Blork et size.fac
Séparation haute

Envoi de message privé Fermer ce menu

Destinataire : *

Message : *

Envoyer ce message privé

Les champs marqués d'un * sont obligatoires.

Menu : profil et inscription Fermer ce menu

Si vous avez oublié votre mot de passe, merci de nous indiquer les renseignements suivants :

Votre pseudo : *

Adresse email de votre profil : *

Les champs marqués d'un * sont obligatoires.

Blork & size.fac > Films, animes et séries > Les films du vide-grenier

Page [ 1 2 3 4 ]

Bas de page

Message laissé le 23/01/13 à 02:20

Pour Kick Ass, j'ai bien aimé le film, même si je l'ai trouvé un peu long par moments...

Le Dictateur est un film que j'apprécie énormément. Il me fait rire autant qu'il peut m'émouvoir. Et ce discours de fin est juste magnifique. Et puis bon, Charlie Chaplin joue juste formidablement bien là-dedans. (La scène où il rase le mec en rythme avec la musique m'impressionne à chaque fois que je la vois)

Pour les temps modernes, je pense qu'il a un peu trop vieilli. Alors certes, il se regarde bien et la critique est très souvent toujours valable, mais j'ai moins accroché.



- - - - - - - - - -
Image
Image
Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 23/01/13 à 18:43

Je n'ai pas du tout apprécié Kick-ass, trop grotesque pour être sérieux, et pourtant trop sérieux pour être drôle, je ne suis vraiment pas la cible. Heureusement que j'étais très bien accompagné Smiley : lag18.png
J'espère avoir l'occasion de voir un jour des films de Charlie Chaplin, je n'ai que quelques films de Buster Keaton dont la narration est inégale…
Freaks, je ne sais pas si je pourrai le voir… mais ça fait un moment que j'y pense.

Quant à Vorace… j'peux pas dire, c'est vraiment pas ma came Smiley : icon_yeux_triangle1.gif



- - - - - - - - - -
code ami Switch : SW-3328-2412-9032

Message laissé le 23/01/13 à 18:58

C'est ce côté un peu hybride qui me plait dans Kick-Ass, justement. Smiley : icon_yeux_triangle1.gif

Pour les Charlie Chaplin, je suppose qu'ils ont tous assez vieilli, ce qui est naturel, ils ont quatre-vingts balais. Par contre, je comprends que l'aspect muet des Temps Modernes puisse être déroutant, c'est une forme cinématographique assez spéciale qui demande un peu d'adaptation.

Freaks est en effet un film très rude ( Je ne parle pas des malformations. ), si tu es facilement ému par ce contexte, le regarder pourrait être assez éprouvant, oui. Cela dit, si tu cherches quand même à le voir, tu peux facilement le trouver ( Il a été réédité en DVD. ) à bas prix ( Six euros neuf. ).



Message édité 1 fois. Dernière édition par Anathème le 23/01/13 à 18:59.



- - - - - - - - - -

Message laissé le 23/01/13 à 20:08

Je viens de tilter pour Freaks, c'est un film génial mais très traumatisant. J'ai beaucoup aimer le film Kick-Ass mais le comic m'avait déçue mais d'une force... beaucoup moins poignant et crédible que la variante du film pour moi.



- - - - - - - - - -
Image
Image

Message laissé le 23/01/13 à 23:43

Ha mais carrément Ama. Je trouve que le comics en rajoute une couche justement sur ce que décrit Yohm plus haut sur le film. En gros, si c'est un peu vrai dans le film, cet ambiguité, c'est juste trop vrai pour le comics que j'ai aussi trouvé très bof au final. Le film passe vingt fois mieux et dédramatise un peu le truc tout en le rendant (sauf la fin xD) plus crédible.



- - - - - - - - - -
Image
Image
Image

Club des Papas ! Smiley : lag28.png

Message laissé le 30/01/13 à 16:01

L'Ordre et la morale> Sans vouloir trop rentrer dans le débat qui a gravité autour du film (à juste titre ?) j'exprime mon avis sur le film (que je n'ai pas vu) juste à travers ma position à l'égard du réalisateur. Je déteste Mathieu Kassovitz. En tant qu'acteur, en tant que réalisateur, en tant qu'être humain. Voilà ! Le mec, il a du talent, du charisme, du potentiel mais il arrive généralement à tout foutre en l'air à cause de ses incompréhensibles caprices. Dans une adaptation d'un bouquin de Grangé il balance une scène de combat bruitée par le jeu Tekken (authentique), lors de plusieurs cérémonies, il pète son câble et insulte tout le monde et lorsqu'il joue, il affiche toujours ce petit air auto-suffisant laissant penser qu'il n'a strictement rien à foutre de ce que les spectateurs pourront dire de sa prestation. Ben moi, ça m'énerve. Son comportement a fait de lui une personne détestable si bien que je boude tous les films auxquels il participe et tant pis si je rate quelque chose. Donc, même si les intentions sont bonnes pour ce film, il ne m'intéresse pas et je ne le regarderais pas. Mais c'est quand même bon de savoir que de nos jours on sait encore faire des film intelligents. Dommage que ce soient des cons qui les réalisent.

