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Blork & size.fac > Articles de Siderth > Les jeux vidéo > [Réécriture] Nintendo 64 : L'échec d'une gagnante

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Message laissé le 25/12/12 à 23:07

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Introduction :
La Nintendo 64 est conçue et produite par Nintendo en collaboration avec Silicon Graphics et sera la dernière console de la 5ème génération à voir le jour. Le contexte est favorable pour le constructeur qui voit en son monstre de puissance un atout majeur prêt à tout fracasser sur son passage.

La Super Nes, forte de ses 49 millions d'unités vendues et la reconnaissance auprès d'un public acquis, donne des ailes à la firme du plombier. Il reste cependant Sega, devenu gênant avec la MegaDrive, que Nintendo compte bien dominer comme durant la 3ème génération.

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Le duel des titans :
La 4ème génération de consoles a vu l'une des plus âpres bataille entre deux géants du jeu vidéo. Sega, dont la notoriété était fébrile, parvient à destabiliser Big N avec un jeu mythique, Sonic The Hedgedog. Dès lors les ventes de sa Megadrive explosent et concurrencent nettement une Super Nes glorifiée en son temps. Si le Japon est tenu par Nintendo et que l'Europe chavire pour la console du hérisson, les USA deviennent un champ de bataille féroce.

Mais l'avenir va sourire à Nintendo qui compense sa faiblesse grâce à la firme Argonaut. Les puces créées par cette société vont renforcer la vitesse de calcul de la Super Nes pour repousser les limites de la console, engendrant la création de jeux somptueux. A contrario, Sega connaît un échec terrible avec son Mega-CD, le décrédibilisant dans le monde vidéoludique. La réussite de Nintendo lui permet de remporter la victoire avec une différence de 20 millions de consoles vendues.

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Un nouvel adversaire :
L'échec du Mega-CD va contraindre Sega à se tourner une fois de plus vers l'avenir car l'objectif est de prendre de court Big N comme ce fut le cas avec la Megadrive. Plusieurs projets sont lancés en parallèle dès 1992 dont une console tournée vers la 3D. Seulement, la concurrence aimerait bien aussi avoir son boût de gâteau et se lance elle aussi dans la bataille.

Atari, Panasonic, Philips mais surtout Sony qui suite à son partenariat chaotique avec Nintendo décide de sortir une console, la Playstation. Mais pas d'inquiétudes chez Sega et Nintendo qui ne soucient pas vraiment de cette menace, d'autant que le constructeur est novice en la matière. En 1993, les projets sont annoncés chez chacun des constructeurs et Nintendo doit absolument répondre.

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La création d'un colosse :
Tout commence en 1993 lorsque Nintendo annonce au Tokyo Games Show son futur projet de console, le Project Reality, en plus de déclarer fièrement son partenariat avec la société Silicon Graphics, spécialisée dans le rendu 3D. Cette collaboration doit permettre de franchir une nouvelle étape dans le monde du jeu vidéo, tellement boulversante qu'elle rangerait au placard les futures consoles de la concurrence selon le PDG de Nintendo, Mr.Yamauchi.

Big N assure à la presse que sa future machine sera bien plus puissante que les consoles de la concurrence, aussi puissante que les super-ordinateurs SGI ( $50.000 tout de même ), pour un prix dérisoire de $250. Cette déclaration n'est pas sans heurts puisque les futures 32bits sont annoncées à $500 dollars pièce alors que le prix d'un tel monstre est exhorbitant, autant dire qu'on croît à un gros coup de bluff de Nintendo.

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Un choix contesté :
1994 sera l'année de l'offensive pour notre géant. Loin de se tourner les pouces, la firme présente par le biais de deux jeux de bornes d'arcades les futures capacités de son monstre. Histoire d'en rajouter une couche pour rappeler à la concurrence qu'il n'est pas loin, Nintendo fera une déclaration à la veille de la sortie japonaise de la Saturn pour attirer l'attention sur lui. En mai de la même année, la firme japonaise divulge le futur nom de son bébé, elle s'appellera Ultra 64 et sera dotée d'un support cartouche.

