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Blork & size.fac > Les jeux vidéo > Test : Virtual Hydllide sur Sega Saturn ( Emulateur SSF )

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Message laissé le 06/07/13 à 23:14

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Introduction :
Virtual Hydlide est un jeu sorti sur Sega Saturn en 1995 développé par T&E Soft et édité par Toshiba EMI. Il s'agît du remake de l'épisode 1er du nom sorti respectivement sur Nec PC, MSX et Famicom dans les années 80.

Majoritairement critiqué, et plus récemment par Joueur du Grenier, sur son scénario inexistant, ses graphismes affreux et son frame rate "légendaire", le jeu cache quelques lueurs dans le sombre tableau noir dont il est si souvent dépeint.

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Retour aux sources :
Malgré sa médiocrité, le premier Hydlide proposait quelques idées intéressantes. Le type A-RPG était fort bien illustré par une barre de vie, de force, de magie et surtout d'expérience qui une fois remplie en trucidant moultes monstres vous octroyait une montée générale de vos stats. La magie n'était pas anodine puisque 5 sorts sont disponible le long de l'aventure, un peu comme les médaillons de zelda 3. Malheureusement, le second épisode n'était pas mieux loti et il faudra attendre Super Hydlide pour avoir un jeu correct.

Un scénario bien plus poussé que ces prédécesseurs, un cycle jour/nuit qui influence l'environnement, des pnj, des auberges, le besoin de se nourrir et de dormir sans quoi vous serez affaibli, un système de statistiques un peu plus poussé ( Dextérité, Chance, Morale, Charisme envers les pnj ). Le monde sera influencé par vos actions sur les "gentils" monstres qui auront un impact sur votre morale. N'oublions pas la limite du port de charges et surtout un système de banque grâce à laquelle vous vous verrez gratifié d'intérêts financiers. Si cela peut paraître banal de nos jours, ce ne le fût pas en 1989, c'était même rare.

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Voilà ce qui se passe quand on ne paie pas à temps sa facture EDF.

Une intro ridicule... ou pas :
Revenons à Virtual Hydlide. Etant donné qu'il s'agît d'un remake, la base scénaristique à été reprise à l'identique. Si l'absence de scénario était en quelque sorte tolérée dans les années 80, elle ne l'est plus à la sortie du jeu, si bien qu'aucun PNJ, aucune indication, bref rien ne vous dit ce qu'il se passe à l'exception de la cinématique d'introduction du château.

Cette cinématique est souvent critiquée néanmoins elle est tout de même bien plus jolie visuellement que les tas de polygones qu'on pouvait voir défiler de certaines cinématiques de jeux Playstation. Le problème ne vient pas de là mais plutôt de l'ossature scénaristique, inexistante, qui devrait accompagner cette vidéo.

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Le jardinage est déconseillé dans le monde de Fairyland.

Des graphismes pixelisés et un frame rate horrible :
Visibles dans les premières secondes du jeu, les graphismes ont très mal vieillis et sont pixelisés à outrance, si bien qu'on a énormément de mal à discerner les formes. Ce n'est pas tellement un problème de textures mais de polygones qui vous arrachent la rétine. La superposition de sprites 2D sur un monde en 3D affecte grandement l'appréciation des distances, surtout si le monstre est de petite taille et volant. En revanche, on peut reconnaître au jeu le respect de l'esprit sombre grâce à une palette terne et des textures cependant de moyenne qualité.

Pour ce qui est du frame rate, il est tout simplement dégueulasse. Que ce soit pour se déplacer, courir, tourner ou combattre, tout semble ralenti et même si vous êtes dans un endroit confiné ( une salle de boss par exemple ). La gestion du poids viendra vous souffler encore quelques FPS si vous êtes trop chargé, rendant le jeu quasiment injouable en plus de vous filer un abominable mal de tête. Etrangement, certains endroit augmenteront légèrement le frame rate mais ils sont aussi rares que les qualités du jeu.

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Les morts sont plus nombreux que les vivants.

Qualités musicale et artistique :
La bande-son est ce qui constitue le point fort du titre. Alors oui c'est loin d'atteindre le niveau des mélodies de Zelda, cependant les créateurs ne sont pas tombés dans le piège de nous refourger un thème principal en boucle de 10 secondes. De surcroît, les musiques collent en général plutôt bien aux lieux, accentuant l'immersion dans un monde sombre.

