Blork & size.fac > Les jeux vidéo > Zelda, le Dossier Ultime : A Link to The Past & Link’s Awakening ( partie 2 )

Message laissé le 22/01/13 à 11:52

Et voici la seconde partie de l'article dédiée à un épisode mythique. Pourtant loin d'être gagné à cause des faibles possibilités de la Gameboy, jamais un zelda n'aura su imposer un tel festival émotionnel.

Si Zelda 3 s'est révélé être le zelda le plus créatif en innovation, Link's Awakening nous aspire dans un monde enchanté de rêves et de tourments, où la lumière et les ombres se mèlent, ou vérité et mensonge se cotoient, où la définition de la réalité s'ébranle. En avant donc pour le monde des rêves.



Les premiers pas :

Siderth:

Je crois que j'ai découvert le jeu grâce à l'un de mes cousins qui venait nous voir avec sa famille l'été. Il avait aussi une gameboy à l'époque car c'était devenu une mode dans ce temps. Rien que le fait de voir le mot Zelda sur la petite cartouche justifiait mon envie de jouer et de rejouer. Certains pourront pester de la qualité graphique et sonore du jeu car après le “somptueux” Zelda 3 il était impensable de faire mieux, pensaient beaucoup de fans. Et bien voici un Zelda qui malgré ses faibles possibilités a balayé d'un coup cette idée. Une aventure en décalage complet de la série, un voyage bercé par des rêves tourmentés de cauchemards, des personnages attachants et criants de vie, un oeuf surplombant une île aux mystères inexplicables. Un retour aux sources forcé, obligé d'aller chercher mon épée sur une plage inconnue où des monstres ont élu domicile. Vous rappelez-vous de cette musique lorsque vous brandissez fièrement votre épée? Le thème principal remixé pour l'occasion me provoque un petit pincement au coeur. Au fil des combats, je ne cesse d'en apprendre sur cette mystérieuse île, que se passe t-il donc de si étrange? N'écoutant que mon courage et ayant bravé de bien difficiles aventures par le passé, je m'en vais explorer les huits palais pour récupérer les instruments qui réveilleront le poisson-rêve.

Freytaw:

Mon premier Zelda. Inutile de dire qu'à partir de là, mon objectivité prend une claque dans la tronche et ne se relève pas. Alors oui, j'avais vu tourner les épisodes NES que je ne ferais que plus tard. Je bavais aussi continuellement sur les images de Zelda 3 dans les magasines spécialisés... Mais tout ceci ne fut rien quand j'ai inséré cette cartouche pour la première fois dans ma GameBoy (oui, je dis "ma" et je vous emmerde !) et que cette introduction se déroula sous mes yeux ébahit... Une émotion qui ne me quitta pas un seul instant, tout au long de mon périple. De mes débuts pénible sur la plage, a recraché l'eau salé et pesté contre le sort qui a égaré mon épée et mon bouclier, jusqu'à l'oeuf de Yoshi géant (j'ai jamais compris le rapport... même si oui je sais, c'est pas un oeuf de Yoshi, c'pour la blague...) qui surplombait la montagne, en passant par cette scène touchante sur la plage avec la douce Marine.
Que de souvenirs. Et Toutou m'a bien saoulé aussi, il voulait jamais manger les algues que je voulais qu'il mange !



Les apports de l'épisode :

La petite Gameboy ( ndFrey : ha, lui aussi il dit "la" ! ) peut paraître ridicule mais elle démontre toute l'étendue de sa puissance par des licences phares ( Tetris, Pokémon ). Zelda: Link's Awakening fait parti de ce tour de force car, tout en reprenant les acquis de ses aînés, il se forge une identité propre. L'accent est mis surtout sur les émotions et le vivant des personnages qui laisseront une empreinte indélébile dans la série.



Si l'épisode de la Super Nes proposait une excellente qualité sonore, on considère la réussite musicale à partir de cet épisode ( ndFrey : parle pour toi ! ) par la présence de musiques diverses et variées, collant parfaitement avec le lieu et le contexte, là où A Link to The Past payait quelques lacunes comme certaines peu inspirées comme la musique de cave ou celles des donjons ( ndFrey qui squatte à mort le texte : ouais, si on veut, m'enfin tu chipotes là, qui a dit comme d'hab ? ). Et de plus, c'est à partir de Link's Awakening que chaque donjon aura son thème, fini les musiques de palais récurrentes.