Cette annonce fait grincer des dents la presse et les développeurs qui ne sont pas dupes. Derrière les justifications du constructeur que sont le piratage et les temps de chargements, il y a la volonté de vouloir tout contrôler comme Nintendo l'a toujours fait depuis sa Famicom, lui permettant ainsi de toucher des royalties sur chaque jeu. Malgré cela, le constructeur nippon se voit apporter quelques soutiens de quelques tiers.

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Préparatifs :
En été 1994, le design de la console est dévoilé au public. Un design futuriste, tranchant nettement avec les anciennes consoles de Nintendo mais surtout l'ajout de 4 ports manettes, une première pour une machine de salon. Cependant, la manette n'est pas présentée car non finalisée et aucun jeu n'a daigné montrer le bout de sa truffe. Une date de sortie est annoncée, 1995 pour le japon et 1996 pour le reste du monde.

En Novembre de cette année, Donkey Kong Country, fruit de la collaboration Nintendo-SGI, débarque sur Super Nes et impressionne le monde vidéoludique. Pour Nintendo, ce n'est qu'un avant-goût du formidable potentiel de l'Ultra 64. Mais le son de cloche n'est pas le même dans la presse déçue par les caractéristiques annoncées par la firme et le manque d'annonces de jeux.

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Sony V.S Sega :
Fin 1994, la Saturn de Sega aborde les côtes japonaises. Un premier succès est rencontré mais un mois plus tard, la Playstation débarque à son tour sur le marché avec un prix attractif de $300 contre $500 pour sa concurrente. Parti favori, Sega se fait ramasser à la petite cuillère par le nouvel arrivant dont les kits de développements étaient de meilleurs qualité. Résultat, Sony obtient le soutien de nombreux tiers et s'octroie un catalogue impressionnant à la sortie de sa machine. Mais le géant multimédia est loin de s'arrêter en si bon chemin.

Alors que Nintendo est contraint de repousser la sortie de l'Ultra 64 pour Novembre 1995 au japon et Avril 1996 aux USA et en Europe, Sony fait une annonce choc au cours de l'E3 1995, la Playstation sera vendue $200 au lieu des $300 initiaux aux USA. Cela affole complètement Sega qui s'emmêle les pinceaux une fois de plus, de fait la Saturn ne survivra pas à cette énième négligence de ses dirigeants. Sony règne alors sur un monde sans la moindre concurrence et engendre des parts colossales de marché.

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Le géant vacille mais ne tombe pas :
Loin d'être inquiet du sort de son rival, Nintendo excuse le retard de sa console avec une arrogance incroyable. En réalité, Nintendo n'a pas voulu perdre la façe contre Sony. A 10 éditeurs plus ou moins prestigieux contre une centaine pour Sony, on comprend le choix de Nintendo. Fort heureusement pour notre géant, des éditeurs de poids arrivent pour épauler le monstre, Electronics Arts et Squaresoft.

Août 1995, le design de la manette est présenté au public et est censé "révolutionner" la jouabilité, en effet Nintendo à vu juste car la concurrence fera de même par la suite. Ce coup de maître va redorer un blason quelque peu terni, en plus de faire un pied de nez magnifique à la concurrence qui propose l'ancien système de croix directionnelle.

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Un tour de force incroyable :
En novembre 1995, et avec 10 jeux pratiquement réalisés, Nintendo annonce la sortie de sa console dans un délai d'un an maximum. Un second retard qui ne manque pas d'hérisser le poil de la presse fatiguée des annonces contradictoires de Big N.

Cependant, des prototypes de l'Ultra 64 sont proposés en version jouable avec Shadow of The Empire mais surtout un Super Mario en 3D qui ébahi tout le salon. Malgré les caractéristiques techniques décevantes par rapport aux promesses, la démonstration, les vidéos de futurs jeux et la manette sont chaleureusement accueillis.

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Un pied dans la tombe :
Alors que Nintendo avait une première fois repoussé la sortie de sa console, les dates annoncées sont à nouveau repoussées à quelques mois. La presse reste sceptique à cette annonce et ce n'est pas la firme du plombier qui va la rassurer. Une énième annonce tombe, confirmant la crainte de plusieurs spécialistes, l'Ultra64 renommée courant février 1996 en Nintendo 64 voit sa sortie repoussée en juin 1996, soit un an de plus que sa sortie initiale.