Vorace> Oui... Mais non ! A la base, j'avais acheté le film grâce à son casting. Très vite, la boucherie commence sans trop qu'on sache pourquoi. On se tape des personnages énervants (le héros en tête suivi de très prêt par le faux-muet qui, ouf, se fait vite expédier) et une ligne narrative qui avance dans le mauvais sens. Les espèces de twist sont passables (le méchant qui revient mais du côté des gentils) (j'ai toujours pas compris ce passage) et on est plus en présence d'une tentative de faire du Tarantino que de l'horreur. Comme les deux aspects sont ratés, le résultat est forcément éprouvant. Et je trouve que Robert Carlyle joue très mal dans ce film.

Kick-ass> Ce qui m'énerve le plus au sujet de ce film (après la prestation de Nicolas Cage) (bien évidemment), c'est qu'il a eu droit à son petit succès alors que bien supérieur Super de l'indécrottable James Gunn (sorti la même année) est passé inaperçu. Ok, c'est plus violent, plus crade, plus taré, plus tout mais ça implique également "plus assumé" et "plus anti-conformiste". Et puis James Gunn, il sait vraiment mettre en scène ses méchants. Tout le monde ne peut pas en dire autant.

J'ai revu Ocean's Eleven grâce à une rediffusion récente. Finalement, le film passe plutôt bien. Je n'aime ni Julia Roberts ni George Clooney (ce qui est plutôt embêtant quand on regarde ce film) mais j'aime bien le film, malgré ses énormités. Le casting aide à faire passer la pilule.



- - - - - - - - - -
Guide d'utilisation du forum
Comment créer son blog ?
Comment poster une image ?
Comment utiliser la balise "quote" ?

Mémo : Faire un nouveau gif pour faire rire Moussaka
Faire une chanson pour Freytaw

Message laissé le 21/03/13 à 00:44

Je peux comprendre, comme je l'ai déjà dit, rien que l'évocation du nom « Tarantino » me fait perdre toute curiosité à l'égard d'un film. D'ailleurs, il a participé à Sin City, et je ne l'ai su qu'après, me rendant compte qu'il était à l'origine de la seule scène que je trouvais totalement moisie dans le film… hier, un pote avec qui je regarde souvent des films d'arts martiaux avait entendu parler d'un film qui s'appelait The Man with the Iron Fists, sensé être une sorte d'hommage au cinéma d'exploitation des arts martiaux… on a regarde la bande-annonce ensemble, et… bah… ça s'annonce bien merdique, j'irai pas.

J'ai vu beaucoup trop de films ces derniers temps pour faire de longs avis dessus, donc je vais faire une série d'avis courts Smiley : icon_yeux_triangle1.gif

J'ai revu Shaolin Soccer (少林足球, couleur, 2001, réalisé par Stephen Chow).
Je me suis rendu compte que tout le film est en cantonnais, sauf les dialogues avec la fille (qui sont en mandarin). Si certains passages (comme la finale, qui prend un petit tiers du film) ne se sont pas bonifiés avec le temps, les deux premiers tiers (de la version longue) sont vraiment très bons, et ce fut un réel plaisir. Smiley : icon_top.gif


J'ai revu Un Prince à New York (Coming to America, couleur, 1988, réalisé par John Landis).
C'est marrant. Pas un chef d'œuvre de finesse, mais c'est franchement pas mal avec du recul. J'ai notamment été surpris de constater que, ce que j'ignorais étant petit, Eddie Murphy jouait plusieurs rôles, et le faisait très bien, sans tomber dans l'excès de ce qu'il fera par la suite (et que Tropic Thunder parodie à la perfection). Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


J'ai revu Superman II (1980, couleur, réalisé par Richard Lester).
Un nanar, donc très agréable à regarder en VF avec des potes et des boissons. Smiley : icon_dj.gif


J'ai revu La Vie est un Long Fleuve Tranquille (1987, couleur, réalisé par Étienne Chatilliez).
Il n'a pas pris une ride. Certaines scènes sont mythiques, et les acteurs sont vraiment très bien choisis. J'ai pris beaucoup de plaisir à le revoir. Smiley : icon_top.gif


J'ai revu Tatie Danielle (1990, couleur, réalisé par Étienne Chatilliez)
Un condensé de mauvais sentiments qui prend à contrepied la bienveillance du troisième âge. J'y ai également pris beaucoup de plaisir. Smiley : icon_top.gif


Le Bonheur est dans le Pré (1995, couleur, réalisé par Étienne Chatilliez)
On y balance la fin de façon un peu trop abrupte. Michel Serrault et Eddie Mitchell sont parfaits dans leurs rôles, mais le film manque d'au moins une réécriture, qui l'empêche d'être excellent. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


Le Tatoué (1968, couleur, réalisé par Denys de la Patellière).
Avec Gabin et De Funès. Pas un chef d'œuvre du tout. C'est pas beau, c'est pas bien écrit, on esquisse deux-trois sourires, mais ça se traine et c'est surjoué. Smiley : icon_oh.gif


