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Blork & size.fac > Films, animes et séries > Les films du vide-grenier

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Message laissé le 17/04/13 à 14:29

sf : Je ne me souviens pas bien de Crazy Kung-Fu, je sais que j'avais trouvé ça amusant, mais sans plus. L'image de la course m'avait marqué, car j'avais beaucoup aimé le côté « cartoon », mais ça reste un très vague souvenir Smiley : icon_yeux_triangle1.gif
Pour Hero, on a le même avis sur la chose… je vais bientôt regarder Le Secret des Poignards Volants, je ne sais pas encore où ça se situe Smiley : icon_yeux_triangle1.gif

Freytaw, il existe apparemment une version remontée par Richard Donner… enfin bon, le problème ne vient pas du montage de toute façon. Smiley : icon_yeux_triangle1.gif

Alors, de mon côté, je refais un tour rapide car j'ai encore trop de films à décrire.

La Bandera (1935, noir et blanc, réalisé par Julien Duvivier)
Les Banderas sont des milices de la légion étrangère espagnole, qui ont notamment combattu en Afrique du Nord. Pierre Gillieth, joué par Jean Gabin, est un homme qui veut faire oublier son passé. Il décide alors de rejoindre la légion étrangère pour être blanchi. Mais il est toujours recherché… Pour un film de 1935, les décors et l'ambiance sont vraiment incroyables. C'est un film d'avant-guerre, alors on y trouve aucune morale, aucun bon sentiment. Cela fait partie des premiers grands rôles de Gabin. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif

Le Jour se Lève (1939, noir et blanc, réalisé par Marcel Carné)
Isolé dans son appartement, assiégé par les forces de l'ordre, le passé de François (Gabin), honnête ouvrier sableur, se dévoile peu à peu… une tension palpable, une histoire difficile. Prévert est aux dialogues. Arletti minaude à la perfection. Encore un film d'avant-guerre, avec sa rudesse. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif

Le Port du Désir (1954, noir et blanc, réalisé par Edmond T. Gréville)
Une affaire de contrebande à Marseille, où Gabin révèle sa véritable seconde carrière en interprétant un capitaine de marine paternaliste. À noter le rôle de Léopoldo Francès, un acteur noir, très moderne pour l'époque. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif

Rue des Prairies (1959, noir et blanc, réalisé par Denys de la Patellière)
Gabin est un ouvrier qui revient de la guerre. Il a travaillé dur et conservé ses idéaux modestes comme beaucoup de membres de la classe ouvrière. Mais, sa femme décédée, ses enfants cherchent à s'émanciper, rêvent à la vie de cette nouvelle ère qui commence. On assiste alors au choc des générations, un père à la moralité exemplaire, désemparé par les agissements de sa famille. À noter une apparition de Léon Zitrone, et un rôle important pour Claude Brasseur à 23 ans. Et des dialogues d'Audiard. Un film très à-propos. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif

Lawrence of Arabia (1962, couleur, réalisé par David Lean)
Un classique, un vrai de vrai, avec son intro musicale, son entracte… une œuvre majeure de 3 h 21 (il existe même une version qui monte jusqu'à 3 h 47). Les décors sont incroyable, c'est beau, c'est tout. L'histoire est imprévisible, les personnages ont beaucoup de texture. J'ignore la part de réalité dans ce film, mais il est passionnant de bout en bout. Les acteurs jouent un rôle important pour faire vivre cela. On y trouve entre autres bien évidemment Peter O'Toole dans le rôle d'Edward T. Lawrence, officier britannique un brin excentrique, mais également Anthony Quinn qui interprète fabuleusement Auda ibu Tayi, un chef bédouin, ou encore Omar Sharif, au regard perçant. Le maquillage, l'éclairage, les costumes, les plans, avec ces acteurs forment une iconographie surréaliste, encore plus réussie que ne l'était celle des Dix Commandements six ans plus tôt. La musique de Maurice Jarre, père de la onzième plaie d'Egypte, est mythique. À voir, absolument. Je ne sais pas si l'image de la version blu-ray est bonne, je n'ai que le DVD. Smiley : icon_top.gif

