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Blork & size.fac > Les jeux vidéo > Recit de partie : La suède, la résurrection de l'union de Kalmar.

Bas de page

Message laissé le 09/02/14 à 14:42

Bonjour à tous.

Je viens de terminer ma partie sur la suède sur Victoria ( jeu PC.)

Je voulais savoir si vous souhaitez que je présente cette partie dans un nouveau post.

Elle sera dans la même ligne que ma partie avec l'Allemagne. Un article avec un aspect historique et des images du jeu.



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Vive le C.R.S
Le Club des Radins de Strasbourg

Message laissé le 09/02/14 à 19:22

J'avoue que ça me plairait bien moi Smiley : lag11.png



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Message laissé le 10/02/14 à 15:58

C'était très sympathique à suivre donc oui pour moi aussi



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Message laissé le 12/02/14 à 14:30



Citation :


Thibault de Mondidier a écrit :


Citation :


Thibault de Mondidier a écrit :


En ces années 1836, je décide de me rendre en Suède pour y proposer mes services. C'est un français qui est sur le trône. Oui, vous ne rêvez pas. Mais laissez moi vous racontez comment un français a pu monter sur le trône de Suède.

En 1810, alors qu'il se trouve à Paris en semi-disgrâce, le parti pro-français suédois lui propose d'être candidat lors de l'élection du nouveau prince héritier, avec l'idée de récupérer avec l'appui de Napoléon la Finlande que la Russie a annexée en 1809. Grâce à Jean-Antoine Fournier, un Grenoblois ayant vécu 18 ans en Suède, qui y retourne se faisant passer pour l'« envoyé » de Napoléon, et y mène une propagande active et habile, Bernadotte est élu à la surprise générale. L'élection s'est tenue à Orebro ville du centre de la Suède, afin d'éviter des troubles possibles à Stockholm. Il part avec l'assentiment de Napoléon qui accepte ce choix, espérant tenir ainsi un allié solide au nord de l'Europe. Il débarque à Helsingborg le 20 octobre 1810, et le 31 suivant, il est présenté aux États ; le 5 novembre 1810, adopté par le roi Charles XIII, il prend le nom de Charles-Jean. Il consent d'abord à seconder la politique de l'Empereur et participe au blocus continental. En fait, dès 1811, à cause de la sénilité de son père adoptif, il dirige les affaires du royaume.

Sa politique veut qu'il renonce à la Finlande pour être en paix avec les Russes. Il espère néanmoins récupérer la Norvège, danoise depuis trois siècles, avec l'accord de l'Empereur. Devant le refus de ce dernier qui lui propose par la suite de l'accompagner pour attaquer la Russie, Charles-Jean rompt avec Napoléon qui vient d'envahir la Poméranie suédoise, et se rapproche du tsar Alexandre Ier.

Il participe en 1813 à la coalition contre la France, et prend le commandement de l'armée alliée du nord de l'Allemagne. Il défait Oudinot à Gross-Beeren (23 août 1813), Ney à Dennevitz (6 septembre 1813), et prend part à la bataille de Leipzig (1813). Puis il descend l'Elbe, s'empare de Lubeck et se dirige vers le Holstein, et menaçant le Danemark, obtient lors du traité de Kiel, le 14 janvier 1814, que la Norvège soit cédée à la Suède.

Il répugne à l'idée d'entrer en France en ennemi, et souhaite que son ancien pays conserve sa frontière sur le Rhin. L'intransigeance de Napoléon rendra impossible ce désir.

Il avait caressé l'espoir de remplacer Napoléon, perspective à laquelle le tsar Alexandre Ier n'eût pas été hostile. Cette solution, envisagée, n'eut pas de suite, et les Bourbons furent restaurés sur le trône de France.

Après un bref séjour à Paris, il revint en Suède, où il est reçu avec enthousiasme. Il marche sur la Norvège dans laquelle des troubles ont éclaté, et s'en rend maître en 15 jours (1814).

En 1815, suite au retour de Napoléon pour les Cent-Jours, la Suède n'est pas tenue de combattre. Elle s'engage désormais dans une neutralité désirée par le prince héritier.
Roi de Suède et Norvège

Le 5 février 1818, l'ex-maréchal Bernadotte devient roi des royaumes unis de Suède et de Norvège sous le nom de Karl XIV Johan (Charles XIV Jean de Suède). Il fait prospérer ses États, développant l'instruction publique, l'agriculture, l'industrie et le commerce.