Le Bon Roi Dagobert (1963, noir et blanc, réalisé par Pierre Chevalier).
Un film qui joue sur les anachronismes. Malgré la présence de Pierre Doris, Galabru, et Fernandel dans le rôle principal, c'est un film qui a vieilli. Il faudrait que je revoie les films de Jean Yanne pour voir si c'est le genre qui ne supporte pas l'âge, ou si c'est juste celui-ci qui ne va pas. Smiley : icon_oh.gif


La Machine à Explorer le temps (Time Machine, 1960, couleur, réalisé par George Pal).
Une vision intéressante et très différente du film éponyme de 2002. Outre le fait que j'aie enfin découvert d'où venaient les samples de Yep (Afini) (de l'album Radio Blood Money, par le Peuple de l'Herbe), le côté nanardesque du film le rend fort appréciable (je n'ai pas encore vu la VO). Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


Les Vieux de la Vieille (1960, noir et blanc, réalisé par Gilles Grangier).
La prise de son est calamiteuse, ça gueule et ça sature dans tous les sens. Le trio Gabin, Noël-Noël et Pierre Fresnay se donne à cœur joie à réciter dans leur rôle de pécore les verbiages d'un Audiard en roue libre. Trois vieux sur le chemin de la maison de retraite… une farce divertissante. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


Archimède le Clochard (1959, noir et blanc, réalisé par Gilles Grangier).
Scénario mal écrit. Encore des dialogues d'Audiard, que Gabin, Bernard Blier et Darry Cowl arrivent à faire passer, mais rien de transcendant. Un clochard cultivé, c'est facile et cliché (peut-être à cause de Coluche, mais j'étais pas là en 59 pour savoir si c'était novateur à l'époque Smiley : icon_yeux_triangle1.gif). Smiley : icon_oh.gif


Touchez pas au Grisbi (1954, noir et blanc, réalisé par Jacques Becker).
Une histoire de truands, avec Gabin et Lino Ventura. L'ambiance est bien retranscrite, les dialogues sont de Simonin, qui n'a rien à envier à Audiard. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


La Bête Humaine (1938, noir et blanc, réalisé par Jean Renoir).
Tiré du roman de Zola, si l'ambiance est poignante, et la scénographie typique de Renoir qui sait retranscrire l'authenticité à la perfection, l'absence totale de repère d'identification fait que je n'ai pas pu m'attacher aux personnages, et que donc je n'ai pas spécialement apprécié. Et comme beaucoup de films des années 30, ça se finit avec un goût amer dans la bouche. Smiley : icon_oh.gif


Maria Chapdelaine (1934, noir et blanc, réalisé par Julien Duvivier).
Parmi les premiers rôles de Gabin. C'est très intéressant, il s'agit d'un film au sujet des Québécois. On a droit à un texte explicatif au début, qui caresse nos cousins du Grand Nord dans le sens du poil, mais qui nous dit que par soucis de compréhension, on leur emprunte leur vocabulaire mais pas leur accent (faut pas déconner). De toute façon, ils prennent quand même un accent de province (Normand je dirais), ce qui fait que sans sous-titres, on ne comprend pas grand-chose. C'est intéressant de voir la façon dont c'est filmé et monté, et le film est rythmé de bout en bout par des chansons. Par contre, c'est du 1934, alors il faut s'accrocher. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


Le Jeu de la mort (Game of Death, 1978, couleur, réalisé par Robert Clouse)
Alors c'est vrai que la majorité des films de Bruce Lee sont mauvais (en fait, à part un, c'est pourri). Mais là, c'est le summum, et c'est normal. En effet, Bruce Lee commence ce film en 1972, arborant son désormais mythique pyjama jaune . Mais Bruce Lee meurt en 1973, après avoir tourné une quantité infime de scènes. Le film est donc un prétexte pour montrer ces scènes, et c'est… abominable. Vraiment abominable. On lui colle un sosie avec des lunettes de soleil pour pas qu'on voit que le haut du visage ressemble encore moins que le bas. Le scénario n'a ni queue ni tête, et cherche à justifier sa tenue aussi bien que les quelques scènes tournées, de manière totalement ridicule. Les faux raccords sont légion, ils n'hésitent pas, par exemple, à faire un gros plan sur une image d'archive se passant en extérieur, en contrechamp, alors que la scène se passe en intérieur.
Ce film est un nanar, un véritable nanar. Il y a même une scène où la voix de l'acteur manque, c'est dire le degré de nanardise. Et il a eu droit à une suite… que je n'ai pas encore vue, mais ça ne saurait tarder. Par contre, cette fois-ci, ça sera en français, parce qu'un nanar des années 70, en français, ça devient un super nanar. Smiley : icon_oh.gif