Un côté sombre assez bien exploité malgré un sentiment d'inachevé, on sent pourtant parfois que les développeurs ont tentés d'instaurer un climat austère et c'est plutôt réussi dans certains passages comme la mine avec sa musique inquiètante ou des espaces confinés et obscures.

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Ce coffre ne vous veut que du bien.

Une avancée progressive :
Virtual Hydlide regorge d'items en tout genre. En effet, le jeu vous proposera un arsenal assez important, bien que les différences soit la plupart du temps ( quasiment ) limités aux stats et aux skins. Rares sur la carte du monde, on les trouve plus dans les donjons ou via un cristal rose qui fait office de magasin.

La montée des niveaux ne se fait plus par une barre d'expérience mais en accomplissant certaines tâches, en grande majorité en bouclant un donjon. L'ancien système est recyclé en compteur à points qui gonflera en terrassant vos adversaires, en finissant les donjons ou en récoltant de l'argent.

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Un seul magasin dans tout le jeu. Il ne fait que vendre des objets, parfois dépassés. Les prix pratiqués sont assez exhorbitants.

Un jeu vide :
Lorsque l'on débute le jeu aucune explication, hormis celle indirectement donnée dans la cinématique, ne vous ait communiquée. A l'image de son scénario inexistant ( Jim sauver princesse Ann transformée en 3 fées par Varalys ), Virtual Hydlide vous indique simplement la direction à suivre complétée d'une croix sur la carte à faire dans un ordre précis sous peine de se retrouver dans un lieu trop dangereux ou nécessitant un prérequis pour y accéder.

Tout le long de l'aventure, on enchaîne les lieux, les monstres et les boss sans objectif précis et sans justificatif et tout cela jusqu'à la fin du jeu. Ce sentiment de vide vous accompagnera durant toute votre quête. Personne à qui parler, aucune maison, aucun sourire, aucun remerciement, vous restez délibérément seul jusqu'à la défaite du boss final où la princesse, seul personnage secondaire fera son apparition dans une cinématique aussi courte que la première.

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Pardon mon brave, pourriez-vous m'indiquer la sortie s'il vous plaît?

Un Gameplay limité et une jouabilité barbante :
Malgré tous ces défauts, le gameplay reste correct ( le minimum syndical ). Deux boutons et une combinaison ( B+C ) servent à l'attaque, un pour la garde et le block, deux autres pour le menu et la carte et X le bouton d'interaction, de course et qui permet de se tourner plus rapidement ( ça aide grandement ). Bien qu'on soit fortement handicapé par le frame rate, le héros est plutôt maniable pour peu qu'on s'en donne la peine. Mais la palette offensive reste très limitée, d'autant qu'on ne comprend l'absence de la magie présente dans Hydlide. Seules deux épées magiques vous octroieront un sort à distance matérialisé par une sphère mais ça se limite à ça.

Dès lors, on aborde les combats de la même façon et à l'exception de deux ou trois boss qui vous obligeront à bloquer ou esquiver leurs sorts, les duels sont ennuyeux au possible. Si certains monstres tenteront de vous contourner par l'arrière ou altèreront votre état, il sera possible de faire un saut de retrait pour vous désengager de votre position désavantageuse ou simplement prendre une potion dans votre inventaire. Un combat se résume en général à bourriner sur le bouton d'attaque jusqu'à ce que l'ennemi passe sous votre lame ou à vous élancer au corps à corps pour les ennemis à distance.

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On ne comprend pas pourquoi Jim est entrain de trucider ce pauvre dragon qui dormait paisiblement et ne demandait rien à personne.

Les donjons :
Si on les considère à la manière d'un zelda, il n'en existe que 4 ( temple + boss ). En tout, 8 zones seront à explorer pour pouvoir boucler le jeu. Au départ petites, les dédales augmentent en surface et en complexité, on peut même être étonné par le château de glace, au level-design surprenant. Mais l'intérêt s'arrête là puisque ces "temples" ne regroupent aucune énigme à proprement parler, on peut parler plus aisément de pseudos labyrinthe, dont une moitié de chemins sert à progresser et l'autre composée d'impasses parfois jonchée de coffres ou d'objets à même le sol.

L'intérêt des donjons est souvent comparable au bestiaire présent dans ces mêmes lieux, souvent 2 types de monstres. Le jeu n'hésitera pas à recycler ces mêmes ennemis à des endroits plus avancés et la grande majorité oppose une faible résistance. Du côté des boss, il y a de l'idée même si certains sont énervants au possible comme le mage ( il ne fait que voler et est vulnérable que lorsqu'il touche le sol ). Mais comme les monstres, la tactique à adopter est quasiment la même, le blocage en plus pour certains projectiles ( de feu notamment ).