Comme cité plus haut, la mise en premier plan des émotions se révèle durant tout le jeu. Vous vous souvenez forcément de ce fantôme qui veut revoir sa maison, de Tarkin qui part dans la forêt et est transformé en raton-laveur, de Pépé le ramollo qui vous raconte tout et nimporte quoi et il y a tant de gens attachants ( ndFrey : le coq, la sirène au bikini et j'insiste sur le bikini, Mr Wright qui est amoureux de Peach, le type qui tient le magasin... heu non pas lui, c'est un enfoiré ! ). Chaque personnage est unique et marquant, on se souvient tous de ce pauvre Toutou qui a été enlevé ou de Marine, chantant la mélodie du poisson-rêve ( ndFrey : Marine, je t'aime ! ). Encore un argument? Certains boss vous parlent, craignent de disparaître au vu de la menace que vous représentez, vous souvenez-vous de ce boss qui vous dit de peu son point faible car trop sûr de lui? De ce temple à la mélodie douce et angoissante vous révélant le terrible secret de l'île?



Un autre PNJ va laisser une trace dans les suites venant à votre rencontre, il s'agît ni plus ni moins du hibou. Un autre marquera l'histoire de Twilight Princess. Même si aucune information ne permet de l'affirmer et que les deux PNJ ont une attitude radicalement différente, on peut faire les rapprochements des deux soldats squelettes, l'un étant le mini-boss du donjon 5 de Zelda LA et l'autre un ancien chevalier ( ndFrey : ouais, encore un fantasme de Siderth, faites pas gaffe... ).



Ce Zelda exprime l'émotionnel aussi bien sur la forme que sur le fond. La réflexion est souvent ébranlée, confondant rêve et réalité, la vie et la mort, le bien et le mal. De même, l'humour y est omniprésent. Rappelez-vous de Tarkin qui tente de soutirer le miel d'une ruche avec un bâton, du duel entre Toutou et Kiki le singe après s'être mutuellement insulté, de cette sirène qui nous accuse de petit coquin lorsqu'on plonge sous l'eau près d'elle, de ce morse qui, dormant en plein milieu de la route, tombe à la renverse dans l'eau. Le jeu s'amuse de lui-même avec ses célèbres phrases : “ C'est ça le progrès”, “Voyou”, “C'est ton épée parce qu'il y à ton nom écrit dessus” ( ndFrey : moi je me rappelle surtout de Madonna qui nous raccroche à la gueule des qu'on prend le téléphone ! ).



Sur la forme, le jeu garde en parti ce que Zelda 3 a apporté. Mais un élément va venir titiller toute la mécanique bien huilée. C'est la plume, un objet servant à sauter par dessus trous et obstacles ou éviter une charge. Le système de sauts ne pose alors plus aucune contrainte comparé à Zelda: A Link to the Past et l'environnement 2D subit une petite métamorphose agréable, rendant l'épisode unique. On peut noter la combinaison des flèches-bombes, reprise plus tard dans Twilight Princess, la palme qui dote Link de la capacité à plonger dans les eaux en vue horizontale et de la boussole indiquant les coffres, les clés et la salle du boss ( déjà inclus dans Zelda 3 pour la salle ). Coté des mini-jeux, on trouve plus de diversité comme les chutes en radeau ( repris dans Twilight Princess ), la pêche et la grue pour attraper des objets. Les objets de triforce et glands, lâchés par les ennemis, permettent de renforcer votre attaque ou votre défense mais ne connaîtront pas de redite ( sauf peut-être dans les oracles ).