Un tel retard est expliqué par un manque de stock mais officieusement, les développeurs rencontrent de grandes difficultés à coder sur le support cartouche, plus contraignant que le CD. Cette accumulation de reports successifs en plus des contraintes du support cartouches va faire fuir certains éditeurs. Certains jeux seront purement et simplement annulés quand d'autres comme le cultissime Final Fantasy 7 se feront la malle chez Sony.

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Un lancement fulgurant :
La Nintendo 64 est lancée le 23 juin 1996 au japon, soit plus d'un an et demi après la sortie de la Saturn. La stratégie marketing de Nintendo s'appuie grandement sur Super Mario 64 puisque seulement 3 jeux garnissent une ludothèque très pauvre. Le passage 2D vers la 3D tant redouté par Nintendo passe comme une lettre à la poste, ainsi 300.000 acheteurs prennent possession de la bestiole au premier jour.

Le succès du lancement à l'effet bénéfique de réduire le prix de la console passant de $250 à $199 aux USA et en Europe. Les lancements dans ses régions sont excellents et la révolution Mario est en marche et ce malgré un retard de distribution assez important en Europe, surtout en france ( septembre 1997 ).

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Le colosse s'essoufle :
Si le lancement est un succès, les ventes commencent à dégringoler car trop peu de jeux soutiennent la Nintendo 64 contrairement à la Playstation qui est sans cesse arrosée de hits. De plus, les cartouches n'aident pas car leur coût de production est 25% plus élevé, de fait les jeux N64 sont plus chers à l'achat que les jeux 32bits, sans parler de la difficulté de programmation. De même la Nintendo 64 souffre de lacunes graphiques, notamment un brouillard qu'on lui reprochera souvent.

Il semblerait que Nintendo ait opté pour un système de diffusion vidéo composite, de moins bonne qualité que le classique RVB disponible sur les modèles d'essais de l'Ultra 64, par conséquent la qualité de l'image fut altérée. On ignore les raisons d'un tel choix, cependant au fil du temps et avec l'arrivée de l'expansion pak, les défauts graphismes seront corrigés.

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Le bras de fer :
Profitant de la déchéance de Sega et des nombreuses erreurs de Nintendo, Sony frappe un grand coup sur la table avec un jeu phare, Final Fantasy 7. Le jeu rencontre un grand succès dans son pays d'origine et aux USA et c'est la déferlante en Europe. La Killer App de la Playstation flingue la Saturn qui ne s'en relèvera jamais et cartonne la Nintendo 64 pas au meilleur de sa forme.

Mais Nintendo réplique en milieu d'année avec l'arrivée de plusieurs licences phares : F-Zero X, 1080 Snowboarding et surtout Zelda 64. Par ailleurs on annonce une future extension pour accroître la mémoire des cartouches, le fameux 64DD. Sa présentation est un succès incroyable, d'autant que beaucoup de tiers se montrent intéressés par le projet.

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La riposte :
Les éditeurs tiers affluent sur la nouvelle extension de Nintendo et ce dernier déclare une liste assez conséquente de titres garnissant la ludothèque de sa console. De nombreux jeux prévues au départ sur cartouches seront prévus pour l'extension. Cependant en 1997, aucune trace du 64DD, l'arrivée de l'accessoire est repoussé tandis que les annonces de jeux fusent.

Zelda 64, prévu à la base sur l'extension 64DD, se verra finalement porté sur support cartouche. La sortie du jeu en 1998 est un succès jamais égalé, 6 millions d'unités vendues en 2 semaines. Les joueurs et la presse prennent une baffe monumentale, le jeu est qualifié de "meilleur jeu de tous les temps" et se verra attribué la note exceptionnelle de 40/40 par le magazine Famitsu.

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La descente aux enfers :
Alors qu'un avenir radieux s'ouvre à Nintendo, ce dernier fait traîner le projet 64DD. Plein de promesses, l'addon est repoussé un nombre incalculable de fois alors qu'un grand nombre d'éditeurs se proposent pour développer des jeux sur ce nouveau support. Durant le SpaceWorld de 1997, aucun jeu n'est encore disponible et l'accesoire se voit encore repoussé.

