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Message laissé le 14/03/18 à 21:40
Enorme la vidéo ! C'est effectivement un effet acoustique intéressant. Maintenant, je serai curieux de savoir si ça ressemble vraiment au cri de l'oiseau. Ceci étant dit, en photo, il en jette. J'attends ton article pour en savoir plus à son sujet. Je suis notamment curieux de savoir si les deux grandes plumes arrières ont une utilité autre que décorative.
Message laissé le 14/03/18 à 21:54
Citation :
size.fac a écrit : Enorme la vidéo ! C'est effectivement un effet acoustique intéressant. Maintenant, je serai curieux de savoir si ça ressemble vraiment au cri de l'oiseau. Ceci étant dit, en photo, il en jette. J'attends ton article pour en savoir plus à son sujet. Je suis notamment curieux de savoir si les deux grandes plumes arrières ont une utilité autre que décorative.
Il va falloir attendre pour le deuxième épisode. J'ai oublié de prendre mon livre pour le faire Néanmoins, concernant les plumes qui l'on appelle les couvertures sus caudales, l'hyper développement de celles-ci n'a qu'un but esthétique, notamment pour la parade nuptiale et seuls les mâles les possèdent aussi magnifique.
Message laissé le 15/03/18 à 21:50
Je m'en doutais un peu. Quelque part, j'attendais tout de même une explication autre comme une histoire de stabilité quand l'oiseau se tient sur une branche ou un gouvernail pour manœuvrer par vent violent... Un truc plus "over the top" !
Message laissé le 17/03/18 à 11:34
Reconnaissance : le Tarin des Aulnes Une reconnaissance un peu particulière aujourd'hui car cet oiseau, je ne l'ai pas vu très souvent. Mais je me souviens de ma première obs avec eux. Je revenais d'une observation nulle mais nulle ! Et là, par la magie de l'ornithologie, j'entends dans un jardin une cacophonie que je n'avait jamais entendu. Je m'approche et paf, je tombe sur les tarin, ceux qui a d'ailleurs, sauvé ma journée. Et cette année, rebelote alors que ne m'y attendais absolument, un groupe de Tarins a décidé de s'installer sur le campus universitaire! Bon alors, à quoi il ressemble cet oiseau? Cet oiseau est présent partout en Eurasie mais on le trouve également aux Etats-Unis. Importation? Peut-être bien que nous n'en soyons pas sûr.Cet oiseau n'est toutefois visible qu'en hiver (bien de faire une reconnaissance d'un oiseau hivernant alors que l'hiver se termine ) C'est un petit passereau d'une douzaine de centimètre. Une de ses particularités est son incroyable discrétion lors de la nidification si bien qu'une vieille légende germanique suggérait même que les oiseaux devenaient invisibles pendant cet période! L'oiseau possède un dimorphisme sexuel assez simple puisque le mâle et globalement plus coloré que la femelle et la calotte (dessus de la tête) est noir chez le mâle et strié chez la femelle. Dernière truc pour la route, je vous laisse le chant de cet oiseau, avec parfois des groupes qui peut atteindre une centaine d'individus! https://www.xeno-canto.org/species/Spinus-spinus
Message laissé le 18/03/18 à 20:22
Nous l'appellerons désormais "moineau tigré". Plus facile de s'en souvenir ainsi. Non ?
Message laissé le 18/03/18 à 20:42
size.fac a écrit : Nous l'appellerons désormais "moineau tigré". Plus facile de s'en souvenir ainsi. Non ?