La légende veut que cet ancien soldat de la République ait porté un tatouage disant « Mort aux rois ! » (ou « Mort aux tyrans ! ») selon les témoignages4.

Il avait comme devise : "Que l'amour du peuple soit ma récompense". Il était franc-maçon. Il décède le 8 mars 1844, et est inhumé dans la crypte de l'église de Riddarholmen, dans laquelle reposent les rois suédois. Son fils Oscar lui succède. Depuis, les Bernadotte règnent toujours sur la Suède, le roi actuel Charles XVI Gustave est le septième de la dynastie.


Etant moi même français, j'arrive à obtenir une audience avec le roi. Un autre français qui souhaite aider le pays, voilà qui est étonnant.

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Le roi m'accueille chaleureusement. De nombreux ministres sont là.

« Bien, que me voulez vous ? » demanda le roi.

« Je n'irai pas par quatre chemins : Je veux vous aider à ressusciter l'union de Kalmar. »

Les ministres Suédois se firent traduire mes dires et éclatèrent de rire. Le roi se fit expliquer la situation et me regarda pensant que j'étais fou.

« Voyons. Vous êtes entrain de me dire que vous, illustre inconnu, vous allez pouvoir rendre à la Suède sa gloire d'antan et ressusciter l'Union du Danemark, de la Suède et la Norvège qui a existé pendant plus de 200 ans aux moyen Age ? »

« Parfaitement et j'ai les moyens de mener cette politique. »

Le roi perdit le sourire en voyant que je ne bougeais pas d'un iota.

Un ministre s'avança.

« Notre pays a toujours donné sa chance aux plus audacieux. De plus je vois qu'il arbore la croix des Protestants, ce n'est pas un catholique. Il a donc peut-être des idées intéressantes.... »

« Donnez moi ma chance. » demandais-je en m'inclinant.

« Très bien. Voyons ce que tu es capable de faire. »

Je sortais une carte de mon grand porte feuille et je la dressais sur la table de réunion.

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« Voilà ce qu'était la Suède votre Majesté au tant de son apogée. Certes je ne pense pas pouvoir récupérer les zones au Sud Est de la Finlande. Elles forment une bande le long des côtes et la Russie pourra faire pression. Toutefois, la Finlande est récupérable. Mais cela ne sera pas pour tout de suite. Non, d'abord nous devons provoquer une union des scandinaves. Et c'est un long travail qui nous attend. »

Dans les jours qui suivent, j'entreprends avec les ministres de lourdes réformes financières. En 1837 à la stuppeur de la population, le suffrage universel pour élire le gouvernement est instauré. La Presse a une liberté totale et le droit à toute forme de syndiacats est autorisée. Certes, le budget est très vite déficitaire. Mais le pays arrive vite, en un an à rembourser les dettes.

Le roi est impressionné car le peuple soutient celui-ci.

«Vous m'impressionnez. Que cela soit la Noblesse ou le monde paysans, tous me sont favorables. »

« Bien....majesté, je sais que vos souvenirs avec l'Empereur Napoléon ont conditionné votre politique de neutralité. Toutefois, un Etat faible attisera les convoitises. Les Russes ou la Prusse pourraient avoir des vues sur nous. »

« Certes, mais il n'est pas question de faire la guerre. »

« Certes mon roi. Mais nous devons avoir une défense forte contre l'impérialisme extérieur. Notre armée est actuellement de 30 000 hommes au maximum pour un pays qui compte 4,5 millions d'habitants. Misons sur le peuple. Le peuple sera notre bouclier. Nous formerons le peuple au maniement des armes et lui seul nous aidera. Et en contre partie, nous serons la nation la plus investit dans le monde des arts et de la culture. »

« Vos arguments me plaisent. Je vous accorde vos crédits et vous avez carte blanche. Mais à la moindre erreur, ce sera la fusillade. »

« Je comprends votre majesté. »

Ainsi en 1840, la Suède est capable de mobiliser 100 000 hommes en 3 mois.

Puis rapidement en 1842 nous pouvons mobiliser 150 000 et l'année suivante 200 000 hommes.

Le roi continue de s'étonner de ma politique. Nous faisons que nous renforcer. Et en 1844, une alliance défensive est signée avec le Danemark.

Un jolie cadeau pour le roi qui décède. Son fils Oscar premier prend le pouvoir et me garde à ses côtés.

Paris 1799-Stockholm 1859), roi de Suède et de Norvège (1844-1859), fils de Charles XIV (Bernadotte) et de Désirée Clary.