Coté mécanique, Les deux slots qu'on trouvaient dans le premier Zelda font leur grand retour mais cette fois-ci l'épée est un item comme les autres, dès lors on peut assigner ce que l'on veut sur les boutons A et B. Plus gros changement, et de taille, c'est l'apparition d'une quête annexe basée sur l'échange d'objets où l'émotionnel gravitera en permanence. Il sera réutilisé plus tard pour l'épée Biggoron dans Ocarina of Time. L'instrument de musique subit une petite mutation, car il sera possible de jouer 3 airs différents aux propriétés variées et on peut dire également que leur obtention se fait par apprentissage ( certes mit en scène ). Une petite nouveauté est le vol à l'étalage. Je rappelle que cette pratique est punissable par la loi ou celle du marchand dans cet épisode qui s'occupera de votre fessier si vous tentez de le piller ( ndFrey : un enfoiré je vous disais... ).



Plus surprenant, ce zelda est l'initiateur de clins d'oeils envers les mascottes de Mario ( la peluche Yoshi ) et la présence de goombas dans certains couloirs de palais, en vue de coté rappellant celle de Zelda 2. Cette vue remet au goût du jour la plateforme horizontale mais diffère d'Adventure of Link. Au fil de l'aventure, vous serez amené à rendre des services auprès de la population de Cocolint ( ndFrey : pour les deux du fond, c'est l'île sur laquelle se déroule l'aventure ), plus ou moins en vie. Certaines récompenses sont bénines mais d'autres seront des objets pour progresser dans votre quête. Ces sous-quêtes sont plus ou moins imposées à votre gré mais cela vous pousse aussi à parler à tout le monde, un élément pas forcément mis en valeur dans Zelda 3.
Pour terminer avec les clins d'oeil, de nombreuses références seront au rendez-vous et surtout celles en rapport avec Zelda 1, visible en particulier sur le bestiaire.



Les donjons n'abritent pas que des boss. Il y aura toujours un mini-boss au milieu de palais qui tentera de vous barrer la route. Sa mort fera apparaître un téléporteur à son point et à l'entrée, permettant au joueur de voyager rapidement de l'un à l'autre ( repris dans les épisode portables, et parfois sous d'autres formes dans les Zelda sur console de salon ). Le level-design des temples à subi une refonte et désormais chaque palais possède un ou plusieurs mécanismes concrets qu'il faudra déjouer pour se frayer un chemin vers la salle du boss. Le donjon 7 est la parfaite illustration de cette structure hautement complexe et travaillée comparé à l'image des palais de zelda 3 qui restaient classiques ( ndFrey : autant je trouve le palais de l'eau de OOT chiant, autant j'adore le palais 7 de ce jeu... et son boss est ultime ! ). Les boss ont même une affiliation au nom du temple desquels ils se terrent et la géographie des salles rappellent celles utilisées dans zelda 1, représentant souvent une forme bien précise.



Enfin, le boss final du jeu se présente sous plusieurs formes qui se succèderont au fil du duel avec une technique particulière pour détruire chaque transformation. Si Ganon disposait de plusieurs attaques dans le 3 et d'une forme humaine, l'acquis de phases est initié dans cet épisode et se répercutera directement sur les suites. Maleficio est le premier antagoniste de l'histoire à différer de l'habituel Ganon, absent de Zelda 2, mais présent lors d'un game-over.



Conclusion subjective, ou presque !

Siderth :

Que dire de ce zelda qui atteint la quasi-perfection? Tout simplement un bijou, une émeraude absente de couleur mais d'une richesse inégalée. Certes, il reprend principalement le contenu des ses aïeuls mais l'histoire et l'émotionnel ont fait un bond de géant. Comment résister à un jeu si magique? Que d'émotions et de souvenirs pour une si petite cartouche, comme quoi, on peut faire des merveilles à partir de peu. Si je n'avais qu'un défaut à citer, ce serait la fin du jeu car après le douleureux réveil, je n'avais qu'une seule envie, me rendormir pour encore rêver.