1998 sera l'année de la dégrigolade car plus personne ne croit au projet sauf Nintendo lui-même. En 1999, Nintendo arrête les rumeurs et annonce que 10 jeux sont prêts avec l'extension, le tout prévu pour décembre. Au final, deux jeux seront disponibles au lancement pour un prix ( le 64DD ) élevé. Les ventes sont désastreuses et les promesses loin d'être tenues. C'est un échec cuisant pour Nintendo.

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L'effondrement du leader :
La frénésie Zelda passée, Nintendo paie les lacunes de ses erreurs passées. Les ventes de la Playstation surpassent celles de la Nintendo 64 grâce à une ludothèque richement garnie. Ironie de l'histoire, la console de Big N dispose d'un meilleur rapport de jeux vendues par console et surtout d'une cinquantaine de Million Sellers.

En 1999, la console n'est soutenu que par son créateur et Rare dont Nintendo est actionnaire majoritaire. Pour pallier à son image d'"enfant", Nintendo annonce le développement de jeux visant d'autres publics. Mais malheureusement pour la firme, la plupart de ces jeux se verront porter sur d'autres supports.

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Les dernières cartouches :
La fin de vie de la Nintendo 64 voit arriver un petit accessoire formidable pour la console, l'expansion pak. Donkey Kong 64 est le premier jeu à bénéficier de cet ajout de puissance et le résultat est somptueux. Malgré que le projet Dolphin soit enclenché, la Nintendo 64 n'est pas pour autant abandonnée pour le plus grand plaisir des fans.

Zelda Majora's Mask, Mario Party, Super Smash Bros et Perfect Dark viendront éblouir une dernière fois un monstre de puissance à l'agonie. Conker's Bad Fur Day concluera ce festival de bombes car la Nintendo 64 arrive sur la fin de vie, laissant place à sa petite soeur, la Gamecube.

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Un échec cuisant mais une réussite vidéoludique :
La Nintendo 64 verra sa production se stopper au cours de l'année 2002. Elle aura totalisé 33 millions d'unités contre 104 millions pour la Playstation de Sony et 10 millions pour la Saturn de Sega. On parle souvent de semi-échec car si d'un côté les erreurs ont étés nombreuses et parfois incompréhensibles, les jeux de la N64 n'ont rien à envier à ses concurrents. Elle aura même apporté plusieurs révolutions comme les 4 ports manettes, le rumble pak ( vibrations manette ) et le joystick pour le maniement dans un monde 3D.

La Nintendo 64 fut ma plus belle expérience de joueur et encore aujourd'hui, je la considère comme la meilleure console jamais créée. Quel choc de voir un Mario tout en 3D pour la première fois et que dire de Zelda Ocarina of Time, un vrai bijou, une réussite dans tous les sens du terme.

R.I.P

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Sources :
http://www.nintendo64ever.com/Historique-Nintendo-64-Lancement-Succes.html
http://legend64.e-monsite.com/pages/la-console/l-histoire-de-la-nintendo-64.html
http://haruko-maru.blogspot.fr/2012/08/nintendo-ultra-64.html
http://revival-games.com/nintendo-64.html
http://www.grospixels.com/site/n64.php
http://www.obsolete-tears.com/nintendo-64-machine-89.html
http://nintendoforever.free.fr/N64/_autres/Dossiers/Dossiers_DD64.php
Vidéos :
http://www.youtube.com/watch?v=Vz4eVmk3sW8

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Message édité 10 fois. Dernière édition par Siderth le 08/09/13 à 11:02.



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Atteint de SegaMania ( et c'est contagieux en plus ! ). Sega c'est plus fort que toi !

Message laissé le 26/12/12 à 22:26

Article très intéressant, je savais plus ou moins que la N64 avait été un "échec" mais pas vraiment dans les détails. A l'époque, ces vrai que la totalité de mes amis tournaient sur PS1. Je me sentais seul du coup mais j'étais ravi d'avoir un Banjo Kazooie plutôt qu'un Crash Bandicoot Smiley : icon_yeux_triangle1.gif

Et bien, une console ayant Majora's Mask... bref je ne vais pas m'étendre là dessus (merci pour le clin d'oeil Smiley : icon_yeux_triangle1.gif).