Il fit entrer des conseillers libéraux au gouvernement, qui réalisèrent une série de réformes. Frappé d'aliénation mentale (1857), il laissa la régence à son fils Charles.

Au niveau de l'économie, j'encourage deux axes : Le libre échange mais le Capitalisme d'Etat. Il est hors de question que notre économie soit décidé par des marchés qui nous échappent. Nous tenons le cape et nous le gardons. Par contre les citoyens doivent pouvoir accéder à tous les produits avec des taxes réduites pour qu'ils puissent s'enrichir.

Et en 1847, ça y est, c'est la guerre. La Prusse et l'Autriche nous déclare la guerre pour la question du Holstein. C'est la réunion des ministres.

« Alors mon cher Thibault qu'allez vous faire ? »

« C'est une occasion inespérée. Nous devons soutenir notre allié et prôner le retour à la Scandinavie. »

« Jamais nous n'arriverons à défaire l'armée Prussienne. » déclara le ministre de la guerre.

« En effet, mais se défendre pour une Paix Blanche, voilà notre but. »

« C'est votre dernière chance Thibault. Vous avez carte blanche. »

Nos 200 000 hommes sont mobilisés. Les citoyens foncent dans les casernes et nous voilà en route pour sauver le royaume du Danemark. Ils arrivent à pénétrer en Prusse. Mais 200 000 hommes les rejoignent et nous occupons les forts de la Province. Nous sommes retranchés. Notre marine bloque l'entrée de la Mer Noire. Ni l'Autriche ni La Prusse ne peuvent sortir de leurs ports.

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En 1848, le Danemark signe un traité de paix : La paix blanche. Nous, la Suède, nous en sortons endettés ? Neuf milles livres. On annule le programme de la culture pendant deux ans et nous remboursons nos dettes de guerres. Mais j'en sors frustré. Aucune acquisition. Je vais voir le ministre de la guerre et je lui demande un état des alliances sur les Etats du Nord de l'Allemagne. Je remarque que l'Oldenbourg est isolé. Nous l'attaquons et l'envahissons ainsi que l'Etat de Brême.



J'en ressors satisfait. La Suède ressort grandie. Les ministres impressionnés approuvent ma politique. Les années 1850 sont presques inintéressantes. Nous n'avons pas le budget pour de grandes réformes. Aussi nous développons lentement un réseau ferré primitif mais très onéreux.

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Et en 1856, l'idée d'une renaissance de la Scandinavie est scandée par les peuples au détriment de nos voisins. Mais rien ne se passe. Je comprends très vite que c'est nos voisins qui nous aideront. Car la Prusse reste envieuse du Holstein. Cela viendra en son temps. Un nouveau roi prend le pouvoir.

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Charles était également un ardent partisan du scandinavisme. Sa politique de solidarité entre les trois royaumes du nord, son étroite amitié avec Frédéric VII de Danemark, l'auraient mené, dit-on, à promettre à demi-mot d'aider le Danemark à la veille de la guerre de 1864, ce qui, dans les circonstances, était peut-être trompeur et injustifiable. Néanmoins, vu l'impréparation de l'armée suédoise et les difficultés liées à la situation, Charles a été forcé d'observer une stricte neutralité. Il est décédé à Malmö le 18 septembre 1872.

Charles XV était très doué dans plusieurs domaines. Il a acquis une certaine réputation en tant que peintre et ses poèmes montrent un certain talent dans ce domaine. Son frère Oscar II lui a succédé sur les deux trônes de Norvège et de Suède

En 1865, avec nos 30 000 hommes réguliers, on attaque le royaume du Hanovre pour obtenir les provinces adjacentes à nos terres en Allemagne du Nord. La guerre se termine en 1866, une guerre non coûteuse et la Suède est capable de mobiliser 400 000 hommes pour un royaume de 6 millions d'habitants.

Et en 1866, ça y est, la Prusse en redemande. Je convainc le roi de vraiment soutenir le Danemark. Ses désirs étaient réels. Il ne fallait qu'un petit coup de main. Une seconde guerre pour le Holstein. Seulement là, c'est pas 200 000, mais 400 000 hommes qui vont se battre. Nous attaquons un allié de la Prusse, le plus faible, le Magdebourg. Nous l'annexons rapidement. Pour les autres Même scénario, même victoire. Sauf que cette fois, nous recevons un émissaire du Danemark. La demande me fait hurler de joie : Le Danemark demande la fusion avec la Suède. La Scandinavie est de nouveau une réalité.