Freytaw :

Je ne redirais sans doute jamais ça, donc profitez-en bien mais... les mots de Siderth au dessus (je parle que de sa conclusion hein, faut pas déconner) sont en parfaite adéquation avec ce que je pense de ce jeu. L'émotionnel a une place réellement puissante dans cette épisode. Un émotionnel que je retrouverais un peu dans OOT, mais qui m'explosera de nouveau à la figure dans Majora's Mask et plus récemment, Skyward Sword. Mais cet épisode Gameboy est si touchant, si troublant (sa fin en a traumatisé plus d'un, d'ailleurs ma mère aurait du m'emmener chez un psy après ce jeu je pense !), si fort... Même ces ennemis qui te parlent, te condamnent... Tout ce jeu te fait réfléchir et te transporte. On est encore bien loin des RPG occidentaux à "choix" (Mass Effect ?) que l'on nous offre aujourd'hui, mais pourtant à l'époque, avec cette simple histoire linéaire, tu avais l'impression que chacune de tes actions avaient un poids important. Peut-être qu'à cette âge là (je devais avoir dans les 10 ans quoi !), j'étais aussi plus enclin à recevoir en pleine face la morale de l'histoire, mais je n'ai pas le souvenir d'avoir été autant marqué au fer rouge par un jeu que comme ce Zelda m'a marqué. Marine, le Poisson rêve, et tout ces couillons qui peuplent cette île imaginaire, je ne les oublierais jamais. Là où Zelda 3 fut plus tard pour moi une aventure solitaire épique, Link's Awakening restera pour toujours une aventure riche de rencontres magiques.



Interview sur l'épisode avec Mr_Pity :

Q1: Comment t'es tu procuré le jeu?
Alors il me semble que c'était pour mon 6 ème ou 7 ème anniversaire, j'avais demandé ce jeu à mes parents pour mon anniversaire. J'avais été naturellement attiré par ce jeu et je le voulais, je sais par ailleurs toujours pas pourquoi je le voulais lui en particulier (à l'époque, je n'avais jamais touché à un seul jeu Zelda). Mais je ne le regrette absolument pas.

Q2: Qu'elles ont étés tes premières impressions?
Mes premières impressions sur ce jeu alors... Oh là, ça date un peu maintenant... Mais il me semble que je me disais juste que c'était génial, et un peu difficile pour moi à l'époque aussi.

Q3: Pourquoi ce zelda est-il ton préféré? En quoi le trouves-tu supérieur aux autres?
C'est un peu tout ce qui différencie ce Zelda des autres qui en fait mon Zelda préféré je pense. Donc son ambiance, scénario, humour et toutes ses références (Mario, Peach, Luigi, Kirby et pas mal d'autres encore...) en plus d'une histoire au fond très sérieuse et au dénouement plutôt triste.

Q4: Ta musique préférée dans cet épisode?
La ballade du Poisson-rêve. Que je considère aujourd'hui encore comme une des meilleures musiques de tous les Zelda confondus. Et je me souviens qu'à l'époque j'avais sauvegardé juste avant d'entrer dans le poisson-rêve pour pouvoir l'écouter à volonté.
( ndFrey : c'est bien sidekick ! Quoi, t'as cru que j'allais pas intervenir ici aussi ? Cette musique est sur mon téléphone aujourd'hui et me réveille tout les matins... n'est-ce pas amusant d'ailleurs ? La balade du poisson-rêve qui me réveille... c'est d'ailleurs surement pour ça que j'arrive tout les matins en retard au boulot... hum bref )

Q5: Que penses-tu globalement du jeu ( forme, fond ) ?
Bon bah mon avis sur ce jeu ne peut tout simplement pas être objectif je crois... Je le trouve tout simplement génial sur tous les points, et la "nostalgie" aidant (vu qu'en plus c'était mon premier Zelda), je n'ai même pas réussi à trouver qu'il avait vieilli lorsque je l'ai refait récemment...

Q6: Racontes-nous une petite anecdote croustillante lors de tes aventures.
Je sais pas si ça sera amusant, mais en tous cas, la première fois que j'ai fait ce jeu, je me suis retrouvé bloqué au 6 ème donjon. Alors à l'époque, j'en avais eu marre, et j'avais tout simplement recommencé le jeu en espérant trouver la solution du donjon 6 en recommençant le tout. Ca n'avait pas fonctionné et j'étais resté bloqué sur ce donjon pendant bien une année quand même (alors qu'il me semble que la solution n'était même pas si difficile que ça à trouver...) Sinon, au tout départ sur ce jeu, je me souviens qu'avec ma soeur, je m'occupais des boss sur sa partie et elle des énigmes sur la mienne ( rires ).