The Godfather, The Godfather Part II, The Godfather Part III (1972, 1974, 1990, couleur, réalisés par Francis Ford Coppola)
Trois films très différents, qui racontent la même histoire qui se répète inlassablement. Les codes de la famille au sein de la mafia sicilienne, au gré des époques. Le premier s'attache à la fin de la vie de Don Corleone, Marlon Brando, qui adoube son fils Michael (Al Pacino) qui donne un nouveau visage à la mafia. Le second entrelace la jeunesse de Don Corleone, son émigration aux USA et sa lente reconquête, avec le présent de son fils Michael qui détruit ce qui l'entoure. Le troisième nous montre Michael dans la peau de son père, et conclut à merveille, sans dramatisation, la fin du règne de Michael Corleone.
Alors que le premier innovait par la façon dont le sujet était traité, les deux autres sont surtout admirables par leurs qualités esthétiques. Éclairages somptueux, décors génaiux, musiques… La plupart des acteurs sont très bons (De Niro incroyable, Michael V. Gazzo qui en fait des caisses, Gastone Moschin et sa prestance…), et le monde impitoyable de la mafia est dépeint sous un regard inédit. Smiley : icon_top.gif

Il Était une fois en Chine 3 : Le Tournoi du Lion (黃飛鴻之三: 獅王爭霸, 1993, couleur, réalisé par Tsui Hark)
Je ne crois pas avoir déjà rédigé d'avis sur la saga Il Était une Fois en Chine, dont les deux épisodes sont pourtant pour moi les meilleurs films d'art martiaux existant, et les meilleures prestations de Jet Li par voie de conséquence. Troisième épisode, toujours avec Tsui Hark à la réalisation, mais avec l'absence notable de Yuen Woo-Ping. il en résulte un film qui emprunte tous les codes et les acteurs des deux premiers, avec ce qu'il faut d'humour, de dérision, de culture et d'intrigue. Malheureusement, sans Yuen Woo-Ping, le film n'a pas son combat mythique. En lieu et place, on y trouve des affrontements lors de tournois de danse du dragon (un thème récurrent dans tous les épisodes de la série), qui sont bien moins spectaculaires que ne pouvaient l'être par exemple le combat d'échelles du premier épisode ou l'affrontement de Donnie Yen et Jet-Li, les deux plus grands noms de l'époque, qui avait lieu dans le second épisode. Bien qu'il s'agisse d'une version dite originale, toutes les scènes sans exception sont post-synchronisées en cantonnais, mais ne correspondent jamais aux mouvements des lèvres. Je présume alors que le film a été tourné en chinois, mais je n'ai honnêtement pas l'information.
Toujours est-il qu'on y passe un agréable moment, pour peu que l'on aime le cinéma de Hong Kong. Smiley : icon_yeux_triangle3.gif

Lord of War (2005, couleur, réalisé par Andrew Niccol)
Une histoire romancée basée sur des faits réels, au sujet du trafic d'armes, et plus exactement des businessmen trafiquants. Le film se veut subversif, mais pour une raison que j'ignore, j'ai trouvé qu'il manquait quelque chose… peut-être dans l'interprétation de Nicolas Cage, je ne sais pas. Le film est étonnamment coloré, ce qui est très original pour le sujet traité, et c'est, à mon sens, une bonne chose. Il n'est par ailleurs jamais agréable de se faire rappeler que son pays reste le principal vendeur d'armes dans le monde… Smiley : icon_yeux_triangle3.gif



Message édité 3 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 17/04/13 à 18:30.



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Message laissé le 17/04/13 à 15:24

@Yohmi :
Je n'avais pas connaissance de cette nouvelle version "monté" par Donner. Ca n'a rien d'officiel si ? Mais on est d'accord, le problème ne venait pas forcément du montage haha.

@sf :
Oui, ils sont assez borderline et ont toujours un peu contribué à l'image que se tape Superman depuis ce temps... Même si je t'avouerais, faudrais vraiment que je revois le 3 et le 4 pour m'en souvenir. Je les ai, c'est prévu...