J'ai l'impression que cette console est un peu comme la Dreamcast, boudée en son temps mais maintenant reconnue dans le retrogaming (à moindre échelle bien sûr).

C'est vrai qu'à l'époque les arguments de Nintendo était clairement la puissance. Aujourd'hui ils ont pris un tout autre chemin. Mais je les comprend tout à fait. Maintenant une plus grande puissance sert "juste" à embellit l'image. Avant, une plus grande puissance signifiait surtout pouvoir faire de nouveaux gameplay. Passer à la 3D nécessite un gain de puissance, mais avoir une finesse de l'image non.
Je ne veux pas rentrer dans le débat "les graphismes ne servent à rien". On est en "droit" de voir toujours mieux, mais c'est loin d'être aussi impactant qu'avant.



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"You've met a terrible fate, haven't you ?"

Message laissé le 28/12/12 à 19:17

Encore une fois avec tes articles, ce sont des choses que je connais mais c'est tu l'écris très bien, si bien que j'ai l'impression d'encore apprendre des choses Smiley : icon_yeux_triangle1.gif



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Message laissé le 29/12/12 à 19:52

Tout cela me paraît fort pertinent, très bon article



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Message laissé le 30/12/12 à 14:11

Tu le soulignes à juste titre Zanoss. Elle n'est jamais vraiment morte car elle à eu des jeux d'une qualité énorme et reconnue. Certains fans de Nintendo s'intéressent aussi à son passé et c'est une bonne chose, c'est un peu la revanche de Nintendo sur Sony.

On parle de la puissance mais il faut admettre que quand c'est exploité pour l'innovation, ça en jette pas mal. Pour ceux qui ont connu mario en 2D et voir le jeu entierement modélisé entre 3D, c'était magique, tout simplement majistral.



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Message laissé le 31/12/12 à 00:17

Comment commenter un article sur une partie de l'histoire des JV à laquelle je n'ai nullement assisté (quand bien même j'en connais les éléments)? Pour le coup, je me contenterai de dire qu'il est très bien écrit et tout aussi bien explicatif pour ceux qui ne savaient pas grand-chose sur ce phénomène. Bien joué, mon cher Siderth! Smiley : icon_yeux_triangle1.gif



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Merci et bravo à Blast pour ces userbars! Image

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Message laissé le 02/01/13 à 16:36

Un article très bien construit et très instructif, chapeau ! Smiley : lag33.gif

Pour ma part, j'avais la Playstation à cette époque. Je ne me suis acheté une N64 que depuis très récemment.

Je trouve que malgré le support cartouche, la N64 a quand même pas mal d'arguments.

Pour ma part je préfère les joysticks de la Playstation contrairement à celui de la N64 que je trouve horrible...



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"Nos rêves sont notre raison de vivre, mais notre raison de vivre n'est pas un rêve." - BlueLombaX

Message laissé le 02/01/13 à 18:10



Citation :


DracoLombax a écrit :

Pour ma part je préfère les joysticks de la Playstation contrairement à celui de la N64 que je trouve horrible...




Bah il faut leur pardonner, après tout c'était le tout premier stick analogique de l'histoire Smiley : icon_yeux_triangle1.gif. Mais on ne peut pas nier qu'ils vieillissent extrêmement mal. Heureusement qu'il existe des pièces de rechange !



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"You've met a terrible fate, haven't you ?"

Message laissé le 03/01/13 à 11:45

C'est un peu la critique facile mais je préfère le stick de la manette 64 car d'une part il adhère aisément au pouce ( celui de la psx est lisse ), d'autre part concernant sa précision que je trouve meilleure.

On peut ajouter aussi que la prise en main du stick ( main gauche ) est ergonomique et ne donne pas de crampes au pouce, contrairement à la manette psx.

Le gros souci c'est plus la durée de vie du stick, qui une fois usé était moins confortable.



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Message laissé le 31/07/13 à 01:26

Petit up pour dire que l'article à été réécrit et est bien plus long que celui de base. Voila voila Smiley : icon_yeux_triangle1.gif



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