Le Jeu de la Vérité (1961, noir et blanc, réalisé par Robert Hossein)
Ça commence par les mêmes mots, mais c'est pas pareil, quand même. Déjà, on y retrouve ce fantastique acteur qu'est Paul Meurisse. Je vous avais déjà parlé de Maigret et l'Affaire St Fiacre, l'un de mes films préférés. Ici, on se retrouve de nouveau dans un cluedo. La différence, sûrement, c'est que c'est un huis clos. L'ambiance est vraiment excellente, le décor, certes unique, est somptueux, la musique oscille entre du Bach et du jazz « lounge », et quand elle se tait, ne reste plus que le balancier de l'horloge. Pas que l'on compte les heures, mais c'est le métronome qui montre la tension monter. On pourra reprocher à M. Hossein de s'être octroyé un rôle important, et comme souvent dans ce cas, de ne pas être au niveau. Mais le film reste un grand moment, où une bourgeoise qui s'ennuie en vient à se déchirer, révélant ce qu'ils sont. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif


Hero (2002, couleur, réalisé par Zhang Yimou (張藝謀))
J'étais gêné au début du film, comme quand une fille nous fait écouter une chanson d'amour et qu'on a toutes les idées du monde sauf de l'écouter. Non pas que mon pote qui me l'a ramené était spécialement sexy, mais je ne voulais pas le blesser en lui disant que c'était vraiment trop ridicule pour moi. Et puis, je me suis pris au jeu. Si l'on peut reprocher à 張藝謀 d'avoir privilégié l'esthétique au rythme et à l'intelligence du montage, il faut dire que ses arguments se défendent. Oscillant entre le « clairement trop » et le « absolument magnifique », ce que j'ai retenu de ce film, c'est que je veux le revoir, et dans une belle édition blu-ray. C'est un Wuxia (武俠), les films d'épéistes stupides au possible dont j'avais parlé il y a pas mal de mois de ça . Mais celui-ci a l'intelligence d'utiliser le fameux héros comme un fil rouge. Le film est constitué de plusieurs récits, qui se complètent (voire se contredisent). Chaque version du récit est coloré différemment, ce qui permet de ne pas mélanger les histoires. On retrouve ce dialogue esthétique dans Matrix ou encore le Seigneur des Anneaux, à la différence qu'ici ils se veulent parallèles et non linéaires. Les chorégraphies sont aériennes (à outrance), et Jet Li tout comme Donnie Yen ne sont finalement que des outils pour la mise en scène, loin de ce que Tsui Hark ferait. Le montage est parsemé de courtes ellipses assez déroutantes. On peut rendre au moins une chose à ce film, c'est qu'il s'affranchit de certains codes du cinéma.
Un film à voir à l'occasion. J'avoue que la qualité médiocre du DVD a quelque peu gâché mon plaisir, car j'aime les belles images, et le film n'est que ça. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif



Message édité 2 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 21/03/13 à 00:49.



- - - - - - - - - -
code ami Switch : SW-3328-2412-9032

Message laissé le 22/03/13 à 13:04

Hola ! Je vais avoir de quoi papoter avec toi, moi ! Pour l'heure, comme je ne peux pas taper un long discours (mais ça viendra parce que là, tu envoies du lourd) j'aimerai juste savoir quel passage de Sin City est lié à Tarantino. J'ignorais moi-même ce détail. Peut-être que fera tilt quand tu me le diras.



- - - - - - - - - -
Guide d'utilisation du forum
Comment créer son blog ?
Comment poster une image ?
Comment utiliser la balise "quote" ?

Mémo : Faire un nouveau gif pour faire rire Moussaka
Faire une chanson pour Freytaw

Message laissé le 25/03/13 à 14:36

Il s'agit de la scène avec Miho, le stéréotype asiatique avec un katana et un shuriken Smiley : lag33.gif
[mise à jour] J'ai regardé Sin City ce soir, je trouve toujours cette scène pas folichonne, mais je pense que c'est davantage dû au personnage de Miho. J'ai voulu en savoir plus sur la scène de Tarantino, et en fait, ce n'est pas celle-là, c'est celle où Dwight et Rafferty sont dans la voiture (et que Rafferty se met à délirer sur la cigarette). J'aime bien cette séquence, aussi je présente mes excuses au petit Quentin et à ses parents Smiley : icon_clown.gif Mais ça n'excuse pas Death Proof. Jamais. Smiley : icon_non.gif

Sinon, j'ai enfin vu Avatar hier en tant que film, et pas en tant qu'attraction. J'avais reproché au film d'avoir apporté la 3D, et donc de m'avoir obligé pendant son visionnage à régulièrement enlever mes lunettes pour cause de maux de tête et de mal de nez. Et puis, ça m'empêchait de me concentrer sur autre chose que l'image (genre, le scénario à tout hasard). On me prête le blu-ray, et j'avais la ferme intention de me réconcilier avec ce film. Grossière erreur. Sans la 3D, le scénario réapparaît. Et se faire prendre pour un imbécile pendant presque trois heures, c'est désagréable. Mais je ne vais pas m'attarder sur ce film, il n'en vaut pas la peine. Passons à la suite Smiley : icon_yeux_triangle1.gif

En recherchant le blu-ray d'Hero, il semblerait qu'en France il soit impossible de se procurer une édition de qualité. Les avis semblent unanimes, la qualité d'image, que ce soit sur l'édition originale ou sa récente réédition, équivaut à un DVD. La bonne nouvelle, c'est que ce n'est pas le cas de la version britannique, éditée par Miramax, que l'on trouve sans soucis sur amazon.co.uk à un tarif très abordable Smiley : lag11.png
Cette recherche de la bonne édition de Hero m'a poussé à entreprendre de nouveau des recherches pour un film que je veux revoir depuis longtemps, et qui, pour une raison qui m'échappe totalement, n'est pas édité en France en blu-ray.