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Message laissé le 20/04/13 à 16:07

Crévindiou ! On a encore doit à une sélection qui flatte les souvenirs. Si je ne devais m'attarder sur le monde la mafia, je ne le ferai qu'à travers celle qui est dépeinte dans le film Lord Of War que j'ai également trouvé bancale mais qui possède quand même quelques qualités comme son incroyable ouverture (un plan séquence trafiqué qui montre le point de vue d'une balle depuis sa création jusqu'à sa finalité évidente) et le talent du réalisateur qui arrive à rendre attachante une innommable pourriture. A chaque fois je me suis demandé comment l'antihéros ferait pour se sortir des situations merdiques dans lesquelles ils semblaient avoir un don pour se vautrer la tête première. Et j'étais presque content de le voir triompher des difficultés que les scénario implacable lui balançait en travers de la route. Sur le plan de la morale, je mérite l'expulsion.

Sujet grave mais traité avec un certain humour donc ça passe presque. Ca devient juste complètement ridicule quand le frérot s'en mêle. Et c'est d'autant plus inexplicable que Time Out, du même réalisateur, se veut être dans la continuité (le temps à remplacer l'argent) (point de départ intéressant et merveilleux en potentiel) alors qu'il ne propose rien d'autre qu'un très mauvais film d'action caché sous une épaisse guimauve de bons sentiments. Parce que Robin des Bois, dans le futur, il existera encore. Et fuck off la crédibilité !



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Message laissé le 11/05/13 à 12:52

Freytaw, selon wikipedia, Richard Donner a sorti sa propre version en 2006 Smiley : lag33.gif

sf, je ne connais pas Time Out, mais si on omet le côté « Robin des Bois », j'aime beaucoup le concept du temps comme monnaie d'échange, et condition de vie ou de mort Smiley : lag11.png

on, sinon, de mon côté, hier soir c'était soirée nanar.

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Je me suis donc tapé :

Un seul bras les tua tous (独臂刀, 1967, couleur, réalisé par Chang Cheh- 張徹)
Premier épisode de la trilogie du Sabreur Manchot, le titre m'a convaincu qu'il m'était indispensable de le voir. L'histoire est à la hauteur. Il s'agit d'un WuXia (武俠, films de chevalier solitaire). Fang Gang est un prodige de la lame, le meilleur de ses condisciples et de sa famille adoptive (qui détient le secret du maniement du sabre d'or). Sa sœur adoptive est amoureuse de lui, et comme toutes les filles, décide donc de lui en faire baver. Et comme Fang Gang, ça le saoule qu'on lui dise « t'as été adopté, t'as été adopté, nananèreuh », il décide de s'en aller. L'apprenant, elle lui court après pour se battre à mains nues, puis lui coupe le bras, et le laisse partir avec son moignon dans la neige. Il rencontre une fille jolie, gentille, qui vit seule et qui a de l'argent, et qui va tout faire pour le soigner. Mais Fang Gang est dépité, sans son bras droit, il ne peut plus se battre, Et comme il est un peu con, il ne sait faire que ça. Heureusement, par le plus grand des hasards, la fille qui l'a recueilli possède un manuscrit secret permettant de maîtriser le kung fu de la main gauche. Youpi. Mais les sentiments qu'il éprouve pour sa sœur adoptive troublent autant sa pensée que son envie de vengeance envers ses frères adoptifs et les hommes de Visage Rieur (un gros qui ponctue toutes ses phrases par hinhinhin) et du Démon au Fouet (un vieux qui commence toutes ses phrases par HaHaHaHaHa) qui ont tué ses condisciples avec l'invention d'une lame-pince qui bloque les sabres.
Le sang est rouge vif, les affrontements sont mous et se ressemblent tous. On a beau leur expliquer et leur montrer comment fonctionne la lame-pince, ils continuent à foutre leur sabre exactement là où il faut pour la bloquer et se faire tuer (car ils ne lâchent pas leur sabre, je pense qu'ils sont nés avec). Même le maître, qui voit tout le monde crever, fait la même chose.
Le ciel des décors est peint, ce qui donne un magnifique ciel gris parking.

