pas encore mis fin a mes jours. Et puis finalement, peut etre n'existe-t-il pas ? C'est vrai ! Après tout, rien ne prouve réellement que ce n'est pas moi qui devient fou. J'en vient meme à espérer d'etre fou. Je crois que jamais plus je ne serais en paix… Je vis ici sans argent, je n'ai pu emporter que 200 dollars ce qui donne environ 110 euros.
Je dois aller couper le bois moi meme pour fournir la cheminée et ainsi survivre aux températures hivernales de la France. heureusement, le réfrigérateur me permet de garder un grand nombre de pièces de viandes, je pense avoir de quoi survivre plus d'un mois avec la viande et les boites de conserve. »
« 8 Janvier 1995 20:00 Lieu, Françe, Périgord noir, Chalet d'un ami.
Camille à été enlevé. Dans la foret alors qu'il se promenait avec Amanda.
Amanda est morte. Une crise cardiaque apparemment.
Je n'ai plus personne. Ceux que j'aime sont morts. Amanda. Camille. Maintenant Moi.
Tout ça a trop duré. Je ne peut plus l'endurer. Je dois arreter tout ça. Cette créature me veut moi, elle m'aura, j'irais la chercher, mais je ne me laisserais pas faire ! Et je laisserais une trace de mon passage. Dès demain, je me prépare. J'y vais. Je règles cette histoire folle. »
« 9 Janvier 1995 10:00 Lieu, Françe, Périgord noir, Foret cloturée.
Me voilà dans la foret. J'ai préparé des pages que j'accrocherais à différents endroits. S'il est dans cette foret et qu'il vois les pages, il sauras que je suis là, s'il ne le sais pas déjà. Je sais qu'il le sais.
Je suis rentré dans la foret avec une lampe torche et une hache. J'ai affuté la hache avant de partir, s'il s'oppose à moi je ne serais pas sans défense ! »
« 9 Janvier 1995 13:00 Lieu, Françe, Périgord noir, Foret cloturée.
J'ai posé 3 notes. Notemment sur des structures. Dont un grand arbre qui me rappellait « ma » clairière.
Je l'ai déjà vu quelques fois. Il est bien là, il me suis partout où je vais. Il ne répond pas à mes violences verbales il reste là a me regarder, alors je continue mon chemin.
« 9 Janvier 1995 15:00 Lieu, Françe, Périgord noir, Foret cloturée.
J'ai posé 5 notes au total. Il commence à me suivre constamment. Si jamais je me retourne, je sais qu'il est là, derrière un arbre, une voiture, un mur. Il ne me fait pas peur. Plus rien ne me fait peur. Je me fiche de tout ! Et surtout de la mort. »
« 9 Janvier 1995 19:00 Lieu, Françe, Périgord noir, Foret cloturée.
J'ai posé 8 notes pour le moment. La nuit est vite tombée, j'ai allumé ma lampe torche. Je continue à déambuler dans cette foret, son bruit strident est constant. Il est quelques part derrière moi. Il est lache !
Je l'ai revu. De plus près cette fois, il est en fait incroyablement mince ! Je crois que je lui ai trouvé un nom. « Slender man » ou « Homme mince » ! Je dis son nom dans la foret, modifie les notes et y ajoute son n »
« On se fout de la date et de l'endroit vous savez ou je suis et il est tard !
Je ne veut plus mourrir ! Il me térrifie désormais… J'ai perdu ma montre… Il fait nuit noire ! J'ai vu mon fils derrière un arbre ! Lui tenant la main ! J'ai peur… C'est ma faute… Si je n'était pas parti comme un lache chien il n'aurait pas pris mon fils ! Ma femme ne serais pas morte ! Qui dit qu'elle ne s'est pas suicidée à l'aide de médicaments ?! Qui dit qu'elle n'a pas eue de crise cardiaque en le voyant ?!
Je laisse tomber ! Je suis mort ou je suis vivant ?! JE NE SAIS PAS ! Je ne sais PLUS ! Je sais juste qu'il.. Cette chose est là ! J'hurle maintenant une unique partie du nom que je lui ai donné « Slender ».
Il se montre parfois mais jamais ne s'approche ! Peut etre cherche-t-il mes huits notes ! J'hurle encore son nom ! JE L'HUR »
Epilogue –
« Carnet de l'agent de police Durand, 11 Janvier 1995 21:45
Le propriétaire d'une foret privée cloturée à aujourd'hui trouvé le cadavre d'un homme, la trentaine, une hache plantée à ses cotés dans le sol sur un sentier de son terrain.
L'homme semble avoir été mutilé, seul son visage à été épargné, tout ses membres ont été brisés.
Le propriétaire à été voir son terrai à 01:50 du matin après avoir entendu quelqu'un hurler « Slender ».
La personne décédée à l'air d'avoir été torturée pendant des heures pourtant le cris à eu lieu moins de 15 minutes avant que le propriétaire arrive, sois il a été tué par plusieurs personnes se pressants autours de lui pour pouvoir l'atteindre et le frapper sois il aurait fallu à la personne ayant commis cette acte plus que 4 membres. De plus on peut voir les traces de pas de la victimes mais aucunement celles de l'agresseur.
Pour l'instant l'enquete ouverte est privée, je suis chargé de trouver des indices, le propritétaire aurait aussi entendu des phrases tels que « 8 notes » et autres « viens je t'attend ».
Une dispute ayant mal tournée ? Quoi qu'il en sois je me chargerais d'aller cherche ces huits notes, si elles existent du moins, elles pourraient etre de bon indices sur les circonstances du drame.
Voilà, évidemment ce n'est pas de moi et c'est un français qui a fait le tous mais je la trouvais plutôt sympas.
- - - - - - - - - -
RELEASE THE BOGUS !
Ho, and I'm also fa-bu-lous !