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En cas de Game Over, vous aurez le privilège, en plus de perdre vos points de score, d'inscrire votre nom en tête de tableau. A quoi ça sert? A rien.

Un jeu bâclé :
Et ce n'est pas exagéré. Si la première fée n'apparaît qu'après s'être enfilé cinq donjons, la seconde vient après le sixième et la dernière descendra d'un arbre que vous aurez à peine effleuré. La suite? On vous téléporte directement dans l'antre du boss final ou deux acolytes tenteront de vous barrer la route avant de croiser le fer avec Valarys. La fin semble tellement expéditive et rien n'a été fait pour allonger la durée de vie assez courte, entre 3 et 5h de jeu suivant votre sadisme ( en fouillant tous les recoins par exemple ).

De même, la programmation l'est de bout en bout. Bien que la Saturn ne soit pas une console tournée vers la 3D et que les kits envoyés au devs n'était pas les plus simples à utiliser, elle était capable de faire tourner un jeu tel que Virtual Hydlide à fond. Preuve en est, Panzer Dragoon, un jeu entièrement modélisé en 3D, ne souffre d'aucun ralentissement flagrant. Mais à l'image de certains monstres qui errent parfois à côté de vous sans remarquer votre présence, du dialogue incompréhensible du vampire, des ennemis coincés dans les murs et de collisions foireuses, la programmation est la principale responsable de ce raté.

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Virtual Hydlide aurait certainement connu un autre destin les développeurs étaient restés dans la continuité de Super Hydlide. Malgré qu'on puisse voir certains signes d'une volonté à créer un bon jeu par quelques aspects, la quantité astronomique de défauts ne rattrapent pas les faibles lueurs dissipées dans la pénombre. Scénario baclé, codage en carton, vide de vie, le jeu n'apporte quasiment aucun plaisir à part celui de perdre son temps ou de le faire simplement pour le fun.

Note du magazine Joypad N°43 Juin 1995 :
Testé par Trazom 88%
Graphismes 15
Animation 15
Maniabilité 16
Son/Bruitage 16

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Message édité 5 fois. Dernière édition par Siderth le 06/07/13 à 23:21.



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Atteint de SegaMania ( et c'est contagieux en plus ! ). Sega c'est plus fort que toi !

Message laissé le 07/07/13 à 11:52

Bon test. Ça permet de constater que même des bouses infâmes peuvent avoir des qualités! Le sujet est original. Bravo pour cette première incursion dans le domaine des tests!



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Notre vie ne nous appartient pas. Nous sommes lié aux autres. Hier,aujourd'hui et demain.

Sonmi-451,Cloud atlas

Message laissé le 07/07/13 à 12:29

C'est loin d'être mon premier test Smiley : icon_yeux_triangle1.gif je fais plus des dossiers ces derniers temps. Mais bon, j'ai voulu tenter le diable par moi-même car le jeu m'intriguait. Parfois, on a cette envie bizarre de se faire un jeu parce qu'il est mauvais justement mais aussi de se faire son propre avis sur la chose que beaucoup de monde a la facheuse tendance à cracher dessus parce qu'untel a dit qu'il était à chier.

C'est vraiment dommage pour la série des Hydlide car il y avait du potentiel ( je pense surtout au 3 ). Mais ça montre bien la différence entre des gens qui sont passionnés et d'autres qui n'en ont rien à foutre.



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Message laissé le 07/07/13 à 13:10

Oups désolé. Mais depuis que je suis sur le forum,tu fais qu des tests,ce qui explique ma méprise. Mais c'est vrai que j'ai souvent envie de jouer a des jeux mal-aimée. Parfois il y a des bonnes surprises(Enter the matrix était quand même super fun a jouer) et parfois non(Qu'est ce qu'il m'a pris d'acheter Minority report)



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Sonmi-451,Cloud atlas

Message laissé le 07/07/13 à 18:40

Est-ce que t'es vraiment en train de critiquer le framerate du jeu quand tu le testes avec un émulateur? Smiley : lag14.png SURTOUT quand il s'agit d'un jeu sur la Sega Saturn, une des consoles les plus difficiles à émuler?

À moins que tu aies regardé des vidéos sur Youtube pour vérifier que le framerate était mauvais aussi sur console...