Paruline tigrée
Message laissé le 24/03/18 à 09:35
Sausages addicted Aujourd'hui, on reparle d'un oiseau qui a déjà eu le droit à un article dans la volière: Le Martin Chasseur géant. L'équilibre nutritionnel des oiseaux est extrêmement important, c'est pourquoi il est très important de ne pas leur donner n'importe quoi à manger. Ainsi, il est essentiel de restituer les qualités nutritionnels de la nourriture donnée aux oiseaux en leur offrant, si vous décidez de réaliser une mangeoire, des graines qui attireront différents passereaux en fonction de la nature des graines mais aussi de la margarine qui leur apporte les acides gras nécessaire permettant leur résistance au froid notamment. Le pain est fortement déconseillé car il est considéré comme provoquant des problèmes digestifs et de surpoids! Et justement... En 2010, le zoo de Taronga a recueilli un Martin Chasseur géant incapable de voler. Celui-ci était 40% plus gros que ces congénères. Une fracture lors d'une radiographie à révéler que l'oiseau était alors en réalité en obésité morbide dû à un régime essentiellement composé de saucisses. Les Martins Chasseurs Géants sont très appréciés en Australie à tel point que bon nombre d'entres eux sont nourris régulièrement par les habitants et parfois très mal (avec des saucisses par exemple), du fait également qu'ils soient peu farouches. La combinaison de tous ces éléments fait que l'on a parfois des oiseaux valétudinaires parfois jusqu'à en mourir. Evidemment, ceci constitue un exemple extrême de mal nutrition mais il est a rappelé que toute bonne action soit-elle peu parfois avoir des conséquences catastrophiques chez un individu. Alors, si vous avez des doutes concernant la nutrition des oiseaux ou tout autre animaux, n'hésitez pas à en parler à des spécialistes. Il vaut mieux parfois prévenir que guérir...
Message laissé le 28/03/18 à 21:43
je pense que nous sommes nombreux à avoir cru un jour que les cygnes et les canards raffolaient du pain. Bon, oui, c'est peut-être vrai parce qu'un oiseau, c'est très con et ça peut manger des machins qui sont mauvais pour lui mais maintenant, on le sait, ces animaux ont un régime alimentaire assez spécifique. Ils se bouffent même entre eux. Digue ! Enfin bon, tout ça pour dire que j'ignorais qu'on pouvait leur donner des agrumes. Par chez nous, on utilise les bonnes vieilles boules graisseuses vendues dans des enseignes comme Ma Jardinerie. Pas de Martin-pêcheur obèse dans le coin !
Message laissé le 30/03/18 à 20:25
Digue comme dit Sf Mais je savais pas que des gens donnaient de la saucisse à des oiseaux par contre. De là à le rendre totalement obèse et incapable de voler en plus. Le pire étant que ça vient effectivement probablement d'une bonne intention. Et, en général, j'avoue ne pas donner ma nourriture aux oiseaux, je suis plutôt du genre à la manger
Message laissé le 27/04/18 à 21:08
La quadrilogie du serpent à plumes: La chute d'un empire 1519. Hernan Cortès débarque avec son équipage dans la péninsule du Yucatán sans mobile si ce n'est revendiqué les terres trouvés à la couronne espagnole. Très vite, celui-ci décime les populations qui se trouve sur son chemin mais est séduit par une fille d'un chef d'un peuple vaincu, alliée malgré elle de par son savoir de la culture indienne et de la géographie des lieux, de la terrible machination de ce dernier. Les Aztèques raconteront que le "cinquième soleil" devait avoir lieu peu de temps après. Ce "cinquième soleil" concluait le calendrier Aztèques qui avait une périodicité de 52 ans et donc, était le synonyme de la fin de leur monde. La seul chose était donc d'offrir des offrandes aux Dieux pour repousser le grand cataclysme: Le sang humain. (peut-être de là qu'est parti la légende du continent de Mu d'ailleurs) Cortès fut alors reconnu à son arrivée dans la ville de Veracruz comme étant la réincarnation du Dieu Quetzalcóatl venant reprendre son héritage. Le conquistador se gardera bien de révéler ses intentions, même à son hôte le plus estimé et roi Moctezuma et utilisera plus tard son nouveau statut pour assujettir "son" nouveau peuple : C'est la chute de l'empire Aztèque. Tableau de Diego Rivera : "Colonizacion o Llegada de Hernán Cortés a Veracruz" Cette chute,quelqu'un la relate ( je n'ai pas, en revanche, trouvé le référencement sur le net) la relate par le fait que Quetzalcóatl, ne supportant plus les incessants sacrifices des humains donna naissance à un Scion (ici Hernan Cortès) pour provoquer la chute de l'empire. Cette effondrement à duré 9 mois, trouvant son épilogue en 1520, par la prise de Tenochtitlan d'un Cortès revanchard d'une bataille perdue l'année d'avant lors de la "Triste nuit" où, pour une ultime fois, les indiens massacrèrent les Espagnols. Tout cela sous l'œil incrédule de leur totem, renversé, qui a fuit, qui s'est envolé gardant en mémoire toutes ces tragédies que les Hommes eux-mêmes, se souviendront comme d'une simple prise de possession,une normalité.