A Scanner Darkly (2006, couleur, réalisé par Richard Linklater)
En voilà, un film qu'il est intelligent. Tiré d'un roman de Philip K. Dick, il étonne vraiment par la façon dont il aborde son sujet. Je ne vais pas tourner autour du pot, il s'agit de la drogue. Mais, alors que je n'ai normalement aucune envie de voir un film traiter de ce sujet, A Scanner Darkly m'a d'abord bassement séduit par son esthétique.

Image

Je n'ai pas l'habitude de mettre des captures des films dont je parle, mais si jamais vous n'avez jamais vu ou entendu parler de celui-là, ça me paraît important. Oh, et pour voir ça animé, c'est par ici Smiley : icon_yeux_triangle1.gif
Revenons-en au déroulement du film. Au lieu de représenter un monde sale, gris, violent, douloureux, A Scanner Darkly nous invite à assister au quotidien de camés de banlieue à la Substance D, sans jamais nous sortir vraiment du « trip ». Ainsi, sans être totalement indolore, on se retrouve surtout témoin d'échanges sans queue ni tête. Des doux dingues, complètement carbonisés, ce qui ne change rien au tragique de la situation. Il y a bien sûr tout une intrigue parallèle, mais ça, je vous en laisse la surprise, comme d'habitude.

Image

Le film a été entièrement tourné, puis intégralement repeint par des artistes graphiques, via un logiciel de rotoscopie. On se retrouve donc avec un rendu précis comme du vectoriel (ce qui est très impressionnant sur blu-ray), particulièrement graphique, et qui garde l'intégralité de la performance d'acteur. C'est un travail hallucinant, d'autant plus qu'il s'agit d'un film à petit budget. Le résultat, c'est cette vision étrange, où le décor flotte un peu, où tout semble être presque vrai, et totalement faux à la fois. Et pour un film qui traite de la drogue, c'est on ne peut plus pertinent.

Image

Les acteurs sont très bons, de Downey Jr. l'extravagant, à Keanu Reeves le perdu, en passant par Woody Harrelson le gentil allumé, Rory Cochrane le psychotique ou Winona Ryder la junkie, la galerie est parfaite.

Image

De la part de l'auteur de l'innommable Fast Food Nation (où Bruce Willis nous apprend qu'il aime manger de la merde), difficile de savoir à quoi l'on pouvait s'attendre. Il en résulte une œuvre très intéressante, qui mérite vraiment d'être vue.
En évitant avec brio les pièges que le sujet tend (j'en parlais dans Flight), et sans jamais verser ni dans le pathologique, ni dans la comédie, on se retrouve face à une œuvre vraiment unique, originale, et bien équilibrée. Il faudra peut-être le voir deux fois pour tout saisir, mais même une troisième fois, cela reste un plaisir.



Petit épilogue au sujet du disque en lui-même. L'édition que j'ai achetée possède le code-barre 883929130931, son ASIN est le B003M8NGQM, il s'agit d'une version importée des États-Unis achetée sur Amazon (ici ). Il n'est pas zoné. Il ne possède pas de piste française, mais les sous-titres sont présents en anglais et en français. Le commentaire audio, par contre, n'est pas sous-titré, est désordonné et le son du film pas assez diminué, ce qui fait qu'il est peu agréable à suivre (je ne suis pas allé jusqu'au bout).



Message édité 2 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 25/03/13 à 23:48.



- - - - - - - - - -
code ami Switch : SW-3328-2412-9032

Message laissé le 25/03/13 à 15:50

Ho ! A Scanner Darkly !

C'est un des films que je veux voir depuis un moment, mais que je m'interdis de regarder avant d'avoir lu Substance mort, étant assez fan de K. Dick, j'aimerais découvrir l'œuvre originale avant l'adaptation.

Ca m'a motivé à le lire un peu plus rapidement que prévu en tout cas. Smiley : icon_yeux_triangle1.gif



- - - - - - - - - -

Message laissé le 25/03/13 à 17:15

Complètement intrigué par ce film dont je n'ai étonnement jamais entendu parler !! :O
Faut que je vois ça :/



- - - - - - - - - -
Image
Image
Image

Club des Papas ! Smiley : lag28.png

Message laissé le 02/04/13 à 14:26

Content que ça vous ait intrigué, il mérite à être plus connu. C'est quand même fou qu'il ne soit pas distribué en France, ça m'hallucine de tels cas.