Q7: Quel élément du jeu t'a le plus rebuté?
Et bien, à cause de ce que j'ai raconté ci-dessus, le donjon numéro 6 est la chose qui m'a le plus rebuté du jeu (enfin une certaine énigme du donjon 6). Quand je l'ai refait récemment, rien ne m'a agacé je crois, j'ai progressé assez aisément partout et avec beaucoup de plaisir.

Q8: Cites-nous, avec argumentation, un défaut du jeu.
Il n'a pas de remake récent! Ah c'est pas considéré comme un défaut ça? Bon alors... Euh il y a quelques bugs dans le jeu, mais ça ne m'a jamais trop dérangé vu que je pense pas qu'on puisse vraiment tomber dessus par hasard. Ah si, ptet le fait qu'on ne puisse prendre certaines photos qu'à des moments précis (ainsi que des coquillages) et que si on loupe le moment, on ne peut jamais les avoir, et vu comment les photos sont, pour la plupart, marrantes, c'est dommage de passer à côté. Ouais, rien de trop agaçant non plus...

Q9 ( sans rapport avec l'épisode concerné ) : Si tu étais Link, avec quelle copine sortirais-tu? ( Zelda, Ruto, Marine, ect ).
Alors déjà, ça commence mal, que ce soit pour les ressemblances physiques ou le courage ou même la violence, c'est pas pour moi. Enfin, si je devais faire un choix, en premier, j'aurais dit Marine, mais elle se transforme en mouette (faut avoir fait le jeu pour comprendre) donc moyen... Midona est plutôt intelligente et fourbe, ça contraste bien avec Link, je pense que ça serait le meilleur choix pour lui.
( ndFrey : t'as raison gamin, laisse moi Marine, pour son côté "mouette", je trouverais bien une solution ! xD )

Bonus images Link's Awakening :

Message édité 2 fois. Dernière édition par Siderth le 22/01/13 à 12:05.



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Atteint de SegaMania ( et c'est contagieux en plus ! ). Sega c'est plus fort que toi !

Message laissé le 22/01/13 à 12:31

Excellent dossier ! Les interventions de Frey' rendent la lecture plus facile (ou du moins divertissantes). Ah que de souvenirs , rien que le marchand qui t'attendait avec un Kaméhaméha si tu avais volé un item. Faut que je me le refasse ce Zelda.

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I'm a Hero !

Message laissé le 22/01/13 à 12:54

Ah ce jeu! Et Pépé le Ramollo est loin de raconter n'importe quoi, au contraire, ces conseils peuvent s'avérer précieux
Encore une fois, un dossier très bon, et très bien illustré. Mais c'est vrai que Siderth fait pas mal de suppositions un peu bizarres

Et en effet, c'est un bikini, j'ai par ailleurs été surpris en faisant la version game boy color (que j'ai fait récemment sur 3DS) de voir qu'ils avaient changé ça. Du coup quand tu vas à côté d'elle dans l'eau et qu'elle te traite de coquin, ça n'a plus vraiment de sens

Frey, quand tu dis que tu trouveras un truc pour la mouette, tu me fais un peu peur

Et ce marchand... Il aurait pu s'occuper de tous les donjons lui avec son laser. C'est le perso le plus puissant du jeu

Ah et j'ai une question, il paraît que le poisson-rêve est dans Skyward Sword? Enfin il a un autre nom, mais il ressemble réellement à celui du jeu. C'est vrai ou on m'a encore raconté des bêtises? (ce qui est malheureusement très possible )

Message édité 1 fois. Dernière édition par Mr_Pity le 22/01/13 à 12:55.



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Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 22/01/13 à 14:56

Il n'est pas dit que Narisha (l'entité qu'on croise dans SS) soit le Poisson Rêve. Et franchement, j'en doute. Un cousin tout au plus... Narisha est l'esprit des cieux. Et il ne ressemble pas trop à une baleine... Bref, encore une supposition de fan hystérique !