Message laissé le 08/12/18 à 15:26
La quadrilogie du serpent à plumes s'arrête pour l'instant là car j'ai découvert des choses assez folles que je veux étudier plus en détail... Mais la volière, elle, après mûres réflexions, reprend du service ! Je ne sais pas si je mettrais le lien de mon groupe Facebook consacré aux oiseaux pour l'instant (si la modération le voudra aussi) mais si des gens sont intéressés, n'hésitez pas à me le faire savoir en mp
Message laissé le 15/12/18 à 12:21
Le retour du Geai' Dai. J'avais déjà évoqué cet oiseau (qui est mon préféré aussi^^) au travers d'un article sur les couleurs des corvidés et sur une anecdote de terrain. Il est grand temps de parler de lui plus concrètement. Un oiseau considéré par beaucoup comme farouche, assez méfiant mais qui trahi sa présence par des cris stridents (et très très désagréable ) dans la forêt. Un oiseau qui, depuis quelques années est devenu familier du milieu urbain dans lequel il parvient, plus lentement que les autres membres de sa famille, à s'adapter. C'est un oiseau remarquable dans le sens où il est très facilement reconnaissable comme vous avez déjà pu le voir pour certains. Certains disent que les mâles et les femelles ne peuvent être distingués, d'autres insinuent le contraire. Difficile à voir mais en ayant l'oiseau en main, il est possible de distinguer effectivement un dimorphisme sexuel. Présent dans toute l'Eurasie (et désormais quelques régions du continent africain), c'est une curieuse rencontre que vous aurez l'occasion de faire, splendide dans toute sa curiosité, notamment cachant des glands et toutes sortes de trésors en automne (on en reparlera ). Un oiseau qui n'a pas finit de vous étonner Crédit : Guy Sadet et CC
Message laissé le 18/01/19 à 13:03
La dépeiche du midi Fermez les yeux: imaginez des dizaines d'oiseaux chantés en plein milieu de la forêt et d'un coup, vous entendez quelque chose qui tape le bois d'un bruit sourd et rythmé. ça, c'est un pic Après, lequel? Car il existe bien plus que le Pic épeiche et le célèbre Pic vert (parfois prononcé Pivert). Il y a une dizaines d'espèces présentes sur tout le territoire. Certaines plus présentes que d'autres. Mais concentrons nous aujourd'hui sur l'une des plus célèbres: l'Epeiche. Mais avant ça, Flashback ! Vous vous souvenez du bruit sourd de l'oiseau sur le bois? En ornithologie, on est capable de distinguer deux types de bruits. Le martèlement où le pic va chercher sa nourriture en tapant le bois et le tambourinage et c'est souvent ce bruit que est entendu par les personnes. Un bruit qui se répercute dans toute la forêt qui vise à attirer les femelles et dans le cas du Pic épeiche, a ensuite entamer une poursuite sur le tronc lorsque la femelle semble tenter de s'accoupler avec le mâle. Ce qui donne des scènes assez drôles la première fois qu'on y assiste Le Pic épeiche est, comme précédemment dit, l'une des espèces les plus visibles en France, facilement distinguable même s'il peut porter la confusion avec l'épeichette, heureusement facilement distinguable avec un peu d'expérience. On reparlera de lui plus tard . Il y a aussi la présence d'un dimorphisme qui est à peu près du même type chez les Pics, histoire de ne pas trop être perdu^^ à savoir un arrière de tête rouge chez le mâle et entièrement noir chez la femelle. Tambourinage de Pic épeiche (et en plus, un Rossignol en arrière plan !!) https://www.youtube.com/watch?v=5CtoZvJaGAM
Message laissé le 06/04/20 à 09:51