Sinon, nouvelle fournée :

Gas-oil (1955, noir et blanc, réalisé par Gilles Grangier)
Gabin enfile ici l'un de ses personnages fétiches, celui d'un routier. Autant dire que ça lui va comme un gant, et avec Audiard aux manettes, on peut s'attendre à du grand. En réalité, le film ce veut très banal, sans grande saveur. On y célèbre l'amitié des gars de la route, car comme dirait Max Meynier, les routiers sont sympas. On appréciera de voir Roger Hanin bien avant qu'il ne devienne Navarro (un mélange de navarin d'agneau et de colombo de poulet), et la belle Jeanne Moreau en maîtresse d'école, bien avant qu'elle ne téléphone-maison. L'image est souvent très sombre, la faute à des plans d'extérieur sous un ciel bleu de campagne, alors forcément, si on veut pas un ciel blanc, tout ce qu'il y a en dessous est gris-foncé. Et c'est pas génial.

Image

S'il est toujours intéressant de voir par la lorgnette à quoi ressemblait cette vieille France des années 50, il n'empêche que ce film manque d'audace, et se fait facilement oublier.
En un mot comme en cent, pas incontournable. Smiley : icon_hum.gif



Close Encounters of The Third Kind (1977-1998, couleur, réalisé par Steven Spielberg)
Je précise tout de suite que le film existe en trois versions, et que je n'ai vu que la dernière (director's cut) de 1998, effectuée à l'époque pour sa réédition en Laserdisc.
On peut dire que c'est un film qui va au fond des choses. Alors certes, deux jours plus tôt j'avais vu Batman avec Julien Lepers, et là je me tape des extraterrestres avec François Damiens. Mais passons, on n'entend presque pas son accent belge dans le film. Un, par contre, qui a un fort accent, c'est François Truffaut (qui parle toujours mieux que Michel Ancel), que je fus très étonné de voir à l'écran. Et dans un rôle important, en plus. Close Encounters of the Third Kind est génial. Les couleurs sont belles (désaturation typique de l'époque), les effets spéciaux, réalisés à partir de maquettes, sont de toute beauté. Le film s'accroche surtout à donner de l'ambiance, là où la 3D aujourd'hui permet tant d'overdose visuelle qu'on y perd toute sensation de mystère au profit de la catastrophe. On y trouve des codes encore très actuels, des astuces très malines, des personnages attachants, une véritable intrigue. Gardant le suspense jusqu'au bout, le film ne dévoile pas ses cartes trop tôt, et les plus de deux heures passées dessus ne laissent place à aucun répit. Les plans sont superbement calculés, le montage est impeccable, les matte-painting somptueux, la photographie iconographique, et quand on voit que la même année est sortie Star Wars (A New Hope), on a du mal à croire qu'il s'agit de la même époque, malgré les remasterisations (bien évidemment, je ne dis pas ça pour faire du tort à Star Wars, la production n'est pas comparable, malgré la présence de McQuarrie aux esquisses et John Williams à la musique).

Image

C'est en tout cas un film que j'ai beaucoup apprécié, et que je recommande. Il est malin, et il est réussi. Smiley : icon_top.gif



Somewhere in the Night (1946, noir et blanc, réalisé par Joseph Loe Mankiewicz)
Honte à moi, honte à mon précédent revendeur qui faisait son beurre sur les films Pokémon, je ne connais pas Mankiewicz. D'ailleurs, c'est la nouvelle vendeuse qui m'a collé ce film dans la paluche, en me répétant à quel point il était génial et que j'allais forcément adorer. Elle voulait me le faire à 7 € au lieu de 10, mais je ne suis reparti qu'avec Batman (qui a bien vieilli, mais c'est toujours mieux que les films pas marrants de Nolan). J'ai cru lire dans son regard toute la déception, la tristesse d'un chien abandonné en été par ses maîtres, qui voit la voiture s'éloigner au loin, un peu comme le sujet de cette critique. Alors le lendemain, j'suis retourné la voir, lui demander si elle avait toujours son film réalisé par un homme de l'est et qui était génial, et c'est alors toute gazouillante qu'elle me refila le bébé, à 5 € sous le regard dépité de l'ersatz de John Lennon qui avait pourtant bien mis le disque dans la section à 10.
Une longue introduction car je n'ai rien à dire au sujet de ce film. Il est bien, quoi. Les décors sont réussis, l'intrigue fonctionne, on ne peut pas dire qu'il brille spécialement d'originalité, mais pour l'époque le scénario était sûrement très novateur. Essentiellement basé sur les personnages (et non sur l'action), à la manière des films français de cette époque, je me suis retrouvé en terrain connu, ce qui est très agréable. On a droit à des dialogues par ailleurs bien prononcés, qui me rappellent pourquoi j'aime tant regarder What's My Line sur Youtube, de ce temps où le vocabulaire avait beaucoup plus de mots, qui n'étaient pas des déclinaisons de « fuck », et où l'on articulait sans vomir.

Image

On y pousse une petite chansonnette dans un piano-bar, on apprend pourquoi les inspecteurs n'enlèvent jamais leur chapeau. Non, c'est vraiment bien, je n'ai rien à dire car je ne veux rien dévoiler de l'intrigue (une histoire d'amnésie, je m'arrête là), mais je le recommande vraiment si l'on aime les enquêtes de l'époque (par contre, je ne sais pas si ça correspond aux films américains de l'époque, n'ayant pas de référence). Smiley : icon_top.gif



Message édité 4 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 05/04/13 à 10:59.