Et merci Poring pour ton commentaire !
En effet, j'ai aussi opté pour ce genre d'intervention (j'aurais du en abuser plus sur ALTTP) pour apporté un peu de légèreté sur le contenu bien massif de ce dossier

Message édité 1 fois. Dernière édition par Freytaw le 22/01/13 à 14:58.



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Club des Papas !

Message laissé le 22/01/13 à 16:43

Citation :

Bon j'admets pour le chevalier squelette, j'ai un peu trop tatillé

Poring > Effectivement, les interventions de Frey apporte de la fraîcheur aux écrits. Mais Frey, je t'ai à l'oeil pour Ocarina of Time

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Atteint de SegaMania ( et c'est contagieux en plus ! ). Sega c'est plus fort que toi !

Message laissé le 22/01/13 à 17:28

C'est un des rares zelda auquel je n'ai pas joué (n'ayant pas eu de gameboy). En tous cas, il donne envie, même si je suppute un peu d'envolée lyrique quant au festival émotionel du jeu.
Mais en gros, de ce que j'ai compris, zelda 3 a instauré les mécaniques, et A Link's awakening sublime ce dernier en y apportant une vraie histoire et un univers.
Pity dit qu'il n'y a pas de remake, mais dans les illustrations, il y a un écran titre qui fait penser à un remake, est-ce juste un fan art ?

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"With kindness comes naïveté. Courage becomes foolhardiness. And dedication has no reward. If you can't accept any of that, you are not fit to be a Magical Girl."
でも!でも!かわいいからOK!

Message laissé le 22/01/13 à 17:36

Je pense que ça doit être un fan art l'image dont tu parles. Et concrètement, il y a eu un "remake" mais ils ont juste ajouté des couleurs et un donjon plutôt moyen, donc je le considère plus comme un portage qu'autre chose. (Un portage d'un jeu Game Boy sur Game Boy Color en gros...)

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Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 22/01/13 à 18:04

Citation :

L'envolée lyrique vaut son pesant de cacahuètes et je ne pense pas que tu trouveras grand monde disant le contraire ce zelda est considéré encore aujourd'hui comme l'un des meilleurs par les fans. Je te le conseille vivement surtout si tu es fan de zelda.

LA ne va pas sublimer Zelda 3. Si les mécanismes restent, la majorité du jeu se veut complètement différente. Et si l'on devait rapprocher LA d'un autre zelda, ce serait zelda 1.

Il existe une version DX ( jeu en couleurs ) et un remake 16-bits dont hooper à fait une vidéo mais ce projet à été avorté à la fin du level 1. Après, comme dit le Hooper, la version monochrome y'a que ça de vrai.

Message édité 1 fois. Dernière édition par Siderth le 22/01/13 à 18:04.



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Atteint de SegaMania ( et c'est contagieux en plus ! ). Sega c'est plus fort que toi !

Message laissé le 22/01/13 à 20:18

Y'a surement un peu de nostalgie quand on parle de touche émotionnel. Faut toujours prendre un peu de recul ! Mais très clairement, à titre de comparaison, il est bien plus "émouvant" que bon nombre d'autres Zelda.

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Club des Papas !

Message laissé le 23/01/13 à 00:34

Bah honnêtement, pour y avoir rejoué un peu récemment, je vais te dire que c'est exactement la même émotion que quand j'étais gamin. Oui, la nostalgie est là mais quand je me dis que j'ai du au moins terminer plus de 20 fois le jeu, c'est plus que par nostalgie.

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Atteint de SegaMania ( et c'est contagieux en plus ! ). Sega c'est plus fort que toi !

Message laissé le 23/01/13 à 16:58

Toujours un très beau dossier ! Ce Zelda est celui qui m'est le plus inconnu (avec Adventure of Link également). Je l'ai découvert assez récemment et n'ai pas été marqué plus que ça le long du jeu. Par contre la fin est vraiment magnifique.

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"You've met a terrible fate, haven't you ?"

Message laissé le 23/01/13 à 17:36

En même temps, tu ne jures que par Majora's Mask Dommage qu'il ne t'ai pas plus marqué car il s'agît quand même d'une des pierres angulaires de la série.