Reconnaissance : Le Pic vert Il y a deux types de Pics à vrai dire : ceux qui sont en l'air et ceux qui sont à terre. Et le Pic Vert, ben il est souvent à terre On croit à tort que les Pics se contentent d'être dans les arbres à tambouriner dans les arbres. Rappel; le tambourinage sert aux Pics à marquer leur territoire et non pas à attirer les femelles contrairement à ce que quelqu'un disait à l'époque...ce quelqu'un, vous l'aurez deviné...c'est moi Le Pic vert lui donc, ne tambourine pas. Il crie. On peut même dire qu'il rigole ! Et la nourriture, il l'a prend où? Et bien au sol. Il lui arrive de venir dans les arbres bien sûr mais c'est bien en vadrouillant au sol qu'il obtient sa nourriture. Bien évidemment, il existe une différence entre les mâles et la femelle. Alors que pour le Pic épeiche, la différence se situait sur la nuque, pour le Pic vert, ce sont ses moustaches qui feront office de différenciation, elles sont noires chez la femelle et rouge chez le mâle. Pareil, encore un dimorphisme bien compliqué à voir de loin mais une fois l'oiseau de près (ce qui n'arrive pas souvent ) difficile de se tromper. Et comme toujours, le chant de l'oiseau (ou plutôt ses cris!) https://www.youtube.com/watch?v=nrFS8f_T0qM
Message laissé le 16/04/20 à 10:29
Reconnaissance : Le Rougequeue noir Parmi les oiseaux qui arrivent de part chez nous en été, il y en a un bien sympathique, rappelant parfois la posture du Rougegorge. Mais lui n'a pas la gorge orange mais bien la caudale cardinale. A vrai dire, il est possible de voir cet oiseau toute l'année si vous avez la chance d'habiter dans le sud de la France mais pour les autres, il faudra se contenter de le voir lors de la période estivale. Il existe deux espèces de Rougequeue que l'on peut voir en France, commençons par la plus commune et la plus généraliste : le Rougequeue noir. Le premier est tout noir, avec différentes teintes sur le corps allant à un gris émergent et la queue rouge (qui tire davantage sur l'orange) tranche chez l'oiseau. C'est une identité remarquable et ça permet de facilement différencier l'oiseau des autres tout comme la petite zone blanchâtre sur une partie des ailes, les deuxièmes rémiges pour rester dans le jargon. La femelle, à son habitude, possède un apparat bien moins coloré mais la queue orange permet d'éviter la confusion avec d'autres oiseaux. Le jeune Rougequeue ressemblant à s'y méprendre au juvénile du Rougegorge, l'identification de la queue permet de discriminer les deux même si parfois, la différence est plus compliquée à faire que sur le papier. Concernant son habitat, il a pas mal changé et l'oiseau s'est adapté à la vie citadine avec plus ou moins de brio. On le retrouve ainsi maintenant facilement en ville où l'on peut entendre son chant très particulier, dans les parcs, jardins mais toujours proche des habitations. A vrai dire, le Rougequeue est d'abord rupestre, trouvant ses habitats de prédilection dans les falaises, les versants de montagne par exemple mais il faut croire que les habitations lui rappelle quelque peu cet habitat d'où son installation de plus en plus précise dans les villes. Enfin, il faut parler de son trait de comportement caractéristique qui lui vaut le surnom de "hochequeue" dans certaines régions de France. L'oiseau, lorsqu'il est en alerte, remue la queue dans un mouvement vertical de balancier avant de s'envoler catastrophé un peu plus loin que le perchoir où il était. Là, plus de doute possible, vous avez affaire à la bête Dans le prochain article, je reviendrais sur le Rougequeue à front blanc, bien plus "noble" que son homologue, bien plus coloré mais aussi bien plus discret. Et comme d'habitude, le chant de l'oiseau avec une petite leçon du studio trois becs https://www.youtube.com/watch?v=vzoPX-VcKvE
Message laissé le 16/04/20 à 12:17
J'ai un autre petit truc pour les griller, quand ils volent tu dirais une pierre qui fait des ricochets (vole typique de plusieurs fringillidés je pense), mais avec une silhouette et une couleur pareille il n'y a pas des masses de doutes
Message laissé le 18/04/20 à 22:51
Quand j'étais plus jeune des rouge-queues avaient aménagé dans l'angle du toit du garage de la maison, on a pu voir l'évolution des petits, ils n'avaient pas peur de nous, puis ils sont partis, et depuis, on n'en a jamais revu, mais il faut dire qu'on a refermé ledit garage, depuis.
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