- - - - - - - - - -
code ami Switch : SW-3328-2412-9032

Message laissé le 05/04/13 à 10:29

Rencontre du Troisième Type (je met le titre en français pour les autres...), c'est vraiment un super film que j'ai eu l'occasion de (re)découvrir sur le tard. Effectivement, un film très chouette et très intelligent, à la hauteur des productions de Spielberg de l'époque. C'est clair que l'image claquait !



- - - - - - - - - -
Image
Image
Image

Club des Papas ! Smiley : lag28.png

Message laissé le 05/04/13 à 13:12

Je reviens juste sur quelques films précédemment cités par Yohm'.

Shaolin Soccer

Au-delà de toute la partie critique à l'égard du sort (humour trop prononcé à mon goût), j'avais pris ce petit OVNI comme un film d'action à part entière et largement moins pire que pas mal d'autres. C'est exagéré mais ça passe très bien car même si les acteurs cabotinent (punaise, la scène du karaoké Smiley : icon_fatigue.gif ), on oublie vite tout ça avec les incroyables plans lors des matchs. Ok, parfois la synthèse déborde un peu mais ça reste plaisant à regarder. La déception n'en a été que plus grande quand j'ai subi le mauvais (en mon sens) Crazy Kung-Fu.


Superman II
J'étais persuadé que Richard Donner était responsable du film. Dans un sens, ça ne me choque pas tant que ça de réaliser que j'étais dans l'erreur car il est difficile d'identifier ce film au reste de son œuvre. Pour la partie "ratée", je pense qu'on a tous un peu les mêmes scènes en tête, même si on reste à des brassées au-dessus du triomphal (par sa connerie) Supergirl (et poutant j'aime bien Jeannot Szwarc). Il en est pourtant que moi, étant gosse, j'étais terrorisé par Zod, Ursa et Non... Et que ça a stoppé net tous mes rêves d'aller un jour dans l'espace.

La Vie est un Long Fleuve Tranquille
Classique indémodable dont la méchanceté n'a d'égale que l'humour profondément corrosif de certaines scènes (rien que le premier quart-d'heure). J'avais juste été déçu par la fin qui ne m'a jamais semblé à la hauteur du crescendo imposé par ce qui la précède. Sinon, la façon dont le portrait de chaque famille est peint est juste hilarant authenticité. En revanche, je ne sais pas si un public jeune peut percevoir le film de la même façon que ceux qui l'ont connu à la fin des années 80.

Je parlerai des films suivants dans un prochain message.



- - - - - - - - - -
Guide d'utilisation du forum
Comment créer son blog ?
Comment poster une image ?
Comment utiliser la balise "quote" ?

Mémo : Faire un nouveau gif pour faire rire Moussaka
Faire une chanson pour Freytaw

Message laissé le 05/04/13 à 13:15

Superman 2... J'ai rien de spécial à dire dessus. J'ai pas spécialement accroché, mais voilà quoi...

La vie est un long fleuve tranquille, alors pour celui-là... J'avais apprécié certains passages, trouvé d'autres un peu lent, et j'ai aussi trouvé la fin décevante. Je considère ça comme un film sympa, mais vraiment sans plus pour ma part.

Pour les autres films, je les ai pas vu donc bon...



- - - - - - - - - -
Image
Image
Robin Rangers Fire Up!

Message laissé le 06/04/13 à 14:47

Retour sur les vieux films du père Yohmi !

Tatie Danielle
Elle est odieuse... Tout court ! Punaise ! Ce film, il m'a fait rire mais je devrais en avoir honte car par certains plans, je me suis reconnu. Pas en tant que personne mais en tant que membre d'une famille qui part à la dérive. Ouais, parce que les vieux, de temps, ils vous foutent une de ces merdes ! Même sans être là (ce qui est encore plus fort). Rien que pour la performance de l'actrice qui arrive à passer au début pour une salope finie (un peu moins à la fin), ça vaut le coup. Au moins, après on relativise vis-à-vis de ceux qu'on estime être des emmerdeurs.

Le Bonheur est dans le Pré
Ce qui m'embête le plus avec ce film, c'est sa bande annonce. C'est d'ailleurs ce que j'avais préféré. Les acteurs ont un charme fou et on se croirait vraiment revenu dans un monde plus simple (à défaut d'être moins compliqué) mais si je devais choisir un film avec une ambiance similaire (au moins sur l'a priori), je regarderais plus volontiers une nouvelle fois Je Vous Trouve Très Beau.

Touchez Pas Au Grisbi
Rien à redire que ce qui a déjà été dit ! Punaise, à l'époque, on savait mettre en valeur les gueules des acteurs.