Dire que j'en étais rendu à avoir des sauvegardes juste pour me refaire un boss que j'aimais bien, c'est dire combien j'étais atteint

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Message laissé le 23/01/13 à 17:47

Citation :

Même pas vrai ! Et pis dans Majora's Mask, les boss tu les refais quand tu veux !

Plus sérieusement, c'est vrai que que j'aime beaucoup Majora's Mask mais les autres opus également. Chaque Zelda est si différent qu'il est dur de les comparer.

Le truc qui m'a le plus plut dans Link's Awakening, c'est l'item permettant de sauter. Même si je le connaissais de la série des Oracles, à l'époque ce devait être une sacrée innovation !

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"You've met a terrible fate, haven't you ?"

Message laissé le 23/01/13 à 17:58

C'était bien fun oui de décoller les pieds du sol ! (même si on pouvait effectivement sauter dans Zelda II)

Mais ce n'est qu'un coté technique ça. Le potentiel du jeu se trouve (encore une fois) dans les rencontre que l'on fait tout au long de l'aventure.

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Club des Papas !

Message laissé le 23/01/13 à 18:05

Citation :

Ah ben oui c'est vrai (preuve que Adventure of Link, je le connais pas bin du tout ). Mais avec cette vue du dessus, ça change grandement les level-design et ça permet aux passages en vue de côté de flirter avec la plate-forme.

Pour les rencontres, c'est vrai que c'est important car cela maintient l'intérêt tout au long du jeu. Dans cet opus, on ne sait jamais sur quoi on va tomber

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"You've met a terrible fate, haven't you ?"

Message laissé le 23/01/13 à 18:18

C'est justement sur l'émotionnel qu'il faut voir la force de ce zelda. Pour ce que tu disais zanoss, chaque zelda est certes différent mais certains s'inspirent d'autres comme Phantom Hourglass pour rester contemporain.

Puisqu'on parle de la plume, les trous existent depuis zelda 2 et la façon de les franchir appartiennent aussi à cet épisode. Mais l'exploitation du mécanisme est complètement différente et on se rend compte que cet élément est bien plus diversifié dans Zelda LA. Et pour les trous faisant passer d'une map à l'autre c'est aussi le 2 ( aller pan dans la figure de zelda 3 ).

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Message laissé le 31/01/13 à 13:33

L'effet nostalgie joue probablement à fond en ce qui me concerne, car il s'agit, pour moi aussi, de mon premier Zelda, joué et possédé.

Découvert succintement chez un ami, après que son Amiga a refusé de nous laisser jouer à Another World (que j'ai du coup acheté peu après sur Mega Drive en guise de représailles), il m'a fallu attendre environ un an et demi (soit février 1996) et la découverte à la Fnac d'un pack Game Boy + Link's Awakening (+ Tetris) avant de m'aventurer sur l'île Cocolint.

Je ne sais plus combien de temps m'a pris cette aventure, mais elle a été un délice du début à la fin. Les personnages, les dialogues, les musiques, les événements qui se produisaient hors donjons, les quêtes annexes... Evidemment, le jeu était en noir et blanc, mais avec le style simple des graphismes et les sprites de personnages tout mignons, je lui trouvais plus de charme qu'à A Link to the Past, plus chargé. Et puis que dire du passage au temple du sud où l'on découvre que l'île disparaîtra lors du réveil du Poisson-Rêve, avec une variante de la Ballade du Poisson-Rêve, qui me donne aujourd'hui encore des frissons lorsque je l'écoute hors contexte. Et puis, Marine... J'adorais lui dire que je n'avais rien écouté quand on la retrouve sur la plage

Pas mal de temps que je me dis que j'aimerais y rejouer, car ma précédente partie (la deuxième) remonte déjà à quelques années...

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Did you get the number of that donkey cart?

Message laissé le 31/01/13 à 17:56

La nostalgie est là c'est sur mais c'est vraiment le premier zelda qui va instaurer les émotions. Zelda 3 reste plat dans l'ensemble, on s'y sent seul, vraiment seul. Dans LA, des dizaines de personnages participent passivement ou activement à l'avancée de l'aventure et rien que ça c'est magique.

Ca vaut largement toutes les innovations de Zelda 3 non?

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