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On pourra par contre souligner la qualité d'image et de son (malgré des bruitages minables) qui sont très bons pour un film hongkongais aussi vieux. À noter qu'il est en mandarin.


Spawn (1997, couleur, réalisé par Mark A.Z. Dippé)
S'agit-il du film le plus laid et ridicule qu'il m'ait été donné de voir ? Oui, sans aucun doute.
Adapté d'un comic book visiblement très populaire, Spawn a cette saveur de téléfilm M6, avec ses nombreux plans en nuit américaine, cette fumée un peu partout, ses scènes sous-exposées, ses rôles absurdes et surjoués, ce capharnaüm esthétique, et surtout ses effets spéciaux à trois francs six sous. Et encore, on est plus proche de la poignée de sesterces. Oh, je ne critiquerai pas le maquillage, qui s'il est de mauvais goût est honnête. Spawn ressemble à un knacki ball oublié sous un meuble de cuisine, mais ce n'est pas si grave. Non, ce qui est grave, outre le fait que le scénario soit sans-cesse expliqué par les personnages, et que les flashbacks de ce qui s'est passé il y a cinq minutes sont particulièrement stupides, c'est la partie effets spéciaux.
En effet, le film en est bourré. On a l'impression qu'il y en a presque tous les deux plans. Le problème, bien sûr, c'est qu'ils sont… incroyablement hideux. D'abord, il y a cette espèce de fumée verte qu'on voit tout le temps, quand un clown pète ou que knacki regarde le collier de son chien, toutes les occasions sont bonnes. Ensuite, il y a les transitions. Plutôt que de faire un simple changement de plan, ou fondu au noir, un fondu enchaîné, non. Il faut des éclairs, des flash, des croix, des marres de mercure, la cape de spawn qui envahit l'écran sans rapport avec la scène… ah ben tiens, d'ailleurs, sa cape. Enfin, son placenta squameux qui se balade à l'écran sans que l'on sache vraiment si c'est un écran de veille de Windows qui s'affiche en surimpression après une trop longue période d'inactivité, ou un simple pré-rendu. En fait, la majorité des effets numériques de ce film font penser à des pré-rendus. On atteint le summum dans l'Enfer, où l'on se retrouve entre un mélange bizarre de Mega CD et de première génération de jeux Playstation 2… un véritable régal. Malebolgia, le grand démon, parle en gardant la bouche grande ouverte. Pour ne pas le montrer, ils zooment sur la partie haute de son visage, sans succès.

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Spawn est un véritable nanar, les mots ne suffisent pas pour le décrire.
Le pire dans tout ça, c'est probablement que Martin Sheen (Apocalypse Now) y joue le chef de la CIA, et que le réalisateur soit… un ancien d'ILM.


Green Lantern (2011, couleur, réalisé par Martin Campbell)
C'est mal écrit, c'est pas intéressant, il ne se passe rien, les effets spéciaux vont du correct au ridicule, la direction artistique est ratée, et les enjeux mal définis. Les personnages sont stéréotypés (même physiquement) et manichéens. En plus, le méchant se transforme en Guy Carlier. Il y a quelques bonnes idées, mais pas de quoi relever le film. Quelques notes du thème de Superman, des décors volés à Stargate et X-Men, une originalité… hmm… à toute épreuve. Difficile à croire que c'est un film aussi récent, et que c'est censé concurrencer quelque chose comme Thor (pas intéressant et bardé aussi de défauts aussi, mais d'un tout autre niveau en terme de réalisation quand même).



Message édité 4 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 11/05/13 à 20:05.



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Message laissé le 16/05/13 à 00:34

Il va falloir que j'enquête là dessus !! (pour Superman !)