Hero
Celui-là, il m'a fait chier. Pas dans le sens où on pourrait le comprendre. Il m'a fait chier parce qu'il est époustouflant, parce qu'il est beau, parce qu'il raconte une histoire autant qu'il la montre, parce que les effets spéciaux servent la narration, parce que les acteurs sont bons... Mais aussi, bordel, parce qu'il est foutrement con par moment et incroyablement chiant si on est un minimum réfractaire au genre. Je n'ai jamais accroché à la mode Tigre et Dragon et rien que voir des mecs en pyjama se battre à l'épée en volant, ça suffit à m'emmerder profondément. Seulement là, le charisme des acteurs et l'envie de connaître la vérité sur cette histoire a suffi à me garder attentif durant tout le film. Mais c'est quand même pas évident !

----

J'ai profité d'une énième diffusion de La Maison Assassinée pour me le regarder une nouvelle fois. Ce film m'obsède. Etant gosse, j'avais vu quelques-unes de ses premières minutes, le temps de comprendre que le film n'était clairement pas pour moi (j'en ai mal dormi pendant quelques temps). Depuis, à chaque fois, c'est un petit plaisir coupable de le revoir, un peu comme si j'arrivais à faire semblant d'être à chaque surpris par la fin. Patrick Bruel joue bien, le film se tient sans surcharge mais il fait très mal aux jambes. Ca semble bizarre dit comme ça mais on comprend une fois qu'on l'a regardé.



- - - - - - - - - -
Guide d'utilisation du forum
Comment créer son blog ?
Comment poster une image ?
Comment utiliser la balise "quote" ?

Mémo : Faire un nouveau gif pour faire rire Moussaka
Faire une chanson pour Freytaw

Message laissé le 07/04/13 à 01:48

Pour Superman 2, c'est un peu plus compliqué que ça. Richard Donner avait bien été embauché par la Warner pour faire EN MEME TEMPS (ce qui était complètement dingue à l'époque) les deux premiers films de Superman. Mais le mec ayant son caractère, et les producteurs aussi, le contact est super mal passé entre eux. Chacun avait leur vision des films. Alors qu'il avait réalisé 75% du second film (source à vérifier là dessus), il a tout simplement été éjecté de la production et remplacé par Richard Lester. Cela n'a pas empêché le premier Superman de faire un carton monumental au box office, rapportant même plus d'argent que le second opus qui a cependant lui aussi, très très bien marché.

On peut quand même dire que si Donner n'est pas crédité comme réalisateur pour le second film, il y a quand même travaillé énormément à sa réalisation. J'ai appris tout ça avec les bonus du blu-ray du film en fait (sauf le 75% qui est un chiffre qui ressort juste un peu à l'arrache sur la toile, mais je sais que de nombreuses scènes avaient déjà été tourné en même temps que la réalisation du premier, c'est précisé dans les bonus. Questions décors et plan de tournage, obligatoirement...)



- - - - - - - - - -
Image
Image
Image

Club des Papas ! Smiley : lag28.png

Message laissé le 07/04/13 à 20:32

Merci pour ces précisions ! Ca a au moins le mérite d'être clair. Le premier épisode, à part Gene Hackman qui exagère un peu (comme à chaque fois, en fait), reste un gros monument dans le monde du cinéma. Il m'arrive de le revoir de temps en temps et je le trouve toujours aussi incroyable. Il vieillit mais moins mal que beaucoup d'autres films.

Mais je préfère tout de même Richard Donner quand il réalise un film de la série L'Arme Fatale.



- - - - - - - - - -
Guide d'utilisation du forum
Comment créer son blog ?
Comment poster une image ?
Comment utiliser la balise "quote" ?

Mémo : Faire un nouveau gif pour faire rire Moussaka
Faire une chanson pour Freytaw

Message laissé le 08/04/13 à 01:39

Ce premier Superman passe déjà mieux que le second je trouve. Même si effectivement, le Luthor de cette série de film est vraiment hum... out of character si je puis dire... xD
Y'a aussi le passage où Superman remonte le temps en faisant tourner la terre à l'envers mais heu bon... hahaha, on était moins regardant à l'époque (même dans les comics, ils oseraient pas xD)



- - - - - - - - - -
Image
Image
Image

Club des Papas ! Smiley : lag28.png

Message laissé le 08/04/13 à 23:43

Ce passage m'a toujours fait penser à une pub pour une marque de lessive. Je ne saurai pas trop expliquer pourquoi mais ça devait me faire penser à un logo...
Image
On crache sur le 2 mais celui dans lequel il affronte son double ou, pire, son équivalent solaire/atomique, ça envoyait aussi du pâté. Et il me semblait que son costume changeait parfois de couleur pour virer franchement vers le vert.

En fait, à part le premier, les autres sont un peu borderline, non ?



- - - - - - - - - -
Guide d'utilisation du forum
Comment créer son blog ?
Comment poster une image ?
Comment utiliser la balise "quote" ?

Mémo : Faire un nouveau gif pour faire rire Moussaka
Faire une chanson pour Freytaw

Haut de page

Page [ 1 2 3 4 ]

// Blam ! Version 2.0 Ecrit avec nos petits pieds 44 fillette. //


Télécharger : facile, amusant, génial