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Ma chaîne de musique

BL Smiley : icon_bounce.gif RK

Message laissé le 07/07/13 à 23:35

Non Quartrez, c'est pas un problème d'émulateur, ce jeu est réellement lent à pleurer. Siderth, pour la scène d'intro c'est une question de goût, j'ai jamais aimé les trucs filmés en vrai pour les cinématiques de jeux vidéos (je pense à resident evil 1).

Sinon, bon test, c'était sympa d'avoir les côtés un peu moins nuls de l'engin.



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Message laissé le 07/07/13 à 23:52

Ce jeu, sans même y avoir joué une fois dans ma vie, ne me fait pas du tout envie. Je me suis toujours basé sur ces affreuses captures d'écran pour forger mon opinion. Sérieusement, c'est d'une laideur ! J'avais vu quelques vidéos du jeu à l'époque et je me souvient surtout de la rigidité du personnage principal. En mon sens, c'est l'analogie avec Panzer Dragoon qui achève le jeu. L'un m'a toujours plu, l'autre ne m'a jamais donné envie de l'essayer. Forcément, avec un tel passif, c'est difficile d'être convaincant ensuite.



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Message laissé le 08/07/13 à 12:47

Quartrez >
Il y a des vidéos du jeu tournant sur Saturn qui montrent que le framerate est déguelasse. Je comprends ton explication surtout qu'il est difficile d'avoir un émulateur correct de la saturn, si ce n'est que SSF est le meilleur pour émuler cette console ( et il le fait très bien d'ailleurs ).

Pour avoir fait un dossier sur la console ( la Saturn ), je sais ce qu'elle vaut et le gâchis qu'on en a fait autour. La médiocrité du jeu est en grande partie du à la programmation et non à la console, ce que j'ai précisé d'ailleurs dans l'un des derniers paragraphes.

Shadow > Le CD était justement fait pour introduire ce genre de cinématiques très agréables à l'oeil. On pourrait en dire de même pour les Final Fantasy qui en (ab)usent alors qu'elles sont loin de refléter la qualité visuelle du jeu. Après, chacun ses goûts c'est sûr mais pour moi elles apportent un petit plus.

Sf > Je n'ai nullement essayé de convaincre les joueurs de s'essayer à un jeu aussi mauvais. Ce n'est pas un scoop que ce jeu m'ait déçu, j'étais déjà bien au courant. Mais bon parfois, on a cette envie étrange de jouer à un jeu de merde parce qu'il dégage quelque chose de particulier. Au final, c'aurait été un bon jeu si il avait été correctement développé et qu'il s'était inspiré des cadors du genre, notamment zelda. Mais c'est vrai que je ne le conseille à personne sauf si vous avez envie de perdre votre temps et de vous faire du mal gratuitement Smiley : icon_yeux_triangle1.gif



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Message laissé le 08/07/13 à 13:56

Siderth, on ne s'est pas compris, les cinématiques plus belles que le jeu ça ne me dérange pas, ce que je n'aime pas ce sont les bidules filmés avec de vrais acteurs.



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Message laissé le 08/07/13 à 14:05

Au temps pour moi Shadow, ces cinématiques posent un réel souci enfin ce que j'en pense à mêler le réel avec le virtuel.

Après c'est pas dégueulasse à regarder mais bon ce qui me gêne vraiment, c'est le vide qu'il y a autour. Je veux dire, on s'en fout de la cinématique, c'est ce qu'il y a derrière, le jeu qui lui est absolument à chier. Mais bon, j'étais prévenu donc j'ai pas été trop traumatisé Smiley : lag18.png



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Message laissé le 08/07/13 à 15:10

Complètement d'accord avec SF, les captures d'écrans m'ont toujours refroidit, et pourtant, je suis pas du genre à me laisser impressionner !!



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Club des Papas ! Smiley : lag28.png

Message laissé le 12/07/13 à 11:58

"Une bouillie de pixels qui s'enculent" (JDG). Il avait assez bien résumé les choses. Le framerate est bien flippant aussi, surtout avec l'idée géniale de le baisser pour simuler le surpoids (là où Fallout avait intelligemment ralenti ton personnage.



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Message laissé le 12/07/13 à 23:24

Même si ce jeu est ce qu'il est, je trouve ça bien que tu soit resté objectif et que tu ai pris la peine de creuser pour trouver quelques rares qualités, parce qu'à mon avis, si j'avais joué à ce jeu, je me serais arrêté dès la première seconde.

Merci pour le test !



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