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Message laissé le 19/05/13 à 19:14

Yohmgaï> Fuis Time Out ! Si l'idée de base est excellente avec un rapport absolument génial entre ceux qui sont pressés car vivant dans une précarité effrayante (concept d'ailleurs très bien rendu) et ceux qui prennent leur temps, le film se barre très vite dans une direction aussi inattendue que regrettable. L'aspect psychologique qui aurait pu être développé avec l'idée de vivre au jour le jour (certains courent après les secondes) est trop vite bazardé par le côté action qui -comble- est vraiment insatisfaisant. J'adore Cillian Murphy, mais là, il est mauvais comme un cochon.

Spawn... Ce film avait été présenté comme étant une pierre angulaire dans l'anthologie du film con par le magazine Première. Il a fallu que je le vois par moi-même pour attester du carnage. J'avais suivi un documentaire sur le film dans lequel l'équipe de direction se félicitait de la qualité des effets spéciaux en présentant le Violator comme un truc super bien foutu. Punaise, ma tronche quand j'ai vu (subi ?) le passage en Enfer avec le Diable (ou quel que ce soit le gros bordel qui y était montré) plaqué sur un fond vert encore plus foireux que le mien. La bande son saturée par les hurlements du duo Orbital & Kirk Hammett n'arrangeant aucunement les choses, j'en ai conclu que le réalisateur ne savait aucunement ce qu'il faisait à ce moment précis. Le film est de toute façon un carnage total et on se demande ce que Martin Sheen vient foutre là-dedans. De mémoire, le comic n'était pas génial. Le film n'a pas fait grand chose pour faire remonter le héros dans mon estime.



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Message laissé le 03/07/13 à 22:31

Les vieux films que j'ai découvert ces 2 dernières années (oui vieux motard que jamais) sont:

-Le Parrain: Grand classique du cinéma, depuis mes amies me demandent une imitation de Vito.

-Dirty Dancing: Ou comment j'ai appris que les films romantiques n'étaient pas faits pour moi.

-Trois hommes et un couffin: Marrant et touchant à la fois.Smiley : lag11.png

-Y a-t-il un pilote dans l'avion?: Très con mais trop drôle, j'aime ce genre d'humour.



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Message laissé le 04/07/13 à 11:49



Citation :


Cottontofu a écrit :

-Y a-t-il un pilote dans l'avion?: Très con mais trop drôle, j'aime ce genre d'humour.




Si je ne confonds pas dans le même genre il ya "Y a-t-il un flic pour sauver la reine d'Angleterre" "Y a-t-il un flic pour sauver l'univers" et le "Détonateur" on retrouve toujours le même acteur Leslie Nielsen dans le rôle du flic, mais j'peux te garantir qu'ils sont à mourir de rire ! Smiley : lag11.png



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I'm a Hero !

Message laissé le 26/04/14 à 22:33



Citation :


size.fac a écrit :
Punaise, ma tronche quand j'ai vu (subi ?) le passage en Enfer avec le Diable (ou quel que ce soit le gros bordel qui y était montré) plaqué sur un fond vert encore plus foireux que le mien.



Pour moi, les enfers, c'est le point culminant. J'ai rarement autant rigolé devant un film sérieux (excepté, bien sûr, Prédictions…).

Sinon Cottontofu, je te recommande de voir les deux autres opus du Parrain, qui sont chacun dans leur propre style, et qui méritent vraiment que l'on s'y attarde, même si ce n'est qu'une seule fois.



Des nouvelles de mon côté…

Je suis loin de mon bel écran et de mes chères enceintes, mais mes envies de vieilleries me reprennent par moment.
J'ai donc récupéré un rip 1080p de La Traversée de Paris (1956, noir et blanc, réalisé par Claude Autant-Lara) que j'ai pu regarder sur mon écran d'ordinateur (Dieu que c'est naze, mais je n'ai vraiment pas le choix Smiley : lag04.png), heureusement avec un casque pour ne pas parfaire le sacrilège.