Et enfin, en 1871, nous échangeons la ville de Hambourg contre notre province de Neusterlitz pour avoir une continuité territoriale et effacer cette enclave Allemande. Car depuis, l'Allemagne est née. Nous devons garder un excellant rapport avec géant, jeune et puissant. Notre roi est aux anges. L'Union de Kalmar du Moyen Age est de nouveau une réalité. Je reçois tous les honneurs. On m'élève au rang de ministre de la guerre.

Notre position est avantageuse d'autant que l'Allemagne ne nous voit pas comme une menace. Et en 1872, j'annonce au roi que notre pays peut mobiliser 500 000 hommes.



Mais mon ambition n'est pas encore satisfaite. Surtout avec le nouveau roi depuis 1872.

Oscar II de Suède

Fils du roi Oscar Ier de Suède (1799-1859) et de Joséphine de Leuchtenberg petite-fille de l'Impératrice Joséphine épouse de Napoléon Ier, il est aussi donc petit-fils du maréchal Bernadotte, et frère cadet de Charles XV de Suède. Il épousa en 1857 la Duchesse Sophie de Nassau (1836-1913). Ils eurent quatre fils dont l'aîné fut roi de Suède sous le nom de Gustave V. Ses autres enfants sont Oscar de Suède, Carl de Suède et Eugen de Suède.

Il devient roi de Suède le 18 septembre 1872, après la mort de son frère Charles XV, puis est couronné roi de Norvège le 18 juillet 1873 dans la cathédrale de Trondheim. Lors de son accession au trône, il adopte la devise suivante: le bien-être des peuples frères. Alors que le Roi et la Cour résidaient essentiellement en Suède, il fait l'effort d'apprendre le norvégien au point de le parler couramment et réalise dès le début les difficultés qu'il y a à maintenir l'union des deux pays.

Son règne est marqué par la rupture de l'union personnelle entre la Suède et la Norvège, en juin 1905.

C'est un bon roi....mais il manque un peu d'ambition. Certains ministres m'approuvent. J'envoie des espions en Russie. Le constat est édifiant. La Russie est dans un bel état de faiblesse. Je mobilise mes hommes sans déclarer la guerre et 3 mois après, on attaque. Six mois après, nous signons la paix avec la Russie. Le roi n'en croit pas ses yeux. La Finlande revient dans le girons de la Suède. L'affront de la Russie fait il y a 100 ans est lavé. Mais cette guerre a été très coûteuse : 31 000 livres de dettes. Mais en 1875, la Suède a une puissance plus forte que celle de la Russie.

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De 1875 à 1892, la Suède vit une paix bienfaitrice. Notre population dépasse les 16 millions d'habitants. Notre réseau ferré se développe et les libéraux sont au pouvoirs. Les taxe commerciales sont faibles et les impôts sur toutes les classe ne dépassent pas les 50 %. Nous entretenons de bons rapports avec nos voisins. Même la Russie ne réclame pas sa revanche.

Mais en 1892, une guerre entre la Russie et l'Allemagne se déclare, au sujet de la Pologne qui a réussit à prendre son indépendance.

C'est notre seule chance de récupérer nos dernières provinces. On déclare la guerre à la Russie. Et on arrive à occuper St Petersbourg. La guerre dure un an et la Russie me cède ce que j'avais demandé.

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Cette guerre était la dernière. Car la facture est salée. Plus de 61 500 livres de dettes. Il me faudra deux ans pour rembourser mes dettes. A ce stade je me présente devant le roi et demande d'être transféré en tant que ministre de la culture.

En 1905, la population atteint 21 millions d'habitants. Et en 1900, notre pays peut mobiliser 900 000 homme. Nous gagnons plus de 50 livres par jours, nous pouvons augmenter la lutte contre la criminalité.

Le nouveau roi Gustave V prend le pouvoir en 1907. Son pays est bien mené et il ne fait que continuer notre ligne directrice. En 1908 il fait passer une loi qui me surprend : Les ouvriers ne travailleront que 10 heures par jour et en 1913 sa politique fait qu'en Suède, 100 % de la population est alphabétisée. Étonnamment aucune guerre à l'horizon.

Notre pays a réussi sans être à la premier place.






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Message laissé le 12/02/14 à 14:34

Oh là, je m'excuse pour le bordel, j'ai pas fait attention en cliquant, j'ai cité mon propre message alors que je voulais juste le modifier car les images étaient pas dans le bonne ordre.

C'est donc les deux premiers à effacer. C'est le troisième qui est le bon. Pouvez vous m'aider à effacer les deux premiers message ?



Message édité 1 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 12/02/14 à 14:39.



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