Si mes souvenirs de ce film sont assez éloignés, il m'avait laissé une bonne impression, notamment esthétique. Et je dois dire que sa réédition en blu-ray, même si je n'ai pu me contenter que d'un fichier re-compressé sur un écran LCD de petite taille (le trio de la honte), est d'une qualité graphique ahurissante.
La Traversée de Paris est ce genre de film classique qui réunit une brochette de grands noms (Louis de Funès, André Bourvil, Jean Gabin) autour d'une histoire simple mais efficace, qui se base avant tout sur les relations entre des personnages pittoresques et stéréotypés de la vieille France (et ici, en période d'occupation). Et ça marche du tonnerre, bien sûr, c'est un réel plaisir de découvrir au travers d'une énième fiction sans larmes ni tarte à la crème cette période tourmentée, comme dans La Vache et le Prisonnier, Paris Brûle-t-il ? ou encore Un taxi pour Tobrouk.
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Mais là où La Traversée de Paris tire vraiment son épingle du jeu, c'est dans sa direction artistique, et je dirais même plus directement dans sa photographie. En effet, au sommet de l'art du noir et blanc et du cinéma de décor, la direction artistique du film offre une version très stylisée de Paris, encore plus scénarisée que ne pouvait l'être celui de Doisneau, où la lumière est le véritable premier rôle. Les décors, éclairés succinctement par touches vives, empruntent au clair-obscur des peintres autant qu'au style de certains dessinateurs de bande-dessinée. Alors que le cinéma de décor peut mener à une certaine claustrophobie de par l'absence de variété et de profondeur, l'action de nuit nous perd dans un noir infini, une appropriation très astucieuse de la contrainte initiale. Le décor est alors suggéré, fantomatique, et autant dire qu'en haute définition, c'est un régal.
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On m'a demandé par le passé si le blu-ray apportait réellement quelque chose pour les vieux films. J'avais loué les qualités des rééditions de 2001 A Space Odyssey ainsi que d'Apocalypse Now, mais je n'avais jamais eu l'occasion de remonter aussi loin (1956, quand même). Alors aujourd'hui je l'affirme, oui, cela peut apporter quelque chose. Si le matériau de base, le travail de transfert et le travail de remasterisation sont de grande qualité, alors oui, oui, oui, cela vaut absolument le coup.
Bien sûr, il faut avoir l'œil, il faut aimer le grain de la pellicule. Mais si c'est le cas, oui, on y gagne, et vraiment pas qu'un peu.

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Un film à voir, à revoir, et à apprécier en haute définition Smiley : lag11.png



Message édité 5 fois. Dernière édition par Yohmgaï le 26/04/14 à 23:26.



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Message laissé le 03/05/14 à 23:32



Citation :


Poring a écrit :
Si je ne confonds pas dans le même genre il ya "Y a-t-il un flic pour sauver la reine d'Angleterre" "Y a-t-il un flic pour sauver l'univers" et le "Détonateur" on retrouve toujours le même acteur Leslie Nielsen dans le rôle du flic, mais j'peux te garantir qu'ils sont à mourir de rire ! Smiley : lag11.png




Attention toutefois à ne pas mettre tous "Y a-t-il" dans le même panier ! En France, on s'est servi de la notoriété des premiers films sur le concept pour en vendre d'autres qui n'avaient rien à voir avec la série de base qui n'en était finalement pas une. Le seul point commun à tout ça reste l'impayable Leslie Nielsen (RIP Smiley : lag29.gif ) (mais il paraît que ça arrive aussi aux gens bien) qui profitait de son statut de mec dont rien que la présence suffit à faire marrer pour parfois apparaître dans des films ni spécialement marrants ni même particulièrement regardable. Par exemple, je n'ai pas souvenir d'avoir esquissé le moindre sourire durant le visionnage de Y A-T-Il Un Flic Pour Sauver L'Humanité ?, film dont le héros ne s'appelle d'ailleurs pas Frank Drebin. J'étais même plutôt gêné pour lui à ce moment-là.



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Message laissé le 04/05/14 à 02:51

En effet, Y a-t'il un flic pour sauver l'humanité? ne m'a laissé qu'un très mauvais arrière goût...
Par contre, toujours avec le même (Leslie Nielsen donc) j'ai vraiment apprécié Dracula, mort et heureux de l'être. Moi qui regarde/ai regardé pas mal de films de vampires (récents comme vieux) cette parodie m'avait vraiment